Maroc : l’ONE va créer une antenne à Londres

ONE International, antenne de l’Office National de l’Electricité, sera chargée de promouvoir la politique de coopération avec l’Afrique subsaharienne

« A terme, elle pourra être cotée à la Bourse de Casablanca et sur l’AIM – Alternative Investment Market – de Londres », espère M. Younes Maamar, directeur de l’Office et architecte du projet.

L’ONE va se doter d’une tête de pont à Londres

ONE International servira de plateforme pour les interventions de l’ONE en Afrique subsaharienne. L’ONE a choisi Londres pour deux raisons : la proximité avec les opportunités de financements et la concentration des informations. L’Office a déjà recruté le directeur général de ONE International, M. Mohamed Sedenou.

L’ONE, déjà présent en Sierra Leone et au Sénégal

L’ONE a bel et bien une stratégie de développement de ses activités en Afrique, même si elle se construit au fil des opportunités.

-1. Sénégal :

Sa réussite la plus récente est l’obtention, fin 2007, d’une concession pour l’électrification rurale au nord du Sénégal.

-2. Sierra Leone :

C’est l’implication la plus ancienne de l’Office marocain : la réhabilitation de la production et de la distribution d’électricité en Sierra Leone. La National Power Autority de Freetown devait faire face à trois problèmes :

  • Lutter contre les pertes sur son réseau : les pertes étaient de 41% à la prise de responsabilité de l’ONE, l’intervention de l’Office marocain les a déjà ramenées à 18% ;
  • Réhabiliter sa centrale : pour faire passer la puissance de production de 5 mégawatt, à 18 aujourd’hui avec pour objectif d’arriver à 40 ;
  • Récupérer ses créances auprès de ses clients.

Autres projets d’implication à l’étude

Une duplication de l’expérience Sierra Leone est en préparation avec le Tchad, portant sur la réhabilitation du réseau de distribution. Une autre est en projet au Liberia, avec un financement de l’International Finance Corp.

En fait, résume M. Younes Maamar, le développement de l’ONE en Afrique subsaharienne s’appuie sur trois métiers bien maitrisés par l’Office marocain : les réhabilitations, les recouvrements auprès des clients et la mobilisation des fonds.



Source : un article publié le 18 janvier 2008 dans l’édition numérique de l’Economiste.

René Massé

Sénégal : avancement des études d’un Parc éolien dans la Région de Saint Louis

Voila plus de trois ans que la Cegelec de Toulouse (France), le C3E de Dakar étudie la mise en place d’un parc éolien dans la région de Saint Louis, avec le soutien financier de l’Agence Française pour le Développement.

Trois ans après, où en est-on ?

1. Sur le plan des études

Depuis début mars 2007, trois mâts de mesure du vent, de 40 mètres de hauteur, ont été installés et équipés, pour mesurer la force et la direction du vent sur trois sites différents. Ces mesures vont continuer jusqu’en fin février 2008, bouclant ainsi une année complète de mesures. Les résultats déjà disponibles des études de vent confirment le potentiel éolien de la zone.

D’autres études démontrent que ce projet ne présente aucun risque ornithologique.

Des études géotechniques donnent des indications intéressantes sur la nature des terrains et le risque d’érosion. L’atlas éolien de la zone est aujourd’hui une réalité et les études de micro siting sont en cours.

Après, il faudra préparer le design définitif du projet, le Plan d’affaires, etc.

2. Sur le plan Institutionnel

  • L’intérêt de la région de Saint Louis pour la réalisation de ce parc est toujours d’actualité ; la convention de concession de terrain pour accueillir ce parc est signé depuis longtemps et un avenant vient d’être proposé et signé pour reporter le délai de démarrage des travaux ;
  • Le Gouvernement du Sénégal, à travers le Ministère de l’énergie, a inscrit le projet dans ses tablettes et considère avec un œil nouveau la réalisation de ce projet. Aujourd’hui ce projet figure en bonne place dans la liste de projets de production d’énergie du ministère ;
  • Le projet a été présenté par le secteur privé national lors des journées du Conseil national du patronat et par…. l’AFD, comme un exemple de projet d’énergie renouvelable ;
  • Un cadre règlementaire est entrain de voir le jour au Sénégal afin de régler définitivement le problème des énergies renouvelables de façon générale et de l’éolien en particulier ;
  • Un projet de convention de raccordement a été proposé à la SENELEC (Société nationale d’électricité) ;
  • Un cadre de partenariat tripartite entre le Ministère de l’Energie, la Région de Saint Louis et C3E est en cours de signature ;
  • Le projet est éligible au MDP et est entrain d’être étudié par le JCIMTENDER ;
  • L’Agence Française de Développement continue à supporter le projet et manifeste un intérêt réel à accompagner le groupe de privés ou le privé qui investira dans le projet ;
  • Des investisseurs européens s’intéressent de plus en plus au projet.

3. Difficultés rencontrées

Premier parc éolien du Sénégal, le développement de ce projet pilote fait face à quelques difficultés. En effet, dans son approche initiale, le schéma institutionnel retenu était celui d’une autoproduction d’énergie électrique par un groupement d’industriels, distribuée à ses membres via le réseau national. Un groupe de privés devait donc produire de l’énergie à Saint Louis, la transporter via le réseau de la SENELEC moyennant des frais de transport et consommer sa propre production au niveau de chaque industrie membre de la coopérative. Un bilan devait être fait au bout d’un temps à définir avec la SENELEC.

La première difficulté est d’ordre juridique. La notion d’autoproduction n’existe pas dans les textes en vigueur au Sénégal. Le projet est donc perçu comme vendant de l’énergie à ses membres alors que la SENELEC a le monopole de la vente et de la distribution, monopole qu’elle n’envisage pas de rétrocéder à des autoproducteurs.

Aujourd’hui le schéma IPP semble mieux convenir à la SENELEC, qui demande que le projet lui propose un prix de rachat du kWh éolien produit. Les investigations dans ce sens sont en cours.

Le cadre règlementaire claire devant définir la politique d’intégration des énergies renouvelables dans le disponible de la SENELEC n’est pas achevé ; il est encours de validation au niveau des acteurs institutionnels.

4. Quelques rappels utiles

  • Le projet de la région de Saint Louis est développé concomitamment par CEGELEC Toulouse et C3E Dakar.
  • Les études ont été financées d’abord par la Région Midi Pyrénées (France) et le Conseil Régional de Saint Louis, ensuite par l’Agence Française de Développement.
  • C’est un projet de 50 MW, à réaliser en deux phases, une première de 15MW et une seconde phase de 35 MW.
  • Le poste d’injection de la production, à savoir la centrale de Sakal, a vu la capacité de ses transformateurs passer de 20 à 50 MVA, ce qui augure d’une bonne capacité d’absorption de la production totale du futur parc.
  • Le début des travaux est prévu pour janvier 2009.
  • Le Sénégal dispose d’un réseau électrique interconnecté de très bonne qualité.

Mohamadou Lamine Ndiaye

Sénégal : projet éolien dans la région de Saint-Louis

Projet de centrale éolienne de 15 MW, localisée près de Saint-Louis sur les communautés rurales de Mpal et de Gandon.

« Présentation de l’état du projet en juin 2007 »

« La synthèse du projet éolien en septembre 2007 »

« Les différentes étapes du projet »

Le Conseil Régional de St Louis dans le cadre de la promotion de l’utilisation des ressources naturelles locales de la Région, a initié depuis quelques années un projet éolien de 15 MW. Les autres partenaires à l’origine du projet sont la Région Midi-Pyrénées (France), la société C3E (Dakar) et la société CEGELEC (Toulouse).

Depuis 2003, CEGELEC, C3E et leurs partenaires étudient donc la faisabilité de l’implantation d’éoliennes en vue de la production d’électricité pour le réseau Sénélec, sur la zone côtière de la Région de St Louis. Après des études préliminaires réalisées en 2004/2005, des études complémentaires ont débuté sur financement de l’AFD (Agence Française de Développement).

En plus des études techniques, les différents documents téléchargeables ci-dessous font le point des investigations sur les aspects règlementaires à mettre en place pour le développement du secteur des Energies Renouvelables, mais aussi sur l’intérêt que peut avoir un promoteur privé à investir dans une telle opération.

Autorité concédante : le Conseil régional de Saint-Louis.

Développeurs : sociétés C3E (Dakar) et CEGELEC (Toulouse).

Projet soutenu par le ministère de l’Energie, avec des aides financières de la Région Midi-Pyrénées et de l’AFD.


Source : des informations disponibles sur le site de la SIE du Sénégal.

Elhadji SYLLA, ASER

Sénégal : la BOAD co-finance une centrale électrique à Kahone

La Banque ouest-africaine pour le développement (BOAD) a signé une convention de prêt d’un montant de 7,3 milliards de CFA au bénéfice de la SENELEC pour la construction de la centrale de Kahone (Kaolack).

La BOAD montre ainsi de sa disposition à accompagner la politique énergétique du Sénégal en lui apportant un soutien financier pour la construction de nouvelles centrales électriques.

La Banque ouest-africaine pour le développement (BOAD) a réaffirmé vendredi 14 Décembre 2007 à Dakar sa ‘’totale disponibilité » à l’égard de l’État du Sénégal et de sa politique énergétique notamment.

Ce prêt financier de 7,3 milliards de CFA doit permettre l’achèvement des chantiers de la centrale de Kahone et sa mise en service en novembre 2008. L’ouvrage est en train d’être construit par la firme finlandaise Wartsila.

Institution de financement du développement en Afrique de l’Ouest basée à Lomé (Togo), la BOAD contribue déjà au financement de la réalisation d’infrastructures routières au Sénégal.


Source : un article publié sur le site d’APS, visible sur http://www.aps.sn/articles.php?id_article=38249″ class=’spip_out’ rel=’external’>cette page.

Elhadji SYLLA, ASER

Sénégal : biocarburant – une unité de transformation en vue à Tambacounda

Pour faire fonctionner les moteurs en biodiesel, une unité de transformation pourrait être installée dans la région de Tambacounda où la culture du Jatropha est de plus en plus intense.

Ce projet de trans-estérification des huiles du Jatropha en biodiesel pourrait permettre aux cultivateurs de faire fonctionner leur moteur en biodiesel et de s’affranchir partiellement de leur dépendance vis à vis des combustibles fossiles (diesel).

Le Projet intégré de production agricole et de valorisation agro-industrielle du biodiesel de la région de Tambacounda, dénommé « Yellitare-bio Sénégal », va mettre en place une unité de transformation de biodiesel à partir de l’huile de Jatropha.

Cette annonce a été faite le jeudi 11 Septembre 2007 par M. Serigne Amar, vice-président de l’Association africaine pour la promotion des biocarburants, par ailleurs co-promoteur du projet avec M. El Hadji Mamadou Omar Sall, président du Collectif régional des producteurs de banane de Tambacounda (CORPROBAT) et superviseur national adjoint du programme biocarburant. Au cours de cette rencontre, les producteurs se sont engagés à exploiter 10.000 hectares de Jatropha le long du fleuve Gambie allant de Gouloumbou à Kédougou sur 300 Km.

Il est prévu de mettre une première unité pilote de trans-estérification des huiles en biodiesel à Tambacounda, d’une capacité de 200 litres/heure. Cette unité est conçue pour être agrandie au fur et à mesure des besoins et de l’évolution de la technologie. Des offres venant notamment du Brésil ont déjà été reçues.

M. Serigne Amar est revenu sur l’importance de l’huile produite « qui est pure ». « Avec cette huile, il est possible de faire fonctionner toutes les machines fixes et à pression basse ». Cela permettra aux producteurs de banane, qui utilisent beaucoup de carburant, d’utiliser cette huile dans les moteurs de leurs motos pompes et de faire tourner leurs groupes électrogènes pour produire de l’électricité.



Source : un article publié le 14 septembre 2007 sur le site de AllAfrica.com

Elhadji SYLLA, ASER, René Massé

Sénégal : l’Espagne aidera le Sénégal à produire du biocarburant

Les espagnols pourraient prochainement former des experts sénégalais dans la culture des plantes productrices de biocarburant.

Transfère de compétences par les espagnols dans la culture in vitro des oléagineuses afin de permettre au Sénégal de produire des biocarburants.

Le Conseil régional de Tenerife et le gouvernement du Sénégal signeront en décembre 2007 un protocole de collaboration pour la culture de plantes destinées à la production de biocarburants. En vertu de cet accord, le conseil de l’Ile de Tenerife s’engage à collaborer pour l’installation au Sénégal d’un laboratoire afin de cultiver in vitro des plantes oléagineuses qui seront utilisées dans la production de biocarburants.

Une équipe de techniciens sénégalais se rendra à l’Ile de Tenerife pour suivre une formation spécialisée dans la culture in vitro de plantes oléagineuses et dans la gestion dudit laboratoire.

En plus de ce laboratoire, les autorités de l’Ile canarienne aideront le gouvernement sénégalais à mettre sur pied des projets agricoles et d’élevage, visant à fixer les populations locales et à éviter l’émigration clandestine des jeunes sénégalais vers l’ Archipel des Canaries.


Source : un article publié sur le site Rewni.com

Elhadji SYLLA, ASER

Sénégal : support de formation en énergies renouvelables, option systèmes hybrides (solaire / diesel)

Le document proposé en téléchargement a été préparé pour les besoins d’un Atelier organisé par l’ASER dans les Îles du Saloum à Ndangane, du 24 au 28 septembre 2007.

« Séminaire de renforcement des capacités de formation en énergies renouvelables : option systèmes hybrides (solaire / diesel) ».

Présentations sous PowerPoint de 199 pages

Atelier organisé par l’ASER en partenariat avec l’UNESCO

du 24 au 28 septembre 2007

dans les Iles de Saloum au Sénégal

L’Agence Sénégalaise d’Electrification Rurale (ASER), en partenariat avec l’UNESCO, et avec l’appui technique du Laboratoire d’Energies Renouvelables (LER) de l’ESP et du PERACOD, a organisé un Atelier de formation et de remise à niveau des acteurs et techniciens en énergie photovoltaïque. Durant ces quatre jours, des experts ont présenté les différentes sources d’énergies renouvelables en mettant plus particulièrement l’accent le photovoltaïque.

La partie pratique a été assurée par M. Mamadou Faye, à l’occasion de deux visites de centrales hybrides :

  • A Diamiadio, une centrale de 40kWc PV et un groupe diesel de 100kVA ;
  • A Baout, une centrale de 10kWc PV et un groupe diesel de 28kVA.

Des tests ont été effectués pour apprendre aux stagiaires le fonctionnement des centrales hybrides, les techniques de vérifications d’éventuelles défaillances, la maintenance des batteries solaires, des onduleurs…

Le document proposé ci-après en téléchargement regroupe toutes les présentations préparées et exposées par les intervenants, et traite successivement de chacune des énergies renouvelables, avant d’approfondir les questions sur le solaire photovoltaïque, les systèmes de stockage d’énergie, les centrales hybrides, les convertisseurs statiques pour l’optimisation et le transfert d’énergie, la maintenance, la planification, la gestion et le suivi des installations électriques (Système PV/Diesel).

Elhadji SYLLA, ASER, René Massé

Sénégal : inauguration de la première usine de bioéthanol

La compagnie Sucrière Sénégalaise se dote d’une usine de production d’éthanol. Cette usine pourra produire annuellement 215 000 hectolitres d’éthanol pour atténuer la dépendance énergétique vis à vis du pétrole

La ville de Richard-Toll, située à 129 kilomètres de la ville de Saint-Louis, a abrité le vendredi 30 Novembre 2007, la cérémonie d’inauguration de l’usine bioéthanol. Le président du Sénégal, Me Abdoulaye Wade, a déclaré lors de cet évènement qu’un vaste programme initié par son gouvernement allait débuter en 2008.

La Compagnie Sucrière Sénégalaise dispose d’une sucrerie qui alimentera la distillerie qui va produire de l’alcool et de l’éthanol. La production d’éthanol est destinée à l’autoconsommation de la société et pourra approvisionner le marché sénégalais. Le coût d’investissement de cette usine s’élève à 4,6 milliards de Fcfa. Elle va produire 215 000 hectolitres d’éthanol par an à partir d’une transformation de la mélasse issue du raffinage du jus de canne à sucre utilisé durant l’intersaison.

Selon Me Wade, l’éthanol produit dans cette fabrique de la compagnie Sucrière Sénégalaise (CSS) va contribuer à l’émergence de l’utilisation des biocarburants au Sénégal. Ainsi, les paysans de la Vallée du Fleuve Sénégal vont devoir diversifier leurs cultures avec l’intronisation du « tabanani » cultivée aussi au niveau du département de Dagana, plus précisément dans le village de Bokhol. Ici, pas moins de 20 ha de « tabanani » sont cultivés. Cette culture va permettre aux riverains de sortir de leur situation de dépendance économique mais aussi de produire beaucoup d’éthanol.

Selon le chef de l’Etat, c’est la seule issue pour gagner le combat économique et atténuer la dépendance économique. Il a précisé : « La culture du biocarburant est facile et ne nécessite pas beaucoup d’investissement en eau comme l’arachide que les Sénégalais devraient continuer à cultiver. Nous allons accompagner le développement de la production du biocarburant ».


Source : un article paru dans Rewmi

Elhadji SYLLA, ASER, René Massé

Valorisation de l’électricité : les PREMs et le CIMES au Sénégal. M. Amadou Sow (ASER)

Un large consensus se fait pour considérer que amener le réseau électrique dans un village ne suffit pas à générer rapidement du développement local. Qu’il convient désormais de se préoccuper aussi de la valorisation de l’électricité, à la fois pour générer de l’activité et des revenus, mais aussi pour donner à l’exploitant électrique un volume d’affaire suffisant pour équilibrer son économie et continuer durablement à assurer cette activité de service publique. L’expérience du Sénégal a permis d’analyser à la (…)

Un large consensus se fait pour considérer que amener le réseau électrique dans un village ne suffit pas à générer rapidement du développement local.

Qu’il convient désormais de se préoccuper aussi de la valorisation de l’électricité, à la fois pour générer de l’activité et des revenus, mais aussi pour donner à l’exploitant électrique un volume d’affaire suffisant pour équilibrer son économie et continuer durablement à assurer cette activité de service publique.

L’expérience du Sénégal a permis d’analyser à la fois la logique d’une démarche multisectorielle dans le cadre des documents de Réduction stratégique de la pauvreté (DRSP), et de voir comment un programme d’électrification comme celui conduit par l’ASER pouvait s’organiser pour initier ces dynamiques multisectorielles et y contribuer financièrement.

L’exposé rappelle le rôle joué par la CEDEAO pour promouvoir une approche multisectorielle dans tous les pays de cette sous-région.

René Massé

Missions et objectifs de l’ASER pour une électrification globale du Sénégal. M. Amadou Sow (ASER)

L’ASER conduit le programme d’électrification rurale au Sénégal… Mais, pour y parvenir, l’ASER a du commencer par créer les condiutions réglementaires, fiscales, concevoir des procédures, passer des contrats avec le secteur bancaire, étudier des Plans locaux d’électrification dans les régions à concéder… et promouvoir le programme pour attirer des opérateurs inyternationaux en nombre suffisant pour que ses appels d’offres soient effectivement compétitifs… L’exposé présente ces multiples missions de (…)

L’ASER conduit le programme d’électrification rurale au Sénégal… Mais, pour y parvenir, l’ASER a du commencer par créer les condiutions réglementaires, fiscales, concevoir des procédures, passer des contrats avec le secteur bancaire, étudier des Plans locaux d’électrification dans les régions à concéder… et promouvoir le programme pour attirer des opérateurs inyternationaux en nombre suffisant pour que ses appels d’offres soient effectivement compétitifs…

L’exposé présente ces multiples missions de mise en place et de lancement, et précise les résultats obtenus.

Le concept de ce projet est celui que décline la Banque mondiale dans plusieurs autres pays de la sous-région, cet exposé est d’autant plus intéressant qu’il montre le chemin parcouru…

René Massé