Maroc : don japonais de 7,4 millions de dollars pour une centrale solaire

Le Japon a octroyé un don de 7,4 millions de dollars au Maroc, destiné à la réalisation du Projet de promotion de l’énergie propre en utilisant le système solaire photovoltaïque.

L’échange de notes concernant ce don a été signé le 25 janvier 2010 à Rabat, par la ministre de l’Energie, des Mines, de l’Eau et de l’Environnement, Amina Benkhadra, et l’ambassadeur du Japon à Rabat, Haruko Hirose.

Ce don permettra de financer l’installation d’une unité de production électrique à partir de cellules photovoltaïques d’une puissance de 1 MW à Assa-Zag. Il pourra être utilisé notamment pour l’acquisition de produits pour la construction de la centrale PV, le transport des produits jusqu’au Maroc, la formation à l’utilisation des équipements ainsi que la formation éducative relative au projet.

Par la réalisation de ce projet, le Maroc disposera de la première centrale à énergie solaire photovoltaïque et la plus grande en Afrique à ce jour. Cette centrale va permettre, par le biais de l’énergie produite, d’améliorer la qualité de la tension dans la zone et d’alimenter les 5 300 foyers, administrations, coopératives artisanales et petites entreprises de la Province d’Assa-Zag raccordées au réseau électrique.


Source : Le Matin (Maroc).

Xavier Dufail

Microfinance et énergie solaire

Les crédits de micro finance destinés aux produits solaires peuvent faire augmenter les ventes et permettre aux entreprises solaires d’atteindre des clients qui ont des revenus faibles ou irréguliers.

Arc Finance, une organisation à but non lucratif, intervient dans la recherche de solutions pour faire augmenter les crédits énergétiques.

Environ 1,6 milliards de personnes n’ont toujours pas accès à l’électricité et plus de 2,5 milliards de personnes n’ont pas accès aux équipements de cuisson propres. La plupart des personnes sans accès à l’énergie n’ont pas les moyens financiers qui leur permettraient d’accéder aux services énergétiques propres. Plus particulièrement les populations à faibles revenus des pays en développement dépensent beaucoup d’argent dans la consommation de l’énergie. Pour beaucoup de ces consommateurs vivant en milieu rural, l’achat, puis l’installation d’un système solaire domestique standard reviennent en moyenne à 250 dollars US (selon la taille et le lieu d’installation à travers le monde).

Mais cette installation peut fournir de la lumière et de l’énergie pendant plusieurs années avec un minimum de frais de maintenance et de remplacement des batteries. Toutefois, l’expérience a montré que la plupart des consommateurs sans accès à l’électricité ont des difficultés à réunir l’argent nécessaire pour payer comptant les équipements solaires. Les entreprises solaires préfèrent ainsi servir les personnes à hauts revenus qui peuvent payer comptant leurs produits plutôt que d’imaginer des conditions spéciales à l’intention des personnes à plus faibles revenus.

Un sous emploi du potentiel du crédit énergétique

Le manque de crédits abordables et appropriés ainsi que d’autres schémas financiers, représentent des barrières principales qui restreignent un plus grand accès aux services et produits énergétiques propres. Aussi, par manque de schémas financiers à l’intention de l’utilisateur final, il sera difficile à la plupart des entreprises énergétiques de changer d’échelle significative. Les institutions de micro finance ont fait la démonstration de l’efficacité d’accorder des crédits aux micros entrepreneurs et aux foyers, et cela reste favorable aussi bien à l’emprunteur qu’au prêteur.

Si les prêts des institutions de micro finance sont bien conçus, ils peuvent permettre aux clients d’accéder aux services modernes d’énergies de haute qualité en adaptant les remboursements des prêts aux flux existants des dépenses et des revenus. De tels emprunts peuvent permettre de faire face aux coûts initiaux associés aux technologies énergétiques plus propres et plus efficaces, y compris le solaire.

Bien qu’il représente la plus grande part de dépenses dans plusieurs foyers, le potentiel crédit énergétique est sous-utilisé à cause du manque de connaissances et d’échanges d’informations entre les consommateurs, les institutions de micro finance et les fournisseurs d’énergie. Cependant il est évident que le niveau de l’accès à l’énergie moderne peut être plus élevé à travers l’accès à des emprunts innovants et à des schémas adaptés de micro finance, et cela peut favoriser une nouvelle ligne de produit avantageux aussi bien aux institutions de micro finance qu’à une bonne partie de la communauté financière.

Pour la plupart des entreprises d’énergie durable, le marché est limité aux consommateurs qui peuvent payer comptant leurs services et produits énergétiques. Le marché potentiel du secteur solaire peut être transposé sur les consommateurs existants si les utilisateurs finaux peuvent avoir accès aux produits et services énergétiques à partir des emprunts fournis par des institutions de micro finance. L’établissement de liens forts entre les institutions de micro finance et les entreprises énergétiques, peut être productif pour plusieurs actionnaires.

Les foyers et les petites entreprises sont capables de se procurer des produits et services énergétiques qui peuvent apporter des plus-valus économiques et alimentaires, mais cela reste hors de leur portée s’ils sont emmenés à payer comptant. Dans ce contexte, les prêts accordés par les organismes de micro finance peuvent faire augmenter les ventes et permettre aux entreprises solaires d’atteindre les clients à revenus faibles ou irréguliers. Pour les institutions de micro finance, la mise en place de prêts spéciaux leur permet de fidéliser davantage leur clientèle, de diversifier leurs produits, d’augmenter la compétitivité et, d’une manière générale de renforcer leur clientèle de base tout en observant des impacts positifs sociaux et environnementaux.

Micro finance et partenariat

L’expérience a montré que le lien entre micro finance et énergie peut être salutaire, mais cela demande beaucoup d’engagement entre les institutions de micro finance et les entreprises énergétiques. Le partenariat avec une institution de micro finance peut exiger de la part d’une entreprise énergétique d’investir davantage au-delà de ses opérations traditionnelles (augmentation du budget et du personnel), par exemple, la création d’un nouveau poste de chargé de clientèle et de prêt. Dans la mesure où plusieurs institutions de micro finance peuvent avoir une portée nationale, les entreprises solaires peuvent également se rendre compte qu’un nouveau partenariat en micro finance exige une expansion rapide de leurs activités d’installation et de l’élargissement des services après vente dans les zones géographiques régulièrement mal desservies.

Du côté des institutions de micro finance, les prêts énergétiques ont besoin d’un schéma bien élaboré et cela peut exiger des formations techniques destinées aux chargés de prêts, modifiant les modes opératoires habituels, introduisant des modes de suivi et d’évaluation spécialisés en énergie, et demandant des fonds dédiés pour créer des portefeuilles énergétiques. Enfin, la construction d’un accord de partenariat entre les entreprises énergétiques et les institutions de micro finance doit clairement définir les rôles de chaque partie prenante, les moyens de communication et de coordination ainsi que les garanties de stocks pour les services après vente et pour les nécessités de formation.

Plusieurs entreprises énergétiques reconnaissent l’importance de l’assistance technique selon l’un ou l’autre des schémas décrits ci-dessus. Arc Finance est une organisation à but non lucratif qui intervient dans la recherche de solutions pour faire augmenter les crédits énergétiques. Créé en 2008, Arc Finance conduit aujourd’hui des activités dans sept pays en Afrique, en Asie et en Amérique Latine, en développant et en optimisant des portefeuilles de prêts énergétiques, en collaboration avec les institutions de micro finance et les entreprises énergétiques.

Arc Finance présente un ensemble de propositions de services, en conseils et en expertises techniques, à des organisations financières, particulièrement aux institutions de micro finance, ainsi qu’aux entreprises énergétiques intéressées par l’introduction de programmes d’emprunts énergétiques dans leurs activités. Ces services incluent les recherches de marchés, les définitions des besoins énergétiques, l’assistance technique pour la mise en place de modèles économiques et des produits d’emprunts énergétiques, l’appui au partenariat ainsi que la définition et l’évaluation de programmes pilote.

Arc Finance soutien également les institutions financières dans le renforcement des capacités du personnel, la gestion, la formation de la clientèle et la sensibilisation du public, ainsi que dans la mise en place de systèmes de suivi et d’évaluation. En ce qui concerne les institutions qui disposent déjà d’une certaine expérience dans le prêt aux services énergétiques, Arc Finance présente un ensemble de propositions complètes de mise en échelle, destinées à l’identification d’obstacles, l’amélioration des savoir faire, la diversification de l’offre des produits et l’atteinte des objectifs.

Cet article a été publié pour la première fois dans “Partnership for Clean Indoor Air bulletin“, n° 22 janvier 2010.

Pour plus d’information sur Arc Finance, visitez leur site (anglais). Contact : Jacob Winiecki.

Laure Ego, GVEP

Maroc : présentation du Plan Solaire Marocain

Jean-Louis Borloo (ministre français de l’Écologie, de l’Énergie, du Développement durable et de la Mer) et Amina Ben Khadra (ministre marocain de l’Énergie, des Mines, de l’Eau et de l’Environnement) ont présenté du Plan Solaire Marocain mercredi 11 mars 2010. Il prévoit la construction d’une capacité de production électrique utilisant l’énergie solaire de 2GW entre 2015 et 2019.

Le Plan Solaire Marocain est une initiative majeure pour favoriser le développement des énergies renouvelables. Un premier appel d’offre sera lancé dès l’automne 2010 pour construire et exploiter plusieurs centrales d’une capacité de 500 MW à Ouarzazate.

Dans le détail, le projet marocain comportera 5 centrales solaires à :

- OUARZAZATE : Puissance : 500 MW / Superficie : 2500 ha / Production : 1150 GWh/an

- AIN BENI MATHAR : Puissance : 400 MW / Superficie : 2000 ha / Production : 835 GWh/an

- FOUM AL OUAD : Puissance : 500 MW / Superficie : 2500 ha / Production : 1150 GWh/an

- BOUJDOUR : Puissance : 100 MW / Superficie : 500 ha / Production : 230 GWh/an

- SEBKHAT TAH : Puissance : 500 MW / Superficie : 2500 ha / Production : 1040 GWh/an

Ainsi, en 2020, le Maroc prévoit que la part de la puissance électrique installée en énergie renouvelable (éolien, solaire, hydraulique) s’établira à 42% du parc.

Les objectifs du Plan Solaire Marocain sont cohérents avec ceux du Plan Solaire Méditerranéen (PSM), volet particulièrement important de l’Union pour la Méditerranée, qui vise à développer des projets de centrales électriques utilisant des sources d’énergies renouvelables sur les rives Sud et Est de la Méditerranée pour une production additionnelle totale de 20 GW d’ici 2020.

La France et le Maroc ont convenu de mettre en place un partenariat institutionnel, technique et financier afin d’assurer le succès du Plan Solaire Marocain.


Source : MEDDEEM.

Xavier Dufail

Salon de l’énergie renouvelable d’Afrique de l’Est 2010

Ce salon se tiendra les 6 et 7 avril 2010 à Nairobi (Kenya), sur le thème : « créer des marchés de l’énergie renouvelable en Afrique de l’Est »

« The Eastern Africa Renewable Energy Summit & Exhibition 2010 »

Lieu : Laico Regency Hotel, Nairobi, Kenya

Les thèmes de ce salon seront :

  • Cadre législatif et politiques sectorielles
  • Finance et investissement
  • Énergies renouvelables pour le développement urbain et rural
  • Développement et transfert de technologie
    • La biomasse et les biocarburants en Afrique de l’Est
    • L’énergie solaire et l’énergie éolienne
    • Hydraulique et géothermie
    • La cogénération

Participants attendus :

- Des services publics

- Des banques et des sociétés de financement

- Des sociétés de télécommunications

- Les sociétés d’énergie renouvelable

- Des ministères et départements du Gouvernement

- Des sociétés pétrolières et de l’énergie,

- Des fabricants de matériel pour l’énergie

- Des institutions financières internationales – Banque mondiale / SFI / BAD

- Des organisations multilatérales et bilatérales : l’ONUDI, l’USAID, DFID, JICA

- Des entreprises et organisations internationales

Plus d’informations sont disponibles sur le site de l’organisateur (en anglais).

Xavier Dufail

Tunisie : réduire de 20% la demande en énergie à l’horizon 2011

La Banque mondiale (BM) et l’Agence française de développement (AFD), viennent d’octroyer à la Tunisie, deux lignes de crédits réservées à la maîtrise de l’énergie, l’accompagnement et l’assistance techniques dans ce cadre.

Inscrits dans le cadre de la mise en œuvre du programme quadriennal de maitrise de l’énergie (PQME) pour la période 2008-2011, ces deux lignes de crédits ont été lancées afin de mobiliser les ressources financières appropriées et faciliter l’accès à des instruments idoines de financement.

En effet, la ligne de crédits octroyée par la Banque mondiale, d’un montant de 42,3 millions de dinars, est réservée aux projets de cogénération et d’efficacité énergétique.

Distribuée via trois banques de la Place à savoir l’Amen Bank, la Banque de l’Habitat (BH) et la Banque de financement des petites et moyennes entreprises (BFPME), cette ligne est accompagnée d’un programme d’assistance technique ayant pour objectif de venir en aide aux industriels.

Quant à la ligne de crédits accordée par l’AFD, d’un montant de 40 millions d’euros, elle est ouverte auprès de trois banques, la Banque Internationale Arabe de Tunisie (BIAT), la Banque de Tunisie (BT) et l’Union Bancaire pour le Commerce et l’Industrie (UBCI).

La ligne de crédit de l’AFD est, par ailleurs, accompagnée d’une subvention au profit des deux agences techniques concernées, l’Agence nationale pour la maitrise de l’énergie (AMNE) en matière de maitrise de l’énergie et l’Agence nationale pour la protection de l’environnement (ANPE) pour tout ce qui est dépollution.

Signée en Tunisie le 16 novembre 2009, cette ligne de crédit a profité, jusqu’à maintenant, à seulement deux entreprises industrielles, mettant à leur profit un montant de 4,4 millions de dinars dédiés à la réalisation de projets d’efficacité énergétique.

Force est de savoir dans ce contexte que la cogénération est un secteur des plus rentables et efficaces. Le Directeur Général de l’ANME, M. Aissa Ayadi, a souligné lors d’une journée d’information tenue le 3 mars 2010 à Tunis et dédiée à la présentation de ces deux lignes de crédit, que cinq industriels utilisent ce système en Tunisie.

Quant au PQME, qui ambitionne de faire baisser, à hauteur de 20%, la demande en énergie à l’horizon 2011, il a réussi jusqu’à la fin 2009 de réduire cette demande de 13%.


Source : Info Tunisie.

Xavier Dufail

Maroc : 2,5 millions d’euros de l’Allemagne pour la valorisation des énergies renouvelables

L’Allemagne a accordé au Maroc un don de 15 millions d’euros qui s’inscrit dans le cadre de l’accord de la coopération technique bilatérale, signé le mercredi 24 février 2010 à Rabat.

Cet accord de coopération technique 2008-2009 porte sur le financement de plusieurs projets et programmes dans les domaines de la gestion et de la promotion de l’environnement (4 millions d’euros), la valorisation des énergies renouvelables (2,5 millions d’euros), la protection de la nature et la lutte contre la désertification (2,7 millions d’euros).

Le financement concerne également le programme d’appui aux micros, petites et moyennes entreprises (4,3 millions d’euros), la formation professionnelle en milieu de travail (1 millions d’euros) et le Fonds d’études et d’experts (0,5 millions d’euros).

Cet accord englobe plusieurs projets et programmes portant notamment sur la valorisation des énergies renouvelables et l’efficacité énergétique. Il comprend l’accompagnement au niveau du cadre organisationnel, institutionnel et législatif pour la promotion des énergies renouvelables au Maroc.


Source : agence Maghreb Arabe Presse.

Xavier Dufail

Mozambique : 80 millions de dollars EU de la Banque mondiale pour le développement énergétique et l’accès à l’électricité

Le 4 février 2010, un crédit de 80 millions de dollars EU a été accordé au Mozambique par la Banque mondiale avec pour objectif d’améliorer durablement et à un coût abordable l’accès à l’électricité et à des services énergétiques modernes dans les zones périurbaines et rurales.

Crédit IDA : Équivalent de 80 millions de dollars EU

Conditions : Échéance = 40 ans.

Numéro du projet : P108444

Description du projet : le Projet de développement énergétique et d’accès à l’électricité au Mozambique a pour objectif d’améliorer durablement et à un coût abordable l’accès à l’électricité et à des services énergétiques modernes dans les zones périurbaines et rurales. Il s’articule autour de trois composantes majeures :

  1. renforcement des réseaux primaires et extension du réseau électrique ;
  2. investissements dans les énergies rurales et renouvelables ;
  3. planification du secteur énergétique, élaboration de politiques dans ce domaine et développement des institutions.

Contact médias :

Rafael Saute

+ 258 21 48 29 44

rsaute@worldbank.org


Source : Banque mondiale.

Xavier Dufail

La lettre de Rendev de janvier 2010

La dernière Lettre d’information du projet RENDEV, qui est en anglais, revient notamment sur les 3 années de ce projet qui s’est terminé en décembre 2009.

RENDEV est un projet de 3 ans qui explore la manière de lier la microfinance et l’accès à l’énergie renouvelable.

Le projet vise à apporter une contribution positive dans le développement rural et la réduction de la pauvreté au Bangladesh et en Indonésie, en augmentant l’accès à l’énergie solaire, le développement de la micro-entreprise, et la fourniture de mécanismes de microfinance adaptés aux besoins des personnes à faibles revenus.

Le projet a débuté en janvier 2007 et s’est terminé en décembre 2009.

Cette lettre présente :

- un survol des événements sur les 3 années du projet

- le programme COOPENER

- les formations au Bangladesh et en Indonésie

- la conférence internationale d’Dhaka(Bangladesh)

- des témoignages et commentaires dans le domaine


Source : Le site de Rendev (en anglais).

Xavier Dufail

Kenya : Africa Carbon Forum 2010

L’African Carbon Forum, 2ème édition, aura lieu du 3 au 5 mars 2010, à Gigiri (Kenya).

Objectifs

L’African Carbon Forum est une plateforme d’échanges commerciaux et de partage des connaissances pour les investissements carbone dans la région, en réunissant des représentants des autorités nationales, des correspondants nationaux, des représentants de plusieurs agences onusiennes, des gouvernements et du secteur privé.
Se tiendront des séances de jumelage qui permettront aux participants et promoteurs de projets potentiellement éligible à un MDP de présenter leurs projets aux parties intéressées, y compris aux investisseurs et aux acheteurs de carbone.

Plus précisément, le deuxième Forum africain du carbone vise :

- une mise à jour sur les différents points de vue sur les défis liés au changement climatique mondial, et les récents développements sur le marché international du carbone ;

- des discussions avec les développeurs de projets et des spécialistes techniques sur de nombreux domaines et technologies issues des bonnes pratiques et des leçons apprises pour la mise en œuvre de projets MDP en Afrique ;
- des leçons, données par les experts des secteurs publics et privés, sur les stratégies et mesures à adopter afin de promouvoir les avantages du MDP dans la région, en mettant l’accent sur la nouvelle approche du MDP programmatique
- des présentations par les participants de leurs projets MDP aux parties intéressées, et ainsi développer des jumelages, partenariats, etc.

- des opportunités pour établir des contacts tout au long du Forum.


Source : Site de l’African Carbon Forum (en anglais).

Xavier Dufail

Sénégal : accord de 9,5 milliards de FCFA pour l’électrification rurale de 19574 ménages

Le ministre sénégalais de l’énergie, Samuel Sarr, a signé vendredi 12 février 2010 un accord avec la Banque Mondiale(BM) qui va permettre l’accès à l’électricité à 19574 ménages, soit plus de 200 000 habitants des zones rurales, pour un investissement total de 9,5 milliards FCFA.

« cette cérémonie marque une étape décisive vers l’ancrage de la stratégie d’électrification rurale dans le partenariat public-privé avec l’entrée à hauteur de 16% de la SFI dans le capital de la société de projet COMASEL mise en place par l’office National de l’Électricité du Maroc pour l’exploitation de la concession Dagana-Podor-Saint Louis » a précisé Samuel Sarr.


Source : Un article du magazine Réussir.

Xavier Dufail