Rapport d’étude sur les données du bois-energie au Burundi

Rapport d’étude sur les données du bois-energie au Burundi
de François Nkurunziza,
FAO, 1999

Ce document fournit des données générales sur le secteur du bois-énergie au Burundi en 1999.

Ce rapport constitue un des résultats du Programme de partenariat Commission européenne – FAO (1998-2002) : collecte et analyse de données pour l’aménagement durable des forêts – joindre les efforts nationaux et internationaux.

Au sommaire :

- 1. Commentaire sur les données existantes en bois-énergie

- 2. Comparaison des données collectées avec celles de la F.A.O.

- 3. Analyse des tendances et des orientations

    • La production
    • La consommation

Il est disponible en ligne ici.

René Massé

Economie du bois de feu et environnement au Cameroun

Communication de Claude NJOMGANG lors du colloque international Francophonie et développement qui s’est tenu à Dakar en 2002

La totalité du document est disponible en ligne ici

« Le Cameroun est depuis longtemps affecté par une crise à la fois physique et économique du bois de feu. La crise est physique, puisqu’elle est liée à la déforestation qui affecte particulièrement la zone soudano-sahélienne et la zone de savane. Elle est aussi économique, puisqu’elle résulte de la pression de la demande urbaine de bois sur le couvert boisé.

La politique de gestion des ressources ligneuses est limitée, dans ce contexte, par l’absence d’un cadre formel d’analyse et d’une norme rationnelle de gestion. L’idée de base dans la recherche d’une telle norme, est que le reboisement n’est pas une fin en soi, quelle que soit l’ampleur de la crise du bois de feu. Elle ne doit viser ni plus ni moins qu’à restaurer l’équilibre, défini par référence au taux d’exploitation compatible avec l’auto-régénération de la ressource ligneuse.

Le cadre d’analyse proposé dans cet article repose sur la recherche d’une définition opérationnelle de la crise du bois de feu, et sur un modèle théorique du prix d’équilibre conçu comme une norme de reboisement. L’économie du bois de feu nous offre un cadre d’analyse mettant en évidence l’importance de l’interface économie –environnement pour une gestion durable de la ressource ligneuse. »

Suite…

René Massé

Boiling Point, the household energy journal

Bulletin anglophone sur l’accès à l’énergie dans les pays en développement.

Boiling Point est un bulletin qui traite des aspects techniques, sociologiques, financiers et environnementaux de l’accès à l’énergie des ménages des pays en développement.

Créé en 1982 par l’ONG ITDG (dont le nom est maintenant Practical Action), Boiling point est désormais édité et diffusé par le réseau d’information Hedon.

Ses numéros sont disponibles ici(EN).

Jérome Levet, René Massé

Guides techniques du ResCER sur les énergies renouvelables

Le ResCER est le site francophone sur les énergies renouvelables du ministères des ressources naturelles canadien. Le ResCER diffuse une grande quantité d’informations générales sur les énergies renouvelables : bioénergie, énergie du sol, énergie hydroélectrique, énergie solaire, énergie éolienne. Elles sont disponibles ici Pour en savoir plus voir l’article consacré au ResCER

Le ResCER est le site francophone sur les énergies renouvelables du ministères des ressources naturelles canadien.

Le ResCER diffuse une grande quantité d’informations générales sur les énergies renouvelables : bioénergie, énergie du sol, énergie hydroélectrique, énergie solaire, énergie éolienne.

Elles sont disponibles ici


Pour en savoir plus voir l’article consacré au ResCER

Jérome Levet, René Massé

La gestion de l’énergie et des forêts au Sénégal

En transférant le produit de l’exploitation des ressources forestières aux populations riveraines, ce projet de la Banque mondiale a permis de ralentir la déforestation et de créer du développement local…

Il y a plus de dix ans, les villageois des campagnes au sud-est du Sénégal assistaient, impuissants, à la coupe à blanc de leurs forêts naturelles destinée à alimenter les besoins croissants des villes en charbon de bois. Les régions de Tambacounda et de Kolda perdaient environ 30 000 hectares de forêt chaque année…

Nombreux alors étaient ceux qui craignaient que la déforestation n’empiète sur le parc national Niokolo-Koba, une réserve internationale de la biosphère classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, avec 350 espèces d’oiseaux et 80 espèces de mammifères sauvages.

Le ralentissement de la déforestation

Dix ans plus tard, la déforestation a ralenti et de meilleures pratiques de la gestion forestière permettent de créer une zone tampon pour le parc national. Ce changement est largement dû aux réglementations forestières de 1998 qui octroyent aux communautés locales l’autorité de gérer les forêts en dehors des zones forestières gérées par l’État.

M. Boris Utria, Economiste principal de la Banque mondiale rappelle que, « autrefois, les entrepreneurs arrivaient, abattaient les arbres, sans aucun bénéfice pour la population locale. Les habitants étaient totalement privés de leurs droits sur ces ressources ». « Aujourd’hui, ce sont les habitants qui vendent à la ferme. Ils gèrent durablement les ressources, en protégeant leur environnement et en tirant des bénéfices qu’ils réinvestissent dans la diversification économique par l’introduction de nouvelles cultures, de troupeaux, d’apiculture et d’activités artisanales ainsi que dans les actifs sociaux, l’enseignement et les activités culturelles ».

Un projet de gestion de l’énergie

M. Utria dirige une équipe multisectorielle en charge du projet de gestion participative et durable de l’énergie d’un montant de 20 millions de dollars, financé par l’Association internationale de développement de la Banque (5,2 millions de dollars), l’agence de coopération hollandaise (8,8 millions de dollars) et le Fonds pour l’environnement mondial (4,7 millions de dollars).

Le projet a instauré des systèmes de gestion durable des ressources naturelles dans 317 communautés, couvrant 300 000 hectares de forêts ; il a formé des élus de chaque village sur la manière de gérer le quota de forêts et d’autres ressources naturelles du village de manière participative et durable, et sur la façon de produire efficacement du charbon de bois.

Le projet a donné aux villageois le droit de décider de l’utilisation de l’argent gagné, une approche connue sous le nom de développement communautaire.

Des résultats qui dépassent les espérances

  • Le projet a réduit la déforestation d’environ 39 000 hectares par an – dépassant l’objectif initial d’une réduction de 20 000 hectares.
  • En décembre 2004, on a estimé que le projet avait économisé 1 million de tonnes de bois, équivalant à 1,78 million de tonnes d’émission de dioxyde de carbone (valorisé à 1,8 millions de dollars), soit 312 % de plus que l’estimation initiale. La valeur économique des réductions de CO2 devrait atteindre la somme de 66 millions de dollars au bout de 20 ans.
  • 250 000 familles vivant en zones urbaine et périurbaine ont profité de la diffusion de poêles au charbon de bois améliorés, et 11 000 autres familles ont profité de l’accès à des poêles moins polluants à combustible liquide dérivé du pétrole.
  • Quelque 317 villages qui n’avaient jamais auparavant tiré profit de la forêt ni d’autres ressources naturelles se sont partagés 12,5 millions de dollars de recettes supplémentaires l’année de la clôture de la première phase du projet en 2005 ; ce chiffre s’est élevé depuis à 15,9 millions de dollars par an. L’objectif initial du projet pour un différentiel soutenu était de 3 millions de dollars.

« Le projet a non seulement eu un impact quantifiable et visible, mais il a surtout généré un réel changement social qui a engendré une dynamique d’autonomie et de fiabilité économique. Ce sont les villageois qui en bénéficient, il est donc dans leur intérêt de continuer. Ils ont mis en place le projet, l’ont conduit, il ne peut donc échouer de la sorte. » conclu M. Utria.


Source : un article publié sur le site de la Banque mondiale ici.

René Massé

Politiques forestières en faveur des plus démunis

InfoResources News No 2 / 07 (Mai 2007) présente un document très intéressant (en anglais) sur les enjeux de la lutte contre la pauvreté liés à la gestion du secteur forestier pour la prochaine décennie.

« Where in the world is there pro-poor forest policy and tenure reform ? »

Auteur : Mary Hobley.
Publication de Rights+Resources,
2007. 91 p.

Site Internet : www.rightsandresources.org

Afin d’éviter la déforestation (en particulier liée aux prélèvements absifs de bois de feu), de mieux contrôler les activités illégales ou de générer l’équité dans l’obtention de bénéfices, de nombreux pays reconnaissent maintenant le droit aux communautés de devenir propriétaires de terrains forestiers et d’en assumer la juridiction locale. Cette situation où la politique gouvernementale délègue une part de ses responsabilités est également supposée donner des opportunités aux populations les plus démunies. Toutefois, cette transition rencontre des obstacles, dus notamment aux défaillances dans les processus qui accompagnent les changements structurels.

A partir d’une réinterprétation de ce que signifie une « politique en faveur des pauvres », l’auteur examine d’abord les enjeux aux niveaux international, national et local. A travers des études par pays, elle restitue ensuite ces enjeux dans la perspective du secteur forestier pour la prochaine décennie. La prise en compte du facteur « temps » propice au changement, ainsi que l’élargissement du spectre d’analyse des champs d’influence institutionnels représentent des pistes originales.

Basé sur une large bibliographie, des statistiques et la pratique, cet ouvrage constitue une référence pour les orientations de politique forestière nationale.

Document disponible (en anglais) :


Inforessources est financé par le Confédération Suisse et son site se propose d’être « une source d’information en matière de ressources naturelles dans le cadre de la coopération internationale, centrée sur l’agriculture, les forêts et l’environnement ».

René Massé

Energie domestique, pollution intérieure des habitations et santé

Déclaration de Politique générale présentée par l’UNEP à la 15ème session de la Commission des Nations Unies sur le Développement durable (CDD).

La pollution intérieure due à la cuisson au bois énergie est responsable de plus de 1,5 millions de décès par an. Les femmes et les jeunes enfants sont les plus exposés et les princiales victimes.

Les études menées ces dernières années fournissent des preuves suffisantes qui établissent un lien direct entre la pollution à l’intérieur de la maison liée à la combustion de bois énergie et des infections aiguës telles que pneumonies, bronchites chroniques et cancer du poumon.

Si la communauté internationale prend lentement conscience de cette autre conséquence de la crise de l’énergie sur les plus pauvres, l’action politique et les financements pour s’attaquer au problème restent très limités.

D’ici 2015, un des objectifs du Millénaire est de « réduire de moitié le nombre de personnes n’ayant pas accès aux combustibles modernes de cuisson des aliments et rendre nettement plus accessibles les techniques de cuisson améliorée ».

Cette déclaration présentée au 15ème CDD rappelle ce constat et cet engagement de la Communauté internationale. Elle suggère des pistes pour y parvenir :

  • Aider les pays en développement à revoir leurs politiques nationales, en particulier en introduisant cette préoccupation dans leurs documents de lutte contre la pauvreté ;
  • Mieux coordonner les efforts sectoriels (santé, énergie, environnement, finance) ;
  • Mieux coordonner les interventions des différents acteurs, secteur privé, ONG, agences nationales et internationales… ;

Ce processus permettra d’après cette déclaration à mieux identifier les mécanismes financiers et techniques nécessaires pour promouvoir l’accès aux combustibles moins polluants et aux technologies efficaces et financièrement abordables.

Ce processus permettra aussi de mettre l’accent sur les facteurs politiques, informationnels et réglementaires nécessaires pour favoriser la création d’un marché de solutions technologiques non polluantes, abordables et efficaces en matière d’énergie domestique.


Voir aussi :

Le PCIA est une des Initiatives lancées à Johanesbourg, en septembre 2002. Elle rassemble des institutions publiques et privées, et a pour objectif de réduire les risques de santé publique encourus par les quelques 3 milliards de personnes qui cuisinent et se chauffent au bois énergie.

René Massé

2007, année des énergies alternatives à Madagascar : programme des manifestations

Agenda 2007 des projets dans la durée et des manifestations ponctuelles prévus par les acteurs publics et privés, nationaux et internationaux dans le domaine des énergies alternatives.

Conférences, ateliers, formations, expositions et présentations, mais aussi articles de journaux et émissions à la radio et à la télévision, chaque mois de l’année 2007 propose des activités.

Le Groupe de Travail sur l’Energie (GTE) regroupe une centaine d’experts publics et privés, nationaux et internationaux, tous impliqués professionnellement dans un des secteurs de l’énergie à Madagascar.

Dans le cadre de l' »Année des énergies alternatives », ils viennent de publier l’agenda des activités concernant les énergies alternatives prévues en 2007 sur le territoire malgache. Cela concerne aussi bien l’électrification rurale que les énergies de cuisson, et toutes les formes d’énergie sont concernées.

Par exemple, une « exposition-stand sur les énergies alternatives » sera organisée de manière tournante au cours de l’année dans différentes villes de Madagascar ; elle commencera à Antananarivo, en juin 2007, dans le cadre du mois de l’environnement.

Les activités de l’Année des Energies Alternatives et les travaux réalisés cette Année pourront contribuer au « Strategic Decision Meeting » pour le secteur de l’énergie à Madagascar, prévu au mois d’octobre, bien que ce Strategic Decision Meeting ne fasse pas partie de l’organisation de l’Année.

Ce programme est prévisionnel. D’autres évènements ayant trait aux énergies alternatives pourront être inclus dans le courant de l’annéeet en fonction de l’évolution des projets et programmes.

Jérome Levet, René Massé

Problématiques de l’électricité, du bois et du gaz en milieu rural dans les provinces du Nord du Maroc

Les 13 et 14 avril 2007, 52 associations et sociétés se sont réunies à Chefchaouen, pour débattre des « Problématiques de l’électricité, du bois et du gaz en milieu rural dans les provinces du Nord du Maroc ». Etaient également présents le Haut Commissariat aux Eaux et Forêts et le CDER (Centre de développement des énergies renouvelables de Marrakech).

Article publié sur son site Internet par le journal Libération, à Casablanca, le 18 avril 2007, sous la signature de M. Amel Nejjari.

La rencontre de Chefchaouen

Cette rencontre a été organisée conjointement par le MNED (Maroc Nord Energie Durable), une cellule mise en place à Chaouen par le GERES (Groupe énergies renouvelables et environnement, association française installée à Marseille) et le GERERE (Groupe d’études et de recherche sur les énergies renouvelables et l’environnement), qui regroupe de nombreux universitaires, dans le cadre du programme de micro financement du Fonds pour l’environnement mondial (FEM – PNUD).

La première journée à principalement donné la parole aux associations de terrain, qui ont exposer les différents aspects, dans le milieu rural, liés à la consommation de l’énergie sous forme d’électricité, de bois et de butane. La seconde journée a vu la création d’ateliers de travail autour de deux grandes thématiques : l’électrification rurale et la problématique du bois de feu.

L’électrification rurale

Un constat a été fait de l’effort important mené ces dernières années par le Programme d’électrification rurale globale (PERG) de l’Office national de l’électricité (ONE) qui, lancé en 1995, a notamment permis de couvrir 80% du milieu rural. Cet effort est certes louable, mais les participants observent qu’il n’a pas pleinement réussi à relancer l’économie locale en termes d’emplois générés et de dynamique de développement. Il pourrait même avoir accru l’endettement des foyers ruraux et des collectivités locales qui ont contribué au financement de ces investissements à hauteur de 25% du coût global.

Alors les participants se sont efforcé de formuler des recommandations pour améliorer la situation :

  • Tout d’abord, ils suggèrent de mener des études d’impact, des diagnostics afin de donner une visibilité claire à la situation. Les leçons tirées de ces réalisations permettraient sans aucun doute d’améliorer la qualité des services, la maintenance et de revoir les coûts de branchement ;
  • La priorité de l’électrification devrait être donnée aux infrastructures de services comme les écoles, les dispensaires mais également aux activités génératrices de revenus ;
  • Enfin, la sensibilisation et l’éducation de la population leur apparaît comme une tâche primordiale, en particulier en direction des enfants : inscrire la donne écologique au sein des foyers et de l’école.

Le bois de feu

L’atelier « Bois de feu » a soulevé l’épineux problème de l’exploitation excessive des forêts. La forêt comme régulateur du cycle de l’eau et protecteur des sols joue un rôle primordial contre la désertification à travers la conservation des eaux et des sols pour la régulation du cycle hydrologique, la sauvegarde de la productivité des terres et la protection des barrages et des infrastructures ainsi que par la protection de la biodiversité, source de richesse pour le pays. Le patrimoine forestier national est de 9 millions d’ha : les participants ont noté que le taux de boisement actuel de 8% est très inférieur aux normes internationales qui recommandent un taux de 15% à 20%.

Sur le terrain, la forêt marocaine subit une forte pression qui dégrade cette richesse à cause d’une surexploitation excessive et d’une augmentation de la consommation de cette source d’énergie. Les participants ont recommandé de promouvoir le reboisement sous forme de bosquets, le développement du biogaz lorsque cela est possible par la mise à niveau des technologies mais surtout l’amélioration des revenus dans les zones rurales pour permettre un meilleur accès au gaz.


Site de référence : Libération

René Massé

Guide de suivi et d’évaluation pour des projets énergétiques

Rapport du groupe de travail Monitoring and Evaluation for Energy in Development – M&EED du GVEP. Décembre 2006. 108 pages.

Véritable outil à la disposition des responsables de projets énergie pour organiser le suivi et l’évaluation de leurs activités avec et au bénéfice de toutes les parties prenantes du projet.

Le fruit d’un véritable travail de groupe, à l’échelle internationale

Depuis plusieurs mois, le groupe M&EED d’experts internationaux travaille à la conception d’un outil pour aider les experts à organiser le suivi des projets et à les évaluer. Des représentants d’organismes comme l’ADEME, le DFID, la DG DEV de la Commission européenne, EDF, Energia, Future Energy Solutions, le GVEP, la GTZ, ITPower, La ministère français des Affaires étrangères, Senter Novem, UNEP RISOE, le PNUD, et bien d’autres experts indépendants ont contribué à ce travail.

Les objectifs du guide

Les projets sont confrontés au défi que constitue la mise en œuvre de moyens sûrs, économiques et fiables permettant de mesurer leur efficacité. Ce guide propose une approche graduelle pour la mise en place de procédures de suivi et d’évaluation spécifiques aux projets.

La procédure de suivi-évaluation (S&E) a pour but de mesurer le progrès et la réussite du projet, en fonction d’indicateurs convenus, qui peuvent être des valeurs quantitatives ou qualitatives décrivant la réalité et indiquant le degré de changement. Il est important de décrire les conditions au début du projet car elles fournissent un état des lieux ou une base de référence à partir de laquelle il est possible d’évaluer les progrès.

Le contenu de ce guide

Il est composé de deux parties :

  • une section méthodologique générale, qui décrit un processus en 10 étapes (voir ci-après), que les équipes responsables des projets peuvent suivre pour définir un système de S&E spécifique à leur projet ;
  • une deuxième section qui comporte des suggestions détaillées pour l’application de cette méthode à des projets concrets. Elle contient des modules thématiques portant sur des projets d’électrification, de diffusion de foyers améliorés et sur le soutien institutionnel aux projets.

La section méthodologique comprend les dix étapes suivantes :

- 1. Identifier les besoins en S&E des parties prenantes au projet ;

- 2. Exécuter une représentation graphique du projet ;

- 3. Relier les résultats du projet aux maillons de la chaîne causale ;

- 4. Choisir les indicateurs et les méthodes de collecte de données ;
- 5. Aborder les questions transversales ;
- 6. Rédiger un projet de système de S&E ;

- 7. Valider le système avec les parties prenantes au S&E ;

- 8. Intégrer les commentaires des parties prenantes dans la conception du S&E ;
- 9. Mettre en œuvre le S&E dans le cadre du projet ;
- 10. Pour finir, présenter les résultats du S&E, convenir du suivi des recommandations.


Le site du GVEP propose également ce guide en version anglaise.

René Massé