Mali : la Banque islamique de développement finance un projet d’électrification rurale

La Banque islamique de développement (BID) vient de consentir au Mali un prêt d’un montant de 2,923 milliards de FCFA pour le financement d’un projet d’électrification rurale.

Conformément à l’accord de prêt, signé le 4 février 2007 à Djeddah entre le gouvernement de la République du Mali et la Banque islamique de développement (BID), ce prêt vise à améliorer les conditions de vie des populations par la réalisation de systèmes d’éclairages publics dans les localités ayant plus de 5.000 habitants.

La première phase du projet concerne les Cercles de Kati, Yanfolila (sud), Nioro, Bandiagara, Djenné, Douentza (centre) et Goundam (nord).

Le développement de l’électrification rurale, tout en permettant d’améliorer le cadre et les conditions de vie des populations, contribue, selon le gouvernement, à la création d’un environnement propice à la promotion des activités socio-économiques dans les localités concernées.


Source PANA : article publié sur le site d’African Manager le 16 mars 2007.

René Massé

Problématiques de l’électricité, du bois et du gaz en milieu rural dans les provinces du Nord du Maroc

Les 13 et 14 avril 2007, 52 associations et sociétés se sont réunies à Chefchaouen, pour débattre des « Problématiques de l’électricité, du bois et du gaz en milieu rural dans les provinces du Nord du Maroc ». Etaient également présents le Haut Commissariat aux Eaux et Forêts et le CDER (Centre de développement des énergies renouvelables de Marrakech).

Article publié sur son site Internet par le journal Libération, à Casablanca, le 18 avril 2007, sous la signature de M. Amel Nejjari.

La rencontre de Chefchaouen

Cette rencontre a été organisée conjointement par le MNED (Maroc Nord Energie Durable), une cellule mise en place à Chaouen par le GERES (Groupe énergies renouvelables et environnement, association française installée à Marseille) et le GERERE (Groupe d’études et de recherche sur les énergies renouvelables et l’environnement), qui regroupe de nombreux universitaires, dans le cadre du programme de micro financement du Fonds pour l’environnement mondial (FEM – PNUD).

La première journée à principalement donné la parole aux associations de terrain, qui ont exposer les différents aspects, dans le milieu rural, liés à la consommation de l’énergie sous forme d’électricité, de bois et de butane. La seconde journée a vu la création d’ateliers de travail autour de deux grandes thématiques : l’électrification rurale et la problématique du bois de feu.

L’électrification rurale

Un constat a été fait de l’effort important mené ces dernières années par le Programme d’électrification rurale globale (PERG) de l’Office national de l’électricité (ONE) qui, lancé en 1995, a notamment permis de couvrir 80% du milieu rural. Cet effort est certes louable, mais les participants observent qu’il n’a pas pleinement réussi à relancer l’économie locale en termes d’emplois générés et de dynamique de développement. Il pourrait même avoir accru l’endettement des foyers ruraux et des collectivités locales qui ont contribué au financement de ces investissements à hauteur de 25% du coût global.

Alors les participants se sont efforcé de formuler des recommandations pour améliorer la situation :

  • Tout d’abord, ils suggèrent de mener des études d’impact, des diagnostics afin de donner une visibilité claire à la situation. Les leçons tirées de ces réalisations permettraient sans aucun doute d’améliorer la qualité des services, la maintenance et de revoir les coûts de branchement ;
  • La priorité de l’électrification devrait être donnée aux infrastructures de services comme les écoles, les dispensaires mais également aux activités génératrices de revenus ;
  • Enfin, la sensibilisation et l’éducation de la population leur apparaît comme une tâche primordiale, en particulier en direction des enfants : inscrire la donne écologique au sein des foyers et de l’école.

Le bois de feu

L’atelier « Bois de feu » a soulevé l’épineux problème de l’exploitation excessive des forêts. La forêt comme régulateur du cycle de l’eau et protecteur des sols joue un rôle primordial contre la désertification à travers la conservation des eaux et des sols pour la régulation du cycle hydrologique, la sauvegarde de la productivité des terres et la protection des barrages et des infrastructures ainsi que par la protection de la biodiversité, source de richesse pour le pays. Le patrimoine forestier national est de 9 millions d’ha : les participants ont noté que le taux de boisement actuel de 8% est très inférieur aux normes internationales qui recommandent un taux de 15% à 20%.

Sur le terrain, la forêt marocaine subit une forte pression qui dégrade cette richesse à cause d’une surexploitation excessive et d’une augmentation de la consommation de cette source d’énergie. Les participants ont recommandé de promouvoir le reboisement sous forme de bosquets, le développement du biogaz lorsque cela est possible par la mise à niveau des technologies mais surtout l’amélioration des revenus dans les zones rurales pour permettre un meilleur accès au gaz.


Site de référence : Libération

René Massé

Guide de suivi et d’évaluation pour des projets énergétiques

Rapport du groupe de travail Monitoring and Evaluation for Energy in Development – M&EED du GVEP. Décembre 2006. 108 pages.

Véritable outil à la disposition des responsables de projets énergie pour organiser le suivi et l’évaluation de leurs activités avec et au bénéfice de toutes les parties prenantes du projet.

Le fruit d’un véritable travail de groupe, à l’échelle internationale

Depuis plusieurs mois, le groupe M&EED d’experts internationaux travaille à la conception d’un outil pour aider les experts à organiser le suivi des projets et à les évaluer. Des représentants d’organismes comme l’ADEME, le DFID, la DG DEV de la Commission européenne, EDF, Energia, Future Energy Solutions, le GVEP, la GTZ, ITPower, La ministère français des Affaires étrangères, Senter Novem, UNEP RISOE, le PNUD, et bien d’autres experts indépendants ont contribué à ce travail.

Les objectifs du guide

Les projets sont confrontés au défi que constitue la mise en œuvre de moyens sûrs, économiques et fiables permettant de mesurer leur efficacité. Ce guide propose une approche graduelle pour la mise en place de procédures de suivi et d’évaluation spécifiques aux projets.

La procédure de suivi-évaluation (S&E) a pour but de mesurer le progrès et la réussite du projet, en fonction d’indicateurs convenus, qui peuvent être des valeurs quantitatives ou qualitatives décrivant la réalité et indiquant le degré de changement. Il est important de décrire les conditions au début du projet car elles fournissent un état des lieux ou une base de référence à partir de laquelle il est possible d’évaluer les progrès.

Le contenu de ce guide

Il est composé de deux parties :

  • une section méthodologique générale, qui décrit un processus en 10 étapes (voir ci-après), que les équipes responsables des projets peuvent suivre pour définir un système de S&E spécifique à leur projet ;
  • une deuxième section qui comporte des suggestions détaillées pour l’application de cette méthode à des projets concrets. Elle contient des modules thématiques portant sur des projets d’électrification, de diffusion de foyers améliorés et sur le soutien institutionnel aux projets.

La section méthodologique comprend les dix étapes suivantes :

- 1. Identifier les besoins en S&E des parties prenantes au projet ;

- 2. Exécuter une représentation graphique du projet ;

- 3. Relier les résultats du projet aux maillons de la chaîne causale ;

- 4. Choisir les indicateurs et les méthodes de collecte de données ;
- 5. Aborder les questions transversales ;
- 6. Rédiger un projet de système de S&E ;

- 7. Valider le système avec les parties prenantes au S&E ;

- 8. Intégrer les commentaires des parties prenantes dans la conception du S&E ;
- 9. Mettre en œuvre le S&E dans le cadre du projet ;
- 10. Pour finir, présenter les résultats du S&E, convenir du suivi des recommandations.


Le site du GVEP propose également ce guide en version anglaise.

René Massé

M. Samuel Sarr nommé ministre de l’Energie du Sénégal

Le ministère des Mines, de l’Industrie et de l’Energie sénégalais a été divisé en deux ministères, et M. Samuel Sarr, ex-dirigeant de la SENELEC, vient d’être nommé ministre de l’Energie. M. Madické Niang conserve le ministère des Mines et l’Industrie.

Le ministère des Mines, de l’Industrie et de l’Energie sénégalais a été divisé en deux ministères, et M. Samuel Sarr, ex-dirigeant de la SENELEC, vient d’être nommé ministre de l’Energie.

M. Madické Niang conserve le ministère des Mines et l’Industrie.

René Massé

Le producteur indépendant d’électricité comme outil de la privatisation

Rapport des travaux d’un atelier organisé par le ministère de l’Énergie du Burkina Faso en mars 2003 à Ouagadougou. Auteur : M. Wolfgang Mostert.
15 pages.

Un producteur indépendant d’électricité (PIE) est une unité de production d’électricité qui appartient à une structure indépendante qui n’a pas d’intérêt économique dans une société de transport et/ou de distribution d’électricité. On peut distinguer deux types de PIEs :

  • Le PIE qui vend toute sa production sur la base d’un contrat d’achat d’énergie à long terme à un acheteur unique ;
  • Le PIE qui possède une « centrale commerciale » et qui vend sa production à un groupement d’acheteurs locaux et régionaux, sur la base d’un contrat d’achat d’énergie de moyen terme avec différents acheteurs – sociétés de distribution ou gros consommateurs industriels qui peuvent être situés dans différents pays.

Ce document ne considère que les PIEs qui s’adressent à des « acheteurs uniques » et dont les investissements sont réalisés par des investisseurs privés étrangers.

Les PIEs sont présentés comme des options attrayantes pour trois raisons :

- 1. Ils sont censés faciliter l’investissement lorsque les consommations dépassent les capacités de production et que l’Etat ne peut investir ; les PIEs permettent alors d’alléger rapidement des déficits de production d’électricité ;

- 2. Le recours aux PIEs permet d’impliquer le secteur privé sans avoir d’importants dispositifs de régulation, d’autant que les conditions d’exploitation peuvent être spécifiées dans les contrats de production indépendante ;

- 3. Les PIEs servent souvent à initier une démarche de libéralisation et en conséquence préparent la privatisation de tout le secteur de l’électricité.

Cependant, de plus en plus de gouvernements rencontrent des difficultés avec les PIEs :

  • Dans des pays tels que le Pakistan, l’Inde, l’Ouganda et l’Indonésie, les PIEs ont été l’objet de longues batailles juridiques, politiques et économiques, de scandales de corruption accompagnées d’appels à la renégociation des conditions très favorables accordées aux producteurs d’électricité par des gouvernements précédents ;
  • D’autres pays ont vu la société en charge du service public de l’électricité paralysée de dettes dues aux PIEs, comme par exemple la République Dominicaine et la Tanzanie ;
  • Dans quelques pays, comme les Philippines qui ont réussi à mettre en oeuvre une réforme de libéralisation du secteur de l’électricité, les contrats PIE conclus par des sociétés publiques sont devenus un fardeau pour le secteur public, puisqu’ils se sont convertis en coûts perdus qui doivent ensuite être recouvrés par des redevances sur la consommation d’électricité.

En dépit de ces difficultés, beaucoup de PIEs sont en projet dans plusieurs pays.

Ce document apporte dans un premier temp des élements de réponses à des questions sur les PIEs comme :

  • Les PIEs augmentent-ils la capacité de production ?
  • Les PIEs réduisent-ils le coût de production d’électricité ?
  • Les PIEs partagent-ils les risques d’une manière équitable ?
  • Les PIEs améliorent-ils la situation financière des sociétés gestionnaire du service public ?
  • Les PIEs contribuent-ils à réduire l’endettement des gouvernements ?
  • L’introduction des PIEs accélère t-elle la privatisation et la restructuration globale du secteur de l’électricité ?
  • Les propositions de projet non sollicitées devraient-elles être acceptées ?

Puis, il étudie un cas particulier, celui d’une centrale thermique de 100 MW en Tanzanie :

  • Structure du secteur et régulation ;
  • Réforme en imaginant en même temps l’introduction de PIEs ;
  • Situation conduisant aux PIEs : gel de l’aide par bailleurs suite à des scandales de corruption, manque de puissance provoqué par le projet ;
  • Offres pour investir dans la production thermique : la centrale diesel de 104 MW avec un contrat d’achat d’électricité de 0.14 dollars US par kWh ; le financement de centrales de production thermique entre 1994 et 1995 ; le projet de PIE de Songas ; les 100 MW de Independent Power Tanzania Ltd (IPTL) ;
  • Chronologie des principaux événements.

René Massé, Wolfgang Mostert

Partenariat public-privé pour l’électrification rurale : études de cas au Guatemala, en Ouganda et en Argentine

Rapport des travaux d’un atelier organisé par le ministère de l’Énergie du Burkina Faso, en mars 2003, à Ouagadougou. Auteur : M. Wolfgang Mostert.

19 pages.

Un premier chapitre analyse les effets de la politique de privatisation sur l’électrification rurale. Il analyse en particulier :

  • Le partenariat public-privé (PPP) pour l’électrification rurale ;
  • Le dilemme politique posé par la fixation des tarifs de l’électricité en zone rurale ;
  • Le rôle de la régulation pour garantir des concessions viables au plan commercial ;
  • La fixation d’objectifs de raccordement dans les contrats de concession comme instrument pour favoriser l’électrification rurale ;
  • Les fonds d’électrification rurale en tant qu’instruments pour favoriser l’électrification rurale.

Les trois chapitres suivants sont consacrés à des études de cas :

-1. Le Guatemala : le modèle PPP de luxe ;

    • Situation antérieure à la privatisation et à la restructuration,
    • La réforme introduite par la loi sur l’électricité de 1996,
    • Les modalités de la privatisation de la distribution en zone rurale,
    • Les leçons apprises : absence de concurrence pour les subventions, une faible optimisation des subventions, l’approche subventions croisées urbain-rurale, l’absence de co-financement privé dans l’électrification rurale, et l’applicabilité de l’approche guatémaltèque à d’autres pays.

-2. L’Ouganda

    • L’élimination de l’UEB, une entreprise mal gérée ; la situation avant la privatisation, et la nouvelle structure pour la privatisation ;
    • Le programme d’électrification rurale : le Fonds d’électrification rurale et la stratégie d’électrification rurale, la question de la politique tarifaire, et les questions relatives à la politique de subvention ;
    • Le projet de production indépendante d’électricité de la centrale hydroélectrique de 250 MW de Bujagali.

-3. Argentine

  • Les Investissements Privés dans l’Electrification hors Réseau.

René Massé, Wolfgang Mostert

Les buts et la réalité des privatisations des entreprises électriques

Rapport de restitution des travaux de l’atelier sur la privatisation des entreprises de l’électricité, organisé à Ouagadougou par le Ministère de l’Energie du Burkina Faso, en mars 2003.
Auteur : M. Wolfgang Mostert.

14 pages.

Ce rapport étudie l’intérêt de privatiser une entreprise publique d’électricité à partir de six analyses complémentaires :

- 1. Les Liens entre la privatisation et la restructuration ;

- 2. La privatisation comme outil de gestion de crise ;
- 3. Le but de la privatisation : attirer le capital privé ;
- 4. La privatisation idéologique : réduire le rôle de l’État dans le secteur commercial ;

- 5. La privatisation stratégique : améliorer la structure commerciale de l’économie ;

- 6. Le but de la Privatisation : améliorer l’efficacité de la structure industrielle.

René Massé, Wolfgang Mostert

La GTZ publie une lettre d’information sur l’énergie en Afrique

GTZ Energy News n°5 d’avril 2007 présente huit articles dédiés à des projets énergie en Afrique.

Après une décade de relatif désintérêt, l’énergie est redevenue une priorité de l’agenda politique en Afrique. La fourniture d’énergie à un prix compétitif est un prérequis au développement économique et à l’intégration de ces économies africaines dans l’économie mondiale. Le développement local durale et la réduction de la pauvreté ne se feront pas sans l’approvisionnement des populations en services énergétiques, qu’il s’agisse de chaleur pour la cuisson des aliments ou d’électricité pour l’éclairage et la promotion d’activités génératrices de revenus.

L’Afrique est richement pourvue en ressources énergétiques, renouvelables et fossiles. Cette dernière édition de GTZ Energy News illustre quelques exemples de valorisation de ces ressources pour le développement social et économique. Ces réussites ont bénéficié de la combinaison d’une volonté politique, de capacités locales de programmation et de mise en oeuvre, d’innovations et d’un esprit d’entreprise.

René Massé

Analyse des données du premier trimestre 2007 du parc éolien de Gantour, au Sénégal

Premier rapport bimestriel des résultats de vitesses et de directions du vent, mesurés sur le site de Gantour au Sud Rao, dans la région de Saint Louis, en février et mars 2007.

Etude publiée par C3E Sarl, Compagnie de l’Eau, de l’Energie et de l’Environnement à Dakar, le 19 avril 2007.
Financement de l’Agence française de Développement.

Partenaire technique : CEGELEC, de Toulouse, France.

38 pages.

Méthologie

Sur un mât de 40 mètres de haut ont été installé quatre anémomètres à 40, 39, 29 et 17 mètres de haut, deux girouettes à 37 et 23 mètres, un capteur de température et un enregistreur.

Dans une première partie, le document présente la méthodologie utilisée pour collecter et analyser les résultats de vitesse et de direction du vent.

Résultats obtenus

La deuxième partie du rapport, la plus consistante, restitue le détail des données analysées, et en particulier :

  • Les valeur moyennes journalières
  • Les variations diurnes et nocturnes de la vitesse du vent
  • Les distributions en fréquence des vitesses du vent
  • La rose des fréquences des vents
  • La rose des énergies
  • L’incidence de turbulence, et
  • Le cisaillement.

Conclusions

On retrouve sur ces deux premiers mois les caractéristiques climatiques déjà connues pour cette région : vent très régulier, directions dominantes Nord et Est à cette période, température moyenne relativement élevée.
Au vue des vitesses enregistrées à 40m, dont la moyenne dépasse 7 m/s, le site paraît particulièrement bien exposé aux vents soufflants pendant cette pérode. De plus, ses autres caractéristiques dues à la rugosité environnante et au relief sont favorables.

La corrélation avec le site de référence (pylone RTS de Gandon) permettra de quantifier ces atouts, et les relevés des mois à venir donneront les informations relatives aux vents de secteur Ouest soufflant pendant la saison humide.

Mohamadou Lamine Ndiaye, René Massé

Newsletter finale du projet IMPROVES-RE

Compte rendu final des activités du projet IMPROVES-RE, co-financé par le programme COOPENER de la Commission européenne. Ce projet a été coordonné en Europe par le Bureau d’études Innovation Energie Développement (IED, France), par ETC Foundation (ETC, Pays-Bas), et par le Risø National Laboratory (RISOE, Danemark).

Lancé en avril 2005 au Burkina Faso, au Cameroun, au Mali et au Niger, le
projet IMPROVES-RE s’est achevé par un atelier final qui s’est déroulé du 19 au 21 mars 2007 à Ouagadougou.

Afin de communiquer de façon élargie sur les conclusions du projet, l’évènement fut organisé conjointement avec la 4ème rencontre du CLUB-ER (Club des Agences et Structures Africaines en charge de l’Electrification Rurale) autour du thème « Amélioration de l’impact économique et social de l’électrification rurale ».

Cette 4ème et dernière Newsletter revient dans le détail sur cet atelier
final et présente également l’application Internet/SIG développée au Burkina Faso. Cette application est une traduction concrète de l’approche multisectorielle prônée par le projet et visant à favoriser l’accès aux informations relatives aux états et projections dans les différents secteurs (électrification rurale, santé, éducation, agriculture).

Romain Frandji