Énergies renouvelables : presque toutes les régions de Madagascar ont plus 2 800 heures d’ensoleillement annuel

Article paru dans Le Quotidien, un journal malgache, le 21 décembre 2006.

Cet article fait un bilan du potentiel de développement des énergies renouvelables à Madagascar.

« A Madagascar, la consommation énergétique globale reste encore très faible. Cette consommation énergétique est dominée par le bois et ses dérivés, qui représentent plus de 80 % de la demande. Le taux d’électrification est également encore faible. Cependant, Madagascar est un pays qui a plusieurs atouts sur l’énergie renouvelable. L’État malgache a déjà entrepris des efforts pour exploiter ces ressources et continue encore d’en déployer, surtout lorsque l’on sait que, pour le gisement solaire, presque toutes les régions du pays bénéficient de plus de 2 800 heures d’ensoleillement annuel. »

> Voici l’intégralité de l’article issus du site du Quotidien


Pour plus d’informations, voir également Contexte général de l’électrification à Madagascar

Voir également l’article exposant l’état des lieux de la filière biodiésel à Madagascar, paru dans le même journal.

Jérome Levet, Mamisoa Andriamihaja

Formations au génie énergétique au Maroc

Réalisation de modules de formation dans le secteur du froid et du génie thermique.

Financé par le programme européen MEDA et dans le cadre de la réforme de la formation professionnelle au Royaume du Maroc, un consortium belgo-français a mené ces deux dernières années, un projet de coopération visant à renforcer les compétences techniques et les supports pédagogiques des filières de formation dans le secteur du froid et du génie thermique des instituts de formation professionnelle du Maroc.

L’Office de la Formation Professionnelle et de la Promotion du Travail (OFPPT) forme au génie thermique et au froid. Cela concerne une centaine de formateurs des Instituts supérieurs techniques (IST) répartis sur tout le territoire du Maroc. Ceux-ci enseignent le génie énergétique dans le cadre de la formation professionnelle marocaine. D’autre part, l’OFPPT organise aussi des formations pour ses formateurs du froid et du génie thermique dans les locaux du CDC-FGT de l’ISI de Casablanca.

Après une longue phase de démarrage visant à l’élaboration d’un programme de formation de 22 modules adapté au contexte marocain, les experts belges et français ont réalisé plus de 80 modules de formation d’une semaine. C’est dans ce cadre que Daniel Jaupart (IEPS de Colfontaine) et Pépin Tchouate ont animé à Casablanca des modules sur la collaboration entre les entreprises et les centres de formation, ainsi que sur les audits énergétiques et les énergies renouvelables.

En adaptant au contexte marocain la méthodologie développée par l’ICEDD dans le cadre du programme de la Région wallonne « Responsable énergie », les formateurs ont mis l’accent sur l’audit énergétique, la caractérisation des sources énergétiques (diagramme de flux énergétiques) et les applications solaires thermiques, solaires photovoltaïques et éoliennes, qui sont les principales sources d’énergie renouvelables du Maroc (actuelles ou potentielles). Le cédérom « Energie + » présenté à cette occasion, a été fortement apprécié, bien qu’il ait été conçu pour le contexte wallon.

Les participants, conscients de l’intérêt des énergies renouvelables et de la grande dépendance énergétique du pays, manquent cependant de connaissances pratiques et de retour d’expériences sur ces technologies pourtant déjà présentes sur le territoire marocain. Des échanges à ce sujet entre les acteurs de terrain au Maroc (acteurs économiques, mais aussi centres de formation tels que le Centre de Développement des Energies Renouvelables – CDER – à Marrakech) et les établissements de formation seraient utiles pour rendre concrets les sujets abordés. L’élaboration de projets de terrain tels que la réalisation d’un audit énergétique de l’OFFPT ou la mise en place d’un équipement solaire fonctionnel pour cet organisme seraient l’occasion d’appliquer les connaissances et les méthodes acquises lors de la formation. Associer les experts comme les formateurs à ces projets pourrait répondre à leurs souhaits de mener des enseignements pratiques et opérationnels en relation avec la réalité marocaine. D’autre part, cela permettrait d’initier, entre acteurs locaux, une culture d’échanges d’expériences axée sur les bonnes pratiques à l’installation et surtout à l’entretien.

Energies renouvelables au Maroc

Dépendant des importations à plus de 95 % pour satisfaire la demande énergétique, qui de plus ne cesse de croître, le Maroc regarde sérieusement vers les énergies renouvelables dont les principales sources qu’il exploite aujourd’hui sont l’hydroélectricité et le bois de chauffe. Mais deux sources d’énergie supplémentaires émergent : le vent et le soleil.

Le territoire marocain dispose en effet d’excellents sites éoliens qui bénéficient de vents rapides et réguliers. Le CDER estime le potentiel d’installation à 6 000 MW, principalement dans le nord du Maroc (Région de Tétouan) et la zone côtière du sud du Maroc ainsi qu’entre Agadir et El Jadida. Près de Tétouan, deux parcs éoliens d’une puissance totale installée de 54 MW sont en activité depuis l’an 2000. Ils produisent annuellement près de 226 GWh1, soient 2 % de la consommation finale d’électricité du Maroc. Très prochainement, de nouveaux sites seront équipés à Taza (60 MW), Essaouira (60 MW), Tarfaya (60 MW) et Tanger (140 MW).

Avec une irradiation solaire annuelle moyenne de 1 700 à 2 100 kWh/m2, le gisement solaire du Maroc est attrayant mais sous exploité :

  • Seulement 50 000 m2 de chauffe-eau solaires sont installés, alors que le programme solaire « Promasol » en prévoit 400 000 m2 pour 2007 ;
  • Le programme d’électrification rurale global (PERG), initié en 1996, a permis d’apporter un minimum d’électricité solaire photovoltaïque à
    environ 300 villages parmi les plus reculés du pays, soient 13 000 foyers, mais d’ici 2007, ce sont 150 000 foyers supplémentaires qui seront équipés et une centrale solaire thermoélectrique de 200 MWélec est prévue pour cette date.

Partenaires de la mission d’accompagnement technique et pédagogique

Au Maroc

L’OFPPT de Casablanca (Office de la Formation Professionnelle et de la Promotion du Travail). L’OFPPT est un organisme équivalent au FOREM en Région wallonne ou à l’ORBEM en Région de Bruxelles-Capitale.

En France

> Le CIEP (Centre International d’Etudes Pédagogique)

Le CIEP est un établissement public français sous tutelle du ministère
de l’Education nationale dont les grands domaines d’activités sont
la coopération internationale en éducation, le soutien de la langue
française et l’ouverture internationale du système éducatif français.

www.ciep.fr

> Le GEFEn (Groupement d’Etablissements de Formations à l’Energie)

Le GEFEn, créé en 1980, est un centre de l’Education nationale
française, spécialisé dans les métiers de l’énergie, de l’environnement
et du génie climatique, de l’ouvrier au technicien supérieur et à
l’ingénieur. En alternance, il propose aux entreprises, aux salariés,
aux demandeurs d’emploi et aux jeunes, des formations intra-entreprise, des stages inter-entreprises ou des formations diplômantes. Celles-ci peuvent être élaborées sur mesure en fonction des demandes et des besoins.

www.gefen.org

En Belgique

L’IEPS de Colfontaine (Institut d’Enseignement et de Promotion Sociale de Colfontaine). L’IEPS de Colfontaine est situé en Communauté française de Belgique. Il regroupe d’anciennes écoles industrielles fondées à la fin du siècle dernier pour la formation et la promotion des travailleurs. Spécialisé dans la formation des adultes (formation continue, perfectionnement, compléments de formation initiale), il propose des formations dans de nombreux domaines professionnels dont l’énergie (froid, chaud et conditionnement d’air), celles-ci étant fondées sur une approche par capacité, la modularité et un système de valorisation des acquis.

www.iepscol.be

Pépin Tchouate

Manuel pour les professionnels de la finance et du développement souhaitant financer des entreprises rurales dans le secteur de l’énergie

Manuel de formation de l’Areed

L’Areed est un organisme du PNUE (Programme des Nations Unies pour l’Environnement) pour la promotion des REEs (entreprises rurales d’énergie) ayant recours aux énergies renouvelables en Afrique.

L’Areed édite le « manuel du formateur de l’Areed », destiné à montrer aux établissements financiers que les entreprises de services énergétiques en milieu rural peuvent être rentables.

Il contient des informations pratiques sur les marchés ruraux de l’énergie et sur les entreprises qui proposent des technologies exploitant des énergies renouvelables ; il présente également des modèles de bonnes pratiques pour financer les projets.

L’Areed propose d’ailleurs de participer au financement de certains projets de développement de REEs.

Enfin, ce manuel est un complément du « guide des entrepreneurs du secteur de l’énergie de l’Areed ».


Voir également « les fiches d’évaluation technique » de l’Areed (voir la rubrique « ressources ») et le site internet de l’Areed.

Gret, Jérome Levet

Guide de l’entrepreneur du secteur de l’énergie

African Rural Energy enterprise Development (AREED), Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE), E&Co, octobre, 2000

Le guide de l’entrepreneur du secteur de l’énergie, composé de quatre modules, est destiné à guider l’entrepreneur tout au long de ses démarches, de la collecte d’informations à la gestion du projet, en passant par l’analyse de faisabilité et la préparation du plan d’exploitation.

> A télécharger sur le site de l’Areed.

L’Areed est un organisme du PNUE (Programme des Nations unies pour l’environnement) pour la promotion des entreprises rurales d’énergie (REEs) ayant recours aux énergies renouvelables dans les pays en voie de développement.

Gret, Jérome Levet

Outil RETScreen International

Logiciels de dimensionnement dédiés aux installations photovoltaïques, aux petites centrales hydroélectriques et aux centrales éoliennes

L’Outil RETScreen a été développé avec le soutien du ministère des Ressources naturelles du Canada et est librement diffusé sous la marque RETScreen International. Fin 2006, cet outil a été diffusé à plus de 93 000 utilisateurs dans 216 pays.

C’est un logiciel d’analyse de projets énergies propres, qui peut être utilisé dans le monde entier pour évaluer la production énergétique, les coûts du cycle de vie et les réductions des émissions de gaz à effet de serre pour différents dispositifs d’efficacité énergétique et différentes technologies d’énergies renouvelables : hydraulique et solaire.

L’outil RETScreen est constitué de plusieurs classeurs Microsoft Excel, chacun étant développé pour une forme d’énergie propre. Chaque classeur est composé d’une série de feuilles de calculs comme le montre l’illustration ci-dessous. L’outil comporte aussi une base de données (produits, coûts et données météorologiques), un manuel en ligne un site web http://www.retscreen.net/fr, un manuel d’ingénierie, des études de projets et un cours de formation.


Modèle pour des projets d’installation photovoltaïque

Comme tous les modèles, il peut être utilisé pour évaluer la production énergétique, le coût du cycle de vie et la réduction des gaz à effet de serre pour trois applications de base :

  • En réseau : le modèle peut être utilisé pour évaluer les projets raccordés à un réseau isolé ou à un réseau électrique centralisé ;
  • Hors réseau : le modèle peut être utilisé pour évaluer les systèmes autonomes (PV-batteries) et hybrides (PV-batteries-groupes électrogènes) ;
  • Le pompage de l’eau par systèmes photovoltaïques.

Ce modèle comprend six feuilles de calcul : modèle énergétique, évaluation de la ressource solaire et calcul de la charge, analyse des coûts, analyse des réductions de gaz à effet de serre, sommaire financier et analyse de sensibilité et de risque.

Modèle pour des projets de petites centrales hydroélectriques

Comme tous les modèles, il peut être utilisé pour évaluer la production énergétique, la viabilité financière et les réductions de gaz à effet de serre pour des projets de petites centrales hydroélectriques hors réseau, ou raccordées à un réseau isolé ou à un réseau d’électrification centralisé. Ces projets vont des petites et mini-centrales à turbines multiples aux micro-centrales à turbine unique.

Ce modèle comprend sept feuilles de calcul : modèle énergétique, analyse hydrologique et calcul de charge, caractéristiques des équipements, analyse des coûts, analyse des réductions d’émissions de gaz à effet de serre, sommaire financier et analyse de sensibilité et de risque.

Modèle pour des projets de centrale éolienne

Comme tous les modèles, il permet d’évaluer la production d’énergie, la viabilité financière et les réductions de gaz à effet de serre pour des projets de centrales éoliennes hors réseau, ou raccordées à un réseau isolé ou à un réseau d’électrification centralisé. Ces projets vont des vastes parcs composés de plusieurs éoliennes jusqu’aux petites éoliennes individuelles, en passant par des systèmes hybrides éolien-diesel.

Ce modèle comprend six feuilles de calcul : modèle énergétique, caractéristiques des équipements, analyse des coûts, analyse des réductions d’émissions de gaz à effet de serre, sommaire financier et analyse de sensibilité et de risque.

René Massé

Lettre de politique de développement du secteur de l’énergie au Sénégal

Gouvernement du Sénégal, 9 avril 2003

Objectifs et principes pour la poursuite du programme de réformes opéré dans le secteur de l’énergie entre 1998 et 2000, mesures nouvelles envisagées et calendrier de mise en œuvre.

La stratégie est axée sur les actions visant :

  • la restructuration du sous secteur de l’électricité en vue d’une plus grande efficacité et en vue du désengagement de l’Etat par l’implication judicieuse du secteur privé dans l’investissement et la gestion aussi bien de SENELEC que l’électrification rurale ;
  • le renforcement des conditions de concurrence et l’amélioration de la qualité des produits dans le sous secteur pétrolier ;
  • l’intensification de la promotion du bassin sédimentaire sénégalais ; et
  • la consolidation de la gestion durable des ressources ligneuses par la responsabilisation accrue des collectivités locales.

Imedia

D’où vient l’énergie éolienne ?

Danish Wind Industry Association

Tout comme l’énergie qui se trouve dans les combustibles fossiles, les énergies renouvelables (sauf les énergies marémotrice et géothermique) sont dérivées de l’énergie solaire. En effet, le soleil émet chaque heure quelque 174.423.000.000.000 kilowattheures d’énergie à notre planète. La terre reçoit, en d’autres termes, une puissance équivalente à 1,74 x 10.17 W.)

Environ un à deux pour cent de l’énergie émise par le soleil est convertie en énergie éolienne. C’est entre 50 et 100 fois plus que l’énergie transformée en biomasse par l’ensemble des végétaux de la terre.

La Danish Wind Industry Association publie une visite guidée de l’énergie éolienne, structurée de la manière suivante :

  • La ressource éolienne
  • Choix d’un site
  • Production énergétique
  • Fonctionnement
  • Génératrices
  • Conception
  • Fabrication
  • Recherche & D
  • Réseau électrique
  • Environnement
  • Rentabilité
  • Petit historique
  • Manuel de référence

> http://www.windpower.org/fr/tour/wr…

Ce document en ligne est très clair et présente l’énergie éolienne de bonne façon, même si les exemples sont pris au Danemark.

René Massé

Un projet d’électrification rurale en Mauritanie (1995-2000) : Alizés Électrique : histoire et enjeux d’une tentative de construction d’un service durable

Matthieussent, Sarah ; Carlier, Rodolphe ; Lavigne Delville, Philippe
Paris : Gret, 2005, 133 p. + annexes Etudes et travaux en ligne, n° 6

Entre 1995 et 2000, le Gret a conçu et mis en oeuvre un projet d’électrification décentralisée en Mauritanie, le projet « Alizés électrique ». Cette expérience d’électrification décentralisée, nouvelle pour la Mauritanie, paraissait prometteuse, mais une succession d’aléas institutionnels a empêché la poursuite des actions de terrain après seulement deux ans d’intervention.

L’effondrement du dispositif a été progressif au fur et à mesure de pannes qui s’accumulaient sans que les responsables locaux arrivent à y faire face faute d’un dispositif de maintenance qui n’avait pu être mis en place par manque de temps.

Pour comprendre les causes de cet échec, les auteurs reviennent sur le déroulement historique du projet et questionnent les choix techniques et institutionnels qui ont été faits. L’accent est mis ici sur la démarche d’expérimentation, les dispositifs institutionnels et les modalités de mise en oeuvre de l’action, questions qui sont – avec d’autres – au coeur des débats sur les limites de l’aide par projet et la façon d’utiliser l’outil « projet » dans une perspective de construction institutionnelle. Restituant un travail de capitalisation rétrospective, cette étude ouvre une réflexion sur les stratégies d’intervention en matière d’électrification rurale, mais pas uniquement.

> Commander sur le site du Gret

Gret

Aérogénérateur 910 Rutland Marlec

Marlec Engineering Company LtD

Eolienne conçue pour les installations individuelles.

Le diamètre de la roue est de 910 mm avec 10 pâles en plastique composite. Le générateur est inclus dans la roue avec une transmission par « charbons ». Le courant produit est du 12 V. Le poids est de 10,5 kg sans le pylone. L’éolienne est faite pour être montée sur un tube de diamètre interne de 41 mm.

Contraintes d’utilisation

Sa faible puissance ne permet pas de l’éloigner de la batterie de stockage. Une batterie doit être branché en permanence sur l’aérogénérateur. Elle n’a pas de frein, il faut l’arrêter manuellement pour procéder à sa déconnexion. Elle n’est pas protégéE contre les inversions de polarité.

Maintenance et SAV

Il faut changer les « charbons » une fois par an. Dans les climat très sec (saharien) il faut prévoir un changement des pâles tout les 5 ans.

Références d’utilisation

  • Nautisme
  • Mauritanie Programme Alizes : une vingtaine d’installations
  • Mongolie (réalisation d’un transfert de technologie)

DOC N°1 : catalogue

DOC N°2 :
DOC N°3 :

Gret

Cinquième colloque national éolien

16, 17 et 18 novembre 2006 – Amiens, organisé par l’ADEME et ses partenaires.

Tout ce que le monde de l’éolien français compte d’experts, d’hommes de terrain et d’industriels, va venir à la rencontre des élus, des représentants de l’Etat, des banquiers, des juristes et de membres d’association pour expliquer, convaincre et argumenter autour du développement de l’éolien.

Parmi les thèmes inscrits au programme de cette manifestation :

  • les conséquences de la Loi de programme du 13 juillet 2005 fixant les orientations de la politique énergétique,
  • le dispositif des Zones de développement de l’éolien (ZDE),
  • les nouveaux tarifs d’achat.

Véritable tribune d’expression et temps fort de ce colloque, le forum du jeudi 16 novembre. Il s’agira de débattre des vrais et faux reproches adressés à l’éolien concernant les paysages, le bruit, la santé, l’avifaune, les radars…

En exclusivité, dans le cadre d’une convention d’affaires, 28 industriels de l’éolien ont choisi le colloque d’Amiens pour présenter leur savoir-faire, leurs produits et nouer les contacts professionnels nécessaires au développement de leur activité.

Vous pouvez consulter le programme complet et vous s’inscrire dès à présent sur http://www.ademe.venez.fr

Contacts :

Patrice GROUZARD

Responsable du Pôle Communication EnR de l’ADEME à Sophia Antipolis

Courriel : patrice.grouzard@ademe.fr