Archives de la catégorie : Actualité

Jatropha : les perspectives après huit années de recherches au Mali

Le jatropha, une solution pour répondre aux besoins en énergie de l’Afrique ? Huit années de travail sur le terrain, avec les paysans et les partenaires locaux nous permettent de montrer aujourd’hui la réalité de la production d’huile de jatropha pour un usage local, et les perspectives pour les petits agriculteurs qui ont expérimenté cette filière. Retrouvez sur facebook une vidéo sur le jatropha paysan et des images pour suivre la construction de la zone d’activités électrifiée (hybride huile de (…)

Le jatropha, une solution pour répondre aux besoins en énergie de l’Afrique ?

Huit années de travail sur le terrain, avec les paysans et les partenaires locaux nous permettent de montrer aujourd’hui la réalité de la production d’huile de jatropha pour un usage local, et les perspectives pour les petits agriculteurs qui ont expérimenté cette filière.

Retrouvez sur facebook une vidéo sur le jatropha paysan et des images pour suivre la construction de la zone d’activités électrifiée (hybride huile de jatropha, solaire) de Konséguéla, dans la région de Koutiala, au sud-est du Mali.
Et bien d’autres images sur Kaboul, les hammams au Maroc ou les serres en Mongolie.

Pour en savoir plus) : https://www.facebook.com/geres.asso

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Contact : contact@geres.eu

Les femmes du Rwanda rendent l’énergie solaire accessible aux populations rurales

Au Rwanda, la participation active des femmes dans le secteur énergétique répond de plus en plus aux besoins en électricité de nombreuses communautés vivant hors réseau. Nyirahabimana Alphonsine fait partie de ces entrepreneurs qui ont su tirer profit de l’ensoleillement du pays pour fournir des services de chargement téléphonique aux communautés rurales. Il y a quatre ans, Nyirahabimana Alphonsine et son mari luttaient pour atteindre un revenu viable, dépendant exclusivement de leur activité (…)

Au Rwanda, la participation active des femmes dans le secteur énergétique répond de plus en plus aux besoins en électricité de nombreuses communautés vivant hors réseau. Nyirahabimana Alphonsine fait partie de ces entrepreneurs qui ont su tirer profit de l’ensoleillement du pays pour fournir des services de chargement téléphonique aux communautés rurales.

Il y a quatre ans, Nyirahabimana Alphonsine et son mari luttaient pour atteindre un revenu viable, dépendant exclusivement de leur activité agricole. Mais après s’être rendu compte que beaucoup de personnes dans sa région peinaient à recharger leurs téléphones portables, elle a décidé d’agir en commençant une entreprise de chargement téléphonique en 2011.

À 33 ans, mariée et mère de 3 enfants, Alphonsine n’avait aucune connaissance antérieure dans le secteur et un capital initial de 50.000 Frw (72$). Mais à peine un an plus tard son entreprise s’est mise à grandir, lui permettant d’acheter un panneau solaire qui a stimulé sa productivité, augmenté ses heures de travail et ses revenus.

Cependant, son manque de connaissances en technologie, développement des affaires et utilisation productive de l’énergie réduisaient considérablement la rentabilité de son entreprise.

Repérant son enthousiasme et son potentiel, GVEP l’a recruté dans le programme CARE 2 (Capital Access for Renewable Energy Enterprises) en juin 2014, afin de l’aider à augmenter sa productivité et ainsi répondre à la demande croissante de sa communauté.

« GVEP lui a donné le coup de pouce nécessaire en lui fournissant une formation en développement des affaires et développement du marché, tout en identifiant les besoins de son entreprise. » – Victor Hakuzwumuremyi, Coordinateur BDS chez GVEP

Son entreprise rend désormais service aux nombreux villages avoisinants, permettant aux populations de se déplacer moins loin pour charger leurs téléphones. Passer à l’énergie solaire fut tellement rentable qu’elle a pu également ouvrir un salon de coiffure et une cantine.

« Mon entreprise a fait preuve d’améliorations considérables au cours de la dernière année. Mon revenu mensuel est passé de 120.000 (174$) à 150.000 Frw (217$), et j’ai même pu ouvrir une nouvelle station de chargement. » – Nyirahabimana Alphonsine

Suite au soutien de GVEP, la réussite de l’entreprise d’Alphonsine a été reconnue lors de la cérémonie de la Journée Internationale des Femmes Rurales le 25 Octobre à Gisagara, province du sud, où le Ministre du Commerce rwandais lui a décerné un prix pour sa contribution à l’éradication de la pauvreté.

GVEP soutient présentement 83 femmes entrepreneurs rwandaises qui utilisent des technologies solaires pour accroître la productivité de leurs entreprises. Certaines d’entre elles utilisaient des batteries de voiture pour charger les téléphones, mais sont passées à l’énergie solaire suite à l’intervention de GVEP. Ces solutions alternatives ont changé la vie de beaucoup de femmes entrepreneurs, qui génèrent désormais un revenu suffisant pour répondre aux besoins de leurs familles, tout en rendant service à la communauté.

La pénurie en électricité est élevée au Rwanda, en particulier dans les zones rurales où plus de 80% de la population vit et seulement 5% a accès à l’électricité. Ceci fait aussi stagner la croissance des petites et microentreprises qui représentent 99,5% des entreprises du secteur privé, résultant en une faible rentabilité, une pauvreté rurale importante, des inégalités rurales/urbaines béantes et un potentiel économique non réalisé, surtout pour les femmes.

La capacité entrepreneuriale des rwandais s’avère efficace pour lutter contre la pauvreté énergétique tandis que de nombreuses petites et microentreprises énergétiques voient le jour à travers le pays. Alphonsine est un exemple parmi 30 entrepreneurs que GVEP soutient dans la région de Gisagara, parmi un total de 270 entreprises d’énergie solaire et 15 entrepreneurs en pico hydro au niveau national.

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Contact : laura.nolan@gvepinternational.org

Lettre d’information N°5 du programme Typha en Mauritanie

Le programme Typha s’est donné pour objectif la valorisation énergétique à l’échelle artisanale et industrielle du typha

Les points suivants sont abordés dans cette lettre :

  1. l’Iset de Rosso a commencé les tests de production de charbon de Typha à l’échelle industrielle . Il s’est avéré qu’il était techniquement impossible de densifier le Typha sec seul pour la ligne « cuisine ». Une nouvelle matière première a donc fait son apparition dans le processus de production, il s’agît de la balle de riz. Elle est peu utilisée et disponible en grande quantité à Rosso (≈ 8 000 t/an). Il est possible de produire 170 kg/h de bu-chettes en mélangeant 50 % de Typha sec trié avec 50 % de balle de riz brute. La re-cette du charbon de Typha pour encens est elle aussi définie, le Typha carbonisé broyé sera mélangé avec 5 % de gomme arabique.
  1. Breune démarre et 4 nouveaux villages se préparent. L’installation de l’unité artisanale du village de Breune à 13 km à l’est de Rosso a eu lieu en octobre 2014. Après une visite d’échange à l’unité de Garack, les équipes de produc-tion ont été formées à la technique de production et ont suivi une formation en organi-sation et gestion. Les opérateurs sont capables d’assurer une production de qualité.
    Les carbonisateurs, les presses et les claies de séchage pour les nouvelles unités des villages de Tounguène, Chgara, Keur Madickè et Oumou El Ghoura ont été fabriqués intégralement à l’Iset. Actuellement, les bâtiments qui hébergeront les unités sont en cours de construction. En parallèle, les formations à la coupe du Typha et à sa carbo-nisation ont débuté dans les 4 villages. Les unités produiront du charbon début 2015.
  1. La cartographie intégrale des surfaces envahies par le Typha australis dans le bas del-ta du fleuve Sénégal en Mauritanie est finalisée. Le Typha occupe plus de 24 000 hec-tares, soit un potentiel d’environ 240 000 tonnes de charbon produit industriellement.

Pour en savoir plus, contacter :

Représentation du Gret en Mauritanie
BP 5261, ZR 573, TVZ, Nouakchott
tel : +222 45 25 84 96 / e-mail : mauritanie@gret.org
www.gret.org/mauritanie

Contact en Mauritanie : Tourad Ould Sery

Contact en France : Julien Cerqueira

Jacques Monvois

Les femmes du Sénégal bénéficieront bientôt de nouvelles opportunités dans le secteur énergétique

GVEP International et SEM Fund unissent leurs forces pour développer l’implication des femmes dans le marché énergétique au Sénégal, et rendre l’énergie renouvelable accessible aux communautés les plus démunies.

Au cours des trois prochaines années, 250 femmes chefs de micro et petites entreprises dans l’est du Sénégal verront augmenter leur productivité ainsi que leur accès à des produits et services énergétiques.

Ceci se fera à travers un mentorat sur mesure ainsi qu’un soutien entrepreneurial et financier fournis par les organisateurs du projet.

Les communautés rurales des régions de Tambacounda et Kédougou souffrent d’un faible accès à l’énergie – avec un taux d’électrification de 9% et 4% – ainsi que d’une pauvreté chronique et d’un taux de chômage élevé. La dépendance aux combustibles solides pour la cuisson est élevée (89%) et l’usage de cuisinières améliorées reste faible (moins de 4%).

Femmes et filles sont parmi les plus touchées par la pénurie énergétique, du fait qu’elles passent plusieurs heures par jour à ramasser du bois et cuisinent avec des fourneaux inefficaces qui dégagent beaucoup de fumée, responsables de la mort d’environ 6300 sénégalais chaque année selon l’OMS (2009). Elles dépendent également d’un mauvais éclairage pour effectuer leurs tâches ménagères.

Le traitement des récoltes et les activités de transformation sont la plus grosse source de revenus pour les femmes des régions de Tambacounda et Kédougou.

De nouvelles opportunités économiques peuvent être générées pour les femmes grâce à l’accès à l’énergie ; à la fois par l’utilisation productive de l’énergie pour le traitement du riz, sorgho, mil, maïs, coton, fruit du baobab et miel, ainsi que par la vente de produits et services énergétiques.

Cela permettra non seulement de contribuer à l’autonomisation économique des femmes, mais aura aussi un impact considérable sur leurs 4500 membres de famille qui bénéficieront de revenus supplémentaires. Plus important encore, le projet fournira une énergie propre à 400 000 femmes, hommes et enfants, alimentant également les petites entreprises commerciales locales (commerçants, détaillants, petits exploitants).

Toutefois, les femmes chefs d’entreprise font face à de multiples obstacles au sein du marché énergétique :

- le manque de compétences, de formation et d’accès à l’éducation ;

- le manque d’accès au financement ; la plupart des systèmes de garantie des banques étant contrôlés par des hommes ;

- le manque de sensibilisation à l’énergie en tant que service et génératrice d’affaires sur le marché rural ;

- le manque d’autorité au sein de la famille et de la communauté, ainsi que les préjugés sur les rôles de genre de la part de fournisseurs ou distributeurs de sexe masculin.

S’attaquer à ces obstacles nécessite une approche systématique et intégrée visant à améliorer la position des femmes au sein de la chaîne de valeur.

GVEP et SEM Fund travailleront ensemble avec divers acteurs au niveau local et national afin d’éliminer ces obstacles et combattre ces stéréotypes.

250 femmes seront recrutées dans les communautés des régions de Tambacounda et Kédougou. L’âge ne sera pas une restriction : femmes jeunes et âgées sont invitées à postuler au programme. Les critères de sélection se concentreront plutôt sur leur esprit d’entreprise, leur enthousiasme et leur capacité à influencer d’autres et agir comme modèle au sein de la communauté.

« En soutenant des entreprises dirigées par des femmes en les liant avec des institutions financières, marchés et produits, nous développons un système holistique qui apportera une énergie propre à ceux qui en ont le plus besoin », explique Sire A. Diallo, Directeur exécutif de SEM Fund.

« Les hommes auront aussi un rôle important à jouer », explique Leah Kaguara, directrice des programmes de GVEP International. « Grâce à la participation active des leaders d’opinion de sexe masculin dans les activités de sensibilisation au genre, nous espérons créer un environnement où les familles et communautés viendront encourager les femmes dans la croissance de leurs entreprises ».

Le projet est en partie financé par ENERGIA, le Réseau International sur le Genre et l’Énergie Renouvelable.

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Contact : laura.nolan@gvepinternational.org

Une usine de de bioélectricité à base de canne à sucre réduit l’importation d’énergie au Belize

Dans le but de remédier à la pénurie d’énergie qui affecte le Belize, GSR Energy Limited (GSR) a construit une usine de bioélectricité à base de canne à sucre ainsi qu’une distillerie de bioéthanol, qui produira de l’électricité à usage domestique et de l’éthanol pour l’exportation. Le Belize possède un réseau national d’électrification excellent qui atteint 90% de sa population. Toutefois, le pays est très dépendant du Mexique qui répond à ses besoins énergétiques, 75% de cette électricité étant importée. La (…)

Dans le but de remédier à la pénurie d’énergie qui affecte le Belize, GSR Energy Limited (GSR) a construit une usine de bioélectricité à base de canne à sucre ainsi qu’une distillerie de bioéthanol, qui produira de l’électricité à usage domestique et de l’éthanol pour l’exportation.

Le Belize possède un réseau national d’électrification excellent qui atteint 90% de sa population. Toutefois, le pays est très dépendant du Mexique qui répond à ses besoins énergétiques, 75% de cette électricité étant importée. La mission de GSR est de construire et d’exploiter une bio-raffinerie efficace en termes d’énergie et d’économies, afin de soulager le Belize de cette dépendance énergétique et aider à sécuriser son réseau électrique.

Grâce à cette bio-raffinerie énergétique, GSR aura les moyens de produire et dispatcher un taux d’électricité de 25,4 MW (203 GWh) chaque année (88% étant actuellement fourni par le Mexique) et 116.6 millions de litres d’éthanol par an. Ces productions seront utilisées pour la vente en export, tandis que l’électricité sera vendue à un niveau national, à des prix plus raisonnables et moins fluctuants que les tarifs actuels.

Afin d’assurer une quantité suffisante de canne à sucre pour alimenter la centrale, GSR travaille avec l’Institut de Recherche sur l’Industrie Sucrière et le Développement (SIRDI) ainsi que d’autres exploitants de canne à sucre, qui ont accepté de fournir leurs semis aux agriculteurs locaux. GSR achètera ensuite la canne à sucre cultivée par ces agriculteurs pour l’utiliser dans sa bio-raffinerie, ainsi favorisant la création d’emplois dans la région. Les agriculteurs locaux possèdent suffisamment de terres et mettent en œuvre les meilleures pratiques de gestion de canne à sucre pour maintenir et gérer la demande, ce avec un cycle de repousse de 5 ans afin de ne pas appauvrir la terre.

Les agriculteurs de la communauté mennonite du Belize ont mis en place une association et exprimé leur intention de participer au projet par la plantation et la vente de canne à sucre pour GSR. Ils souhaitent travailler en partenariat avec GSR et planter 40 000 hectares de canne à sucre pour le projet. En outre, GSR a établi un partenariat avec une entreprise d’ingénierie brésilienne, Uni-Systems do Brazil, pour la conception, l’ingénierie, la construction (IAC) et les opérations de maintien de la bio-raffinerie.

Depuis sa victoire au Concours de l’innovation énergétique IDEAS2, GSR a utilisé les fonds de subvention pour réaliser 12 pré-constructions d’études d’optimisation, à la fois pour sa bio-raffinerie et pour sa chaîne d’approvisionnement. Ces études abordent l’identification du meilleur site pour un raccordement au réseau d’Amérique Centrale, les attentes en demandes d’électricité, les meilleures options concernant la vente d’éthanol, la gestion de la chaîne d’approvisionnement et les questions logistiques nécessaires à l’exécution du projet. Des possibilités de croissance supplémentaires ont également été identifiées ; la bio-raffinerie a par conséquent été conçue et construite pour permettre une croissance optimale et une éventuelle expansion.

GVEP offre un soutien stratégique et opérationnel à GSR afin de rendre le projet monnayable. Des discussions préliminaires ont eu lieu entre GSR et les investisseurs régionaux et internationaux potentiels.

« Ce projet fera une énorme différence pour les communautés au Belize et facilitera la mise en place de revenus stables pour les agriculteurs impliqués dans la chaîne d’approvisionnement de canne à sucre. Fournir l’électricité à un tarif moindre aura un impact significatif sur le budget des ménages », explique Leighton Waterman, Directeur du Bureau Régional des Caraïbes de GVEP.

Le projet de bio-raffinerie de GSR Belize est l’un des trois gagnants du concours CAFCEF, qui a eu lieu le 22 Octobre 2014 à Antigua, Guatemala.

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Contact : laura.nolan@gvepinternational.org

Energie & Solidarité, le rapport 2013 du GERES est en ligne

En 2013, le GERES, ONG spécialiste des questions énergétiques et de changement climatique, a poursuivi ses actions à travers 71 projets menés dans 14 pays en Europe, en Afrique et en Asie : économies d’électricité à Marseille, hammams durables au Maroc, serres solaires passives en Mongolie, foyers améliorés au Cambodge et au Mali, habitat solaire en Afghanistan, jatropha et transformation agro-alimentaire au Bénin et au Mali, etc… Ces actions ont directement permis d’accompagner plus de 3 300 (…)

En 2013, le GERES, ONG spécialiste des questions énergétiques et de changement climatique, a poursuivi ses actions à travers 71 projets menés dans 14 pays en Europe, en Afrique et en Asie : économies d’électricité à Marseille, hammams durables au Maroc, serres solaires passives en Mongolie, foyers améliorés au Cambodge et au Mali, habitat solaire en Afghanistan, jatropha et transformation agro-alimentaire au Bénin et au Mali, etc… Ces actions ont directement permis d’accompagner plus de 3 300 entrepreneurs et près de 600 000 familles ou porteurs de projet. Elles ont bénéficié indirectement à 2 800 000 personnes.
Au total, plus de 3 millions de bénéficiaires (directs et finaux) ont ainsi amélioré leurs conditions de vie, profité des techniques et savoir-faire mis en place. Ces résultats ne sont possibles qu’avec le travail de terrain de nos partenaires techniques locaux et le soutien indispensable de nos partenaires financiers.
Pour pérenniser les investissements, partager les bonnes pratiques, faciliter l’autonomie des communautés et la diffusion de solutions au plus grand nombre, le GERES continue à faire ce qu’il fait le mieux : travailler avec les autres pour apprendre, comprendre, innover. Dans le long terme, la transparence, le respect et l’enthousiasme !

Pour lire ce rapport en ligne ou le télécharger :
Lien hypertexte (Référence, sites à visiter) : http://www.geres.eu/fr/accueil/94-actualites/breves/687-sortie-de-notre-rapport-d-activite-2013

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Contact : contact@geres.eu

Journées Climat & Développement de Coordination SUD

La Commission Climat et Développement de Coordination SUD organise 4 journées d’échanges sur Climat & Développement à Paris du 8 au 11 juillet prochains.

Ces Journées accueilleront des ONG et des représentants d’organisations gouvernementales (AFD, ADEME, INRA, MAE…) et intergouvernementales (CNULCD, COP21 …)

Les échanges porteront sur les enjeux climatiques :

- accès à l’énergie

- réduction des risques de catastrophes naturelles

- le lien entre désertification et dégradation des terres

- mécanismes internationaux climat

Le programme est disponible en ligne : https://drive.google.com/folderview…

Pour s’inscrire aux différents modules, voir le formulaire en ligne qui est mis à votre disposition : https://docs.google.com/forms/d/1OV…

Date limite des inscriptions : jeudi 3 juillet

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rédacteur : contact@geres.eu

StovePlus investit la Toile

Lancement d’un site web dédié aux porteurs de projet développant des solutions de cuisson propre à travers le monde.

StovePlus est un programme qui vise à améliorer l’accès aux foyers améliorés par les utilisateurs de biomasse (bois, charbon de bois, déchets végétaux…). Issu de près de 20 ans d’expérience du GERES sur le terrain, StovePlus apporte un soutien technique aux porteurs de projet développant des solutions de cuisson propre à travers le monde.

Aujourd’hui, StovePlus investit la toile ! Un site web flambant neuf, un nouveau compte Twitter et une page entreprise sur LinkedIn : restez connectés, StovePlus n’aura plus de secret pour vous !

Découvrez et suivez toutes les actualités, les activités sur le terrain, mais aussi les ressources, la présentation des projets et l’approche du GERES sur StovePlus.org.

Vous êtes hyper actif sur Twitter ? Votre contenu intéresse ! Partage des actualités les plus pertinentes, des ressources les plus intéressantes et des découvertes les plus importantes : on tweete et on retweete avec @Stoveplus.

Enfin, vous pouvez vous abonner à la page Linkedin pour les actus jobs et évènements !

Pour en savoir plus : http://www.stoveplus.org/fr

 


 

Contact : contact@geres.eu

Les lampes solaires SOLTYS déployées au Burkina Faso

Dans le cadre du projet Micrésol de la Fondation Energies pour le Monde, les lampes solaires SOLTYS ont été retenues comme offre d’équipement de premier niveau pour les populations rurales ne disposant pas d’électricité.

Un panneau solaire, 3 lampes portables LED et un accessoire de charge des téléphones portables permettent aux ménages d’accéder à un service électrique de première nécessité, à moindre coût et financé sur le principe du micro-crédit.

Une première phase de 300 lampes solaires est en cours de déploiement et sera renouvelée suivant la demande. Les autres offres d’accès à l’énergie du programme Micrésol sont composées de kits solaires photovoltaïques de différentes puissances, toujours financés par micro-crédit afin d’adapter les matériels aux capacités de financement des ménages.

Pour en savoir plus : www.soltys.fr

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Contact : a.chavanne@soltys.fr

« Wassa, pleins feux sur un cuiseur durable », le 1er webdoc consacré à la cuisson durable en Afrique de l’Ouest, est en ligne !

Le Géres propose un web-documentaire. « Wassa, pleins feux sur un cuiseur durable » propose un voyage ludique, interactif et musical au cœur d’une filière locale de foyers de cuisson améliorés à Bamako.

Au Mali, en Afrique de l’Ouest, 81 % des besoins énergétiques sont couverts par les ressources forestières. La cuisson représente un enjeu majeur en matière d’accès à l’énergie et de préservation du climat.

Devenue une référence internationale pour ses actions de diffusion d’équipements de cuisson efficaces au Cambodge, l’ONG GERES met en oeuvre le projet CEnAO (Climat et Energie en Afrique de l’Ouest) au Mali.
Pour mieux sensibiliser les partenaires et le grand public à l’importance de ces enjeux, l’ONG innove en proposant un web-documentaire. « Wassa, pleins feux sur un cuiseur durable » propose un voyage ludique, interactif et musical au cœur d’une filière locale de foyers de cuisson améliorés à Bamako.

Après une courte introduction l’invitant à se saisir des thèmes de l’énergie et de la cuisson dans le contexte malien, le visiteur plonge en immersion au cœur d’une filière économique de foyers améliorés à Bamako. Des producteurs aux distributeurs, il découvre les difficultés entrepreneuriales et la complexité économique locale. Les utilisatrices, au détour de recettes de cuisine maliennes, racontent pourquoi ce foyer de cuisson améliore leur quotidien.

Ce voyage se déroule sur la musique vibrante de Femi Kuti et de Thomas Bossu, au rythme des images généreuses de Benjamin Rogez et Mathilde Sonnet. Et maintenant, direction Bamako !
Lien hypertexte (Référence, sites à visiter) : http://webdocs.co2solidaire.org/wassa/#Navigation

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pour en savoir plus : contact@geres.eu