Evaluation technique et économique des technologies d’électrification hors-réseaux, réseaux locaux et réseaux nationaux

Evaluation réalisée par le Secteur Energie et Mines de la Banque mondiale, qui passe en revue toutes les technologies de production d’électricité, conventionnelles et nouvelles, et tous les dispositifs de distribution d’énergie électrique, centralisés et décentralisés. Un document de référence pour les planificateurs, les initiateurs de projets, et de nombreux acteurs du secteur de l’électricité…en anglais.

« Technical and Economic Assessment of Off-grid, Mini-grid and Grid Electrification Technologies

ESMAP Technical Paper 121/07

Edité en décembre 2007, en Anglais

Un document de 61 pages complétées par 25 annexes de 263 pages.

Le contexte de l’électrification

Il n’y a pas une seule façon d’électrifier un pays, une région… De plus en plus de technologies de production, de plus en plus de systèmes de distribution de l’énergie sont expérimentés et diffusés dans le monde en développement. Cette diversité des approches se retrouve dans les engagements de la Banque mondiale : de 2003 à 2005, la Banque mondiale a contribué à hauteur de 500 millions de US dollars pour développer de projets d’électrification, répartis en :

  • Electrification périurbaine par raccordement au réseau : 102,6 millions de US dollars
  • Electrification rurale par raccordement au réseau : 273,2 millions de US dollars
  • Electrification hors réseau : 46,4 millions de US dollars
  • Fonds d’électrification rurale : 64,1 millions de US dollars.

Objectif de cette évaluation

Cette évaluation technique et économique s’est efforcé de caractériser systématiquement les perspectives commerciales et économiques de chacune des technologies de production d’électricité, conventionnelles et nouvelles.

Sont analysées les technologies de production dans la gamme de puissance de 50 W à 500 MW, combinée à trois systèmes de distribution : hors réseau, mini-réseau et réseau. Cela inclue les technologies de valorisation des énergies renouvelables : photovoltaïque, éolien, hydraulique, géothermie, biomasse.

Les résultats de l’évaluation

L’évaluation économique (plutôt que financière) a été effectuée sur trois périodes : 2005, 2010 et 2015, afin de prendre en compte dans l’évaluation des coûts du projet, la réduction des coûts liée aux effets de changement d’échelle pour les technologies émergentes.

Les résultats permettent ainsi de comparer les couts économiques des différentes technologies de production associés à une large gamme de dispositifs de distribution et pour des besoins variés, dans les conditions actuelles ou futures.

Parmi les principaux résultats :

  • L’énergie renouvelable est plus économique que la production conventionnelle pour des applications hors réseaux lorsque la puissance requise est inférieure à 5 kW ;
  • Plusieurs technologies de valorisation des énergies renouvelables ont le potentiel d’être la solution la plus économique pour alimenter de mini-réseaux locaux lorsque les besoins de puissance sont de 5 à 500 kW ;
  • Les technologies de production conventionnelle resteront plus économiques pour les réseaux inter-connectés, même si le prix du pétrole continue d’augmenter ;
  • Deux nouvelles technologies utilisant le charbon pour produire l’électricité ont un potentiel considérable pour les pays en développement ;

Source : publication ESMAP en anglais, disponible en ligne surcette page de leur site.

René Massé

Guide pratique pour développer des projets bioénergie et d’approvisionnement en biomasse

Description des différentes étapes de développement des projets de valorisation de la biomasse en énergie.

« Bioenergy Project Development and Biomass Supply »

Publication de l’Agence internationale de l’Energie
Collection « Good Practices »

66 pages en anglais

Diffusé en 2007.

La biomasse et ses dérivés contribueront de plus en plus à la couverture des besoins énergétiques, aussi bien dans les pays développés que dans ceux en voie de développement. Ce guide de l’Agence Internationale de l’énergie (AIE), publié en 2007, apporte une assistance aux développeurs potentiels pour préparer un projets en bioénergie.

Le développement d’un projet bioénergie, aussi petit soit-il, requiert une analyse complexe des différentes étapes de la filière à mettre en œuvre. Cette publication attire l’attention du porteur de projet sur :

  • La disponibilité et le caractère renouvelable de la biomasse tout au long de la vie du projet ;
  • Les moyens d’approvisionnement de la centrale en biomasse (route, rail, fleuve, etc.) et leurs couts ;
  • Les possibilités de stockage ;
  • La caractérisation de la biomasse (qualité, humidité, etc) ;
  • Le choix de la technologie de conversion et de la taille de l’installation, en tenant compte des volumes disponibles, des risques technologiques et commerciaux ;
  • Le marché de l’énergie finale (chaleur, électricité, combustibles liquides et gazeux voire solides tels les pellets, etc.) ;
  • La conception et la construction de l’unité de conversion ainsi que le choix optimal de sa localisation.

Pour plus de détails, voir le rapport sur le site de l’IEA ou le télécharger ci-dessous.

Pépin Tchouate

Madagascar : réhabilitation de la centrale d’Andekaleka qui alimente la Capitale

La réalisation des travaux de réhabilitation de la centrale hydroélectrique d’Andekaleka permettra à la Jirama de sécuriser sa capacité de production hydroélectrique et contribuera à la satisfaction croissante de la demande d’énergie.

La Jirama (la compagnie d’électricité de Madagascar) vient de lancer un appel d’offres international pour la réhabilitation de la plus grande centrale hydroélectrique du pays. Les travaux devront débuter en 2008. Ce projet de réhabilitation est cofinancé par le gouvernement de Madagascar et par la Banque mondiale.

Andekaleka fournit près de 30% de l’électricité qui alimente le réseau interconnecté d’Antananarivo. La puissance totale que ses deux groupes peuvent développer à l’heure actuelle s’élève à 58 MW. Dans ces conditions, l’arrêt d’Andekaleka pourrait entrainer de fortes perturbations dans la fourniture d’électricité dans la capitale et ses environs.

Or, pour conduire ces travaux de réhabilitation, Andekaleka devra être arrêtée durant sept semaines, réparties sur un an. « Nous prévoyons d’arrêter trois fois la centrale d’Andekaleka durant les travaux. Les deux premiers arrêts dureront deux semaines chacun et le troisième, plus long, durera trois semaines », explique M. Bernhard Romahn, directeur général de la Jirama.

On ne sait pas comment la Jirama gérera cette situation, mais elle pourra compter sur la nouvelle centrale thermique de 40MW de Mandroseza, dont la mise en service opérationnelle est prévue au début de l’année 2008.

L’appel d’offres international pour la sélection de l’entreprise qui effectuera les travaux vient d’être lancé par la Jirama. Le coût total s’élève à 734 000 US dollars (1,3 milliard ariary) et sera financé par la réquisition budgétaire de 18 milliards ariary et par la Banque mondiale. La réhabilitation d’Andekaleka comprend deux volets :

  • Le premier volet consiste au dragage du canal d’amener qui alimente la centrale ;
  • Le deuxième volet comporte l’installation, en 2009, d’un troisième groupe pour augmenter la puissance installée de la centrale.


Source : un article publié sur le site deL’Express de Madagascar (Antananarivo), le 5 septembre 2007.

René Massé

Ouganda : La Banque mondiale s’engage pour développer le secteur énergétique

Le Conseil d’administration de la Banque mondiale a approuvé le jeudi 26 Avril 2007 un crédit de l’Association internationale de développement (IDA) d’un montant de 300 millions de dollars EU pour soutenir une opération de développement du secteur énergétique en Ouganda.

Ce crédit permettra de développer le secteur énergétique par des investissements et des réalisations.

Ce financement comprend un prêt d’investissement de 220 millions de dollars EU et un prêt à l’appui des politiques de 80 millions de dollars EU. L’Ouganda va aussi bénéficier d’un cofinancement additionnel de 6,5 millions de dollars EU de l’Agence internationale de développement suédoise.

La crise énergétique actuelle mine considérablement la croissance sur le moyen terme. Cette crise consiste en un déficit substantiel d’électricité attribuable aux retards dans le renforcement de la capacité de production d’électricité, une sècheresse grave dans la région ces dernières années qui a diminué le rendement des centrales hydroélectriques existantes, et une croissance annuelle de la demande d’électricité de l’ordre de 8%.

L’opération de développement du secteur énergétique aura trois composantes majeures :

  • Un certain nombre d’investissements et de mesures politiques visant à réduire l’écart entre l’offre et la demande jusqu’à la mise en service de la centrale hydroélectrique de Bujagali autour de 2011 ;
  • Un appui financier au gouvernement pour absorber une partie des coûts élevés de la production thermique d’électricité à court terme ;
  • Des mesures politiques visant à rendre le secteur financièrement viable, à accélérer l’électrification rurale et progresser vers une approche sectorielle du développement.

M. Malcolm Cosgrave-Davies, le responsable à la banque mondiale pour cette opération, explique que « cette opération répond aux réalités du secteur énergétique ougandais. Elle soutient les investissements visant à corriger la pénurie d’énergie sur toute l’étendue du territoire, ainsi que les déséquilibres financiers, et à jeter les bases d’une expansion durable du secteur dans l’avenir ».

L’opération de développement du secteur énergétique est l’un des éléments de l’appui du Groupe de la Banque mondiale à la stratégie sectorielle de l’énergie de l’Ouganda. D’autres aspects de cet appui comprennent :

  • 360 millions sous forme de prêts et de garanties pour le Projet hydroélectrique de Bujagali également approuvés aujourd’hui par le Groupe de la Banque mondiale ; et Projets en cours :
  • Le projet d’investissement Power IV (62 millions de dollars EU), qui soutient l’amélioration de l’offre d’énergie et la capacité du gouvernement à conduire la réforme du secteur ;
  • Le projet énergétique pour la transformation des zones rurales (50 millions de dollars EU) pour accroitre l’accès des zones rurales à une électricité renouvelable ;
  • Des garanties d’investissement de l’ordre de 40 millions de dollars EU pour une société de distribution de l’énergie électrique.

Le crédit est fourni selon les termes standards de l’Association Internationale de Développement (IDA), avec des commissions d’engagement de 0,35 pourcent, des frais de service de 0,75 pourcent sur une période de maturité de 40 ans qui inclut une période de grâce de 10 ans.


[Source et informations complémentaires : le site de la Banque mondiale, sur cette page (en anglais).

Elhadji SYLLA, ASER, René Massé

Présentation des activités de ERDD -Lassabou, une ONG au Niger. Mme. Mariama Hamidou

Cet présentation expose un projet d’électrification rurale réalisée par cette ONG dans le village de Kokorou au Niger. Après une présentation de l’ONG, la présentation détaille toutes les phases et activités de ce projet d’ER villageois : les objectifs et procédures d’identification du projet d’électrification par systèmes photovoltaïque d’infrastructures communautaires ; L’approche technique et socio-économique ; Le montage du projet ; Les partenaires ; Les réalisations ; Le suivi – évaluation du projet ; (…)

Cet présentation expose un projet d’électrification rurale réalisée par cette ONG dans le village de Kokorou au Niger.

Après une présentation de l’ONG, la présentation détaille toutes les phases et activités de ce projet d’ER villageois :

  • les objectifs et procédures d’identification du projet d’électrification par systèmes photovoltaïque d’infrastructures communautaires ;
  • L’approche technique et socio-économique ;
  • Le montage du projet ;
  • Les partenaires ;
  • Les réalisations ;
  • Le suivi – évaluation du projet ;
  • Les mesures d’accompagnement mises en place pour la gestion durable du projet ;
  • Des illustrations de ces réalisations.

René Massé

Projets d’électrification rurale par microcentrale hydroélectrique au Maroc. M. Dahbani (CDER)

Cette présentation expose de façon très détaillée le programme hydroélectrique mis en œuvre au Maroc avec le CDER. Il aborde tous les aspects, généralités sur la filière, considérations techniques, aspects financiers, et présente chacun des projets réalisés.

Cette présentation expose de façon très détaillée le programme hydroélectrique mis en œuvre au Maroc avec le CDER.

Il aborde tous les aspects, généralités sur la filière, considérations techniques, aspects financiers, et présente chacun des projets réalisés.

René Massé

Suivi et évaluation : des moyens pour réussir un projet d’ER. M. René Massé (GRET)

Il y a deux façons d’évaluer un programme : i) à l’issue du programme, une évaluation externalisée conduite par un expert indépendant, et ii) à travers un processus continu de suivi – évaluation conçu comme une composante du programme et réalisé par ses propres acteurs. Cet exposé traite de la seconde méthode, internalisée, destinée à offir un outil de pilotage du programme, à renforcer l’expertise des acteurs du programme et à documenter une éventuelle évaluation externalisée à l’issue du programme. Cet (…)

Il y a deux façons d’évaluer un programme : i) à l’issue du programme, une évaluation externalisée conduite par un expert indépendant, et ii) à travers un processus continu de suivi – évaluation conçu comme une composante du programme et réalisé par ses propres acteurs.

Cet exposé traite de la seconde méthode, internalisée, destinée à offir un outil de pilotage du programme, à renforcer l’expertise des acteurs du programme et à documenter une éventuelle évaluation externalisée à l’issue du programme.

Cet exposé est fondé sur le programme d’électrification rurale en Guinée conduit par le BERD, qui a mis en place, le premier (?) un dispositif de suivi-évaluation de ses performances.

René Massé

Le programme d’électrification rurale global (PERG) au Maroc. M. Rachid Izri (chef PERG à l’ONE)

Cette présentation, très documentée, expose dans une première partie le programme marocain d’électrification rurale, son concept de partenariat public-privé, ses financements, ses objectifs et ses réalisations. Une seconde partie détaille la composante solaire de ce programme. Avec toujours beaucoup de détails sur les méthodes, les modalités de partenariats public – privés, les réalisations, l’impact (…)

Cette présentation, très documentée, expose dans une première partie le programme marocain d’électrification rurale, son concept de partenariat public-privé, ses financements, ses objectifs et ses réalisations.

Une seconde partie détaille la composante solaire de ce programme. Avec toujours beaucoup de détails sur les méthodes, les modalités de partenariats public – privés, les réalisations, l’impact même.

René Massé

Mali : l’AMADER présente des résultats encourageants

Lors de son Conseil d’administration d’août 2007, le PDG de l’Agence malienne pour le développement de l’énergie domestique et de l’électrification rurale (Amader), M. Ismael Oumar Touré a fait un point des résultats appréciables obtenus dans les domaines de l’énergie domestique et de l’électrification rurale.

De bons résultats, mais l’AMADER a besoin de nouveaux financements pour poursuivre ces efforts : 24,4 milliards Fcfa pour le seul secteur de l’électrification rurale…

Réalisations dans le domaine des énergies domestiques

Concernant la composante énergie domestique, les chiffres sont parlants. Sous l’impulsion de l’Amader, ont été diffusés dans différentes localités du pays :

  • Plus de 318 000 foyers améliorés dont 69 800 au cours du semestre écoulé et
  • Environ 22 500 réchauds à gaz dont plus de 8 600 unités durant le même semestre.
  • La vulgarisation du réchaud à pétrole, après quelques difficultés de démarrage, a connu un réel essor. Ainsi plus de 3 000 réchauds à pétrole ont été importés et mis sur le marché.

Réalisations dans le domaine de l’électrification rurale

L’électrification durable a permis, à la date de 30 juin 2007, de brancher plus de 12 590 abonnés aux réseaux électriques, construits dans les douze projets les plus avancés.

Bientôt 35 700 abonnés bénéficieront de l’électricité grâce à l’achèvement de 30 projets appelés à couvrir une trentaine de localités.

Malgré ces résultats flatteurs, Ismael Oumar Touré reconnaît que depuis la dernière session, la situation financière de l’agence ne s’est guère améliorée. Ainsi, la Banque mondiale, le gouvernement et l’Amader se mobilisent pour la recherche de ressources ou de solutions nouvelles. Le besoin financier est estimé à 24,4 milliards Fcfa. Si ce financement est mobilisé, il permettra de porter le taux d’électrification rurale à 12 % en 2010

René Massé

Sénégal : construction d’une centrale électrique dans la région de Kaolack

Signature d’un avenant Senelec-Wartsila Le Sénégal a entrepris d’accroitre ses capacités de production électrique. Cette centrale de 60MW sera opérationnelle en novembre 2008.

Samuel Amète Sarr, le ministre de l’Energie et Alain Pilot, directeur commercial du Groupe Wartsila, ont procédé le 12 septembre 2007 à la signature d’un avenant pour la réalisation de cette centrale électrique de Kahone. Elle sera co-financée par la Bid, la Bidc et la Boad à hauteur de 32 milliards de FCfa.

L’ère de la décentralisation des centres de production s’ouvre au Sénégal

Ce sera le plus grand projet de production électrique jamais réalisé à l’intérieur du pays : il inaugure l’ère de la décentralisation des centres de production en dehors de Dakar. La construction d’autres centrales en régions devraient suivre, en particulier la centrale de 2 fois 70 MW de Tobène dans la région de Thiès.

Le groupe Wartsila intervient déjà dans plusieurs sites au Sénégal, en particulier à Bel Air mis en service en septembre 2006, au Cap des biches avec la réalisation des deux tranches de 15 MW, à Kounoune. Mais cette nouvelle centrale constitue un autre enjeu.

La Senelec renforce ses capacités

Le directeur général de Senelec est ensuite revenu sur les efforts déployés par sa société « pour offrir un ensemble de services de qualité, performants et fiables à ses clients, pour apporter le service public de l’électricité dans tous les foyers du Sénégal. »

Sur ce chapitre, il a estimé que « la Senelec a entrepris ces dernières années un vaste programme d’investissement qui se manifeste à travers la réalisation de la centrale de Bel Air, mis en service en septembre 2006, l’achèvement imminent des travaux de la centrale privée de Kounoune pour un coût global de 76 milliards F CFA ». Ce qui a permis « d’augmenter sensiblement la capacité de production de quelque 134 MW ».

Il en est de même au niveau des réseaux de transports et de distribution Il a cité la liaison Sococim Mbour, le renforcement du réseau moyenne tension de Dakar et la réalisation en cours de la ligne électrique haute tension de 225 kVs Tobène-Touba-kaolack qui a requis 32 milliards FCfa et qui sera opérationnelle en janvier 2008. Toutes ces actions ont permis « de fiabiliser et de sécuriser l’alimentation électrique tant au niveau de Dakar qu’aux niveaux des régions de Thiès, Dioula, Kaolack et Fatick », a-il poursuivi.

Samuel Amète Sarr, ministre de l’Energie a confirmé que « l’électricité et le secteur de l’énergie de façon globale occupent une place de choix dans la stratégie de croissance accélérée et l’atteinte des objectifs du millénaire pour le développement ». L’objectif du gouvernement de « soulager les populations sénégalaises en leur offrant une énergie de qualité en quantité suffisante dans le court terme et à moindre prix dans le moyen et le long terme », expliquerait « le processus d’accélération des investissements engagé dans le domaine de l’énergie ». Et la mise en service de Kahone, combinée avec la ligne 225 kV Tobène-Touba-Kaolack, « permettront de sécuriser définitivement l’alimentation électrique des régions de Kaolack et Diourbel et aura un impact certain dans leur développement socio-économique », a-il conclu.

Source : article de la Revue de Presse du programme Energie-Réduction de la pauvreté de la CEDEAO du 10 au 14 septembre 2007.

René Massé