Fiche de présentation du Botswana de l’Areed

Fiche de présentation pays en Anglais

L’Areed est un programme du PNUE (Programme des Nations Unies pour l’Environnement) pour la promotion des REEs (entreprises rurales d’énergie) ayant recours aux énergies renouvelables dans les pays d’Afrique.

L’Areed édite des fiches d’information, par pays d’implantation, sur le développement des REEs ayant recours aux énergies renouvelables.

La fiche de l’Areed du Botswana (EN) comprend :

  • une présentation générale du pays ;
  • une présentation de la situation financière du pays ;
  • un présentation de la situation du secteur de l’énergie ;
  • le contexte social ;
  • le contexte politique ;
  • une liste de contacts travaillant dans le secteur ;
  • une liste des sociétés spécialisées dans le photovoltaïque avec une présentation de leurs produits.

Voir également le site internet de l’Areed.

Gret, Jérome Levet

Le séchage des produits agricoles par l’énergie solaire

Fiche d’évaluation technique éditée par l’Areed

L’Areed est un programme du PNUE (Programme des Nations Unies pour l’Environnement) pour la promotion des REEs (entreprises rurales d’énergie) ayant recours aux énergies renouvelables dans les pays d’Afrique.

L’Areed édite des fiches d’évaluations en anglais afin de déterminer le potentiel commercial des entreprises qui vendent des biens ou des services utilisant les technologies des énergies renouvelables.

La fiche d’évaluation sur le séchage des produits agricoles par l’énergie solaire (EN) est à télécharger sur le site de l’Areed.

Elle présente :

  • les différents produits séchés pouvant être commercialisés ;
  • la commercialisation du séchoir solaire ;
  • les groupes ciblés par le séchoir solaire et les possibilités d’investissements ;
  • les barrières pouvant entraver le développement du séchoir solaire ;
  • des recommandations et des solutions ;
  • un cas d’étude en Ouganda ;
  • un cas d’étude au Ghana ;
  • le dessin technique d’un séchoir solaire à la Barbade ;
  • des termes de références et des ressources bibliographiques.

Voir également le site internet de l’Areed

La fiche d’évaluation sur « la production de glace et le refroidissement »
La fiche d’évaluation sur « la cuisine à l’énergie solaire »

Gret, Jérome Levet

Manuel pour les professionnels de la finance et du développement souhaitant financer des entreprises rurales dans le secteur de l’énergie

Manuel de formation de l’Areed

L’Areed est un organisme du PNUE (Programme des Nations Unies pour l’Environnement) pour la promotion des REEs (entreprises rurales d’énergie) ayant recours aux énergies renouvelables en Afrique.

L’Areed édite le « manuel du formateur de l’Areed », destiné à montrer aux établissements financiers que les entreprises de services énergétiques en milieu rural peuvent être rentables.

Il contient des informations pratiques sur les marchés ruraux de l’énergie et sur les entreprises qui proposent des technologies exploitant des énergies renouvelables ; il présente également des modèles de bonnes pratiques pour financer les projets.

L’Areed propose d’ailleurs de participer au financement de certains projets de développement de REEs.

Enfin, ce manuel est un complément du « guide des entrepreneurs du secteur de l’énergie de l’Areed ».


Voir également « les fiches d’évaluation technique » de l’Areed (voir la rubrique « ressources ») et le site internet de l’Areed.

Gret, Jérome Levet

Directive de mise en comptabilité des investissements avec l’environnement à Madagascar

Décret N° 2004-167 relatif à la mise en compatibilité des investissements avec l’environnement (MECIE), 3 février 2004, Madagascar.

Selon la directive MECIE, certains projets d’investissements doivent faire l’objet d’une étude d’impact environnemental. Certaines dispositions concernent les projets hydroélectriques.

Le décret N° 2004-167 de mise en conformité des investissements avec l’environnement fixe le niveau d’étude d’impact à mener suivant le type de projet.

Les types d’études requises par la loi

Suivant la nature du projet, l’un ou l’autre type d’étude doit être mené :

1 – EIE ou étude d’impact environnemental

Cette étude consiste en l’analyse scientifique et préalable des impacts potentiels prévisibles d’une activité donnée sur l’environnement, et en l’examen de l’acceptabilité de leur niveau et des mesures
d’atténuation permettant d’assurer l’intégrité de l’environnement dans les limites des meilleures technologies disponibles à un coût économiquement acceptable.

2 – PREE ou programme d’engagement environnemental

Il s’agit d’un programme, géré directement par la cellule environnementale du ministère sectoriel dont relève la tutelle de l’activité, qui consiste en l’engagement du promoteur de prendre certaines mesures
d’atténuation des impacts de son activité sur l’environnement, ainsi que des mesures éventuelles de réhabilitation du lieu d’implantation.

Dispositions particulières concernant les projets hydroélectriques

1 – Les projets de plus de 150 MW

Selon les articles 3, 4 et l’annexe I de la directive MECIE : « toute installation hydroélectrique de plus de 150MW » est soumise aux prérogatives suivantes :

  • la réalisation d’une étude d’impact environnemental (EIE) ;
  • l’obtention d’un permis environnemental délivré à la suite d’une évaluation favorable de l’EIE ;
  • la délivrance d’un plan de gestion environnementale du projet (PGEP) constituant le cahier des charges environnemental du projet concerné.

2 – Les projets de 50 à 150 MW

Selon les articles 3 et 5 et l’annexe II : « toute installation hydroélectrique d’une puissance comprise entre 50 et 150MW » ainsi que « tout projet de barrage hydroélectrique d’une superficie de rétention comprise entre 200 et 500 ha » est soumis aux prérogatives suivantes :

  • la production par l’investisseur d’un programme d’engagement environnemental (PREE) dont le contenu, les conditions de recevabilité et les modalités d’application sont définis par les dispositions de la directive ;
  • une évaluation et approbation du PREE par la cellule environnementale du ministère sectoriel directement concerné, qui établira et enverra les rapports y afférents au ministère chargé de l’environnement et à l’ONE (Office national pour l’environnement).

3 – Le cas particulier des ouvrages situés en « zone sensible »

Cependant, il est à noter le cas particulier dont font l’objet les installations en zones dite « sensibles ».

Selon l’article 4 de la directive MECIE : « toutes implantations ou modifications d’aménagements, ouvrages et travaux situés dans les zones sensibles prévues par l’arrêté N°4355/97 du 13 mai 1997 portant désignation des zones sensibles » est soumis aux mêmes prérogatives que les projets de plus de 150 MW, à savoir :

  • la réalisation d’une étude d’impact environnemental (EIE) ;
  • l’obtention d’un permis environnemental délivré à la suite d’une évaluation favorable de l’EIE ;
  • la délivrance d’un plan de gestion environnementale du projet (PGEP) constituant le cahier des charges environnemental du projet concerné.

Cependant, l’article 4 ajoute que « la modification de cet arrêté peut être initiée, en tant que de besoin, par le ministre chargé de l’Environnement, en concertation avec les ministères sectoriels concernés ».

Conclusion concernant les projets d’hydroélectricité ruraux

Au vu des puissances des installations micro et pico hydroélectriques pour le développement de l’électrification rurale décentralisée (moins de 1MW), ces investissements ne font pas l’objet d’un EIE ou d’un PREE sauf si elles se situent dans les zones sensibles prévues par la loi, comme l’est par exemple la zone du corridor forestier Ranomafana-Andringitra.

Cependant, comme l’indique la directive, même si tous les ouvrages doivent faire l’objet d’une attention particulière, les centrales « au fil de l’eau » ont un très faible impact environnemental négatif sur leur milieu d’implantation au vu des impacts socio-économiques positifs qu’elles engendrent.


Pour plus d’informations voir le site de la directive MECIE

Gret, Jérome Levet

Guide de l’entrepreneur du secteur de l’énergie

African Rural Energy enterprise Development (AREED), Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE), E&Co, octobre, 2000

Le guide de l’entrepreneur du secteur de l’énergie, composé de quatre modules, est destiné à guider l’entrepreneur tout au long de ses démarches, de la collecte d’informations à la gestion du projet, en passant par l’analyse de faisabilité et la préparation du plan d’exploitation.

> A télécharger sur le site de l’Areed.

L’Areed est un organisme du PNUE (Programme des Nations unies pour l’environnement) pour la promotion des entreprises rurales d’énergie (REEs) ayant recours aux énergies renouvelables dans les pays en voie de développement.

Gret, Jérome Levet

510 millions de dollars alloués au financement des énergies renouvelables au Pakistan

l’Asian Bank for Development (ADB) a alloué 510 millions de dollars US pour le développement les énergies renouvelables au Pakistan. Le développement de la petite hydroélectricité sera au cœur de cette politique de financement. Voir l’article (EN) de la revue reFOCUS (EN)

l’Asian Bank for Development (ADB) a alloué 510 millions de dollars US pour le développement les énergies renouvelables au Pakistan.

Le développement de la petite hydroélectricité sera au cœur de cette politique de financement.

Voir l’article (EN) de la revue reFOCUS (EN)

Jérome Levet

Le rendement des cellules photovoltaïques dépasse la barre des 40 %

40,7 % ! C’est le rendement énergétique que vient d’atteindre, en laboratoire, une cellule photovoltaïque développée aux Etats Unis. Cette récente avancée laisse entrevoir la possiblité de parvenir à un prix de revient de l’électricié solaire de 8¢ à 10¢ de US$ par kWh dans les prochaines années. voir l’article de la revue reFOCUS (EN) suivant : http://www.sparksdata.co.uk/refocus… (EN)

40,7 % ! C’est le rendement énergétique que vient d’atteindre, en laboratoire, une cellule photovoltaïque développée aux Etats Unis. Cette récente avancée laisse entrevoir la possiblité de parvenir à un prix de revient de l’électricié solaire de 8¢ à 10¢ de US$ par kWh dans les prochaines années.

voir l’article de la revue reFOCUS (EN) suivant : http://www.sparksdata.co.uk/refocus… (EN)

Jérome Levet

Formation énergie solaire à Perpignan

Session organisée par Tecsol les 11, 12 et 13 décembre 2006 . Renseignements et inscriptions : tel : +33 – (0)4 68 68 16 40

Cette formation est principalement destinée aux maîtres d’ouvrage français (organismes d’HLM, services techniques des villes, conseils généraux et régionaux, bureaux d’études techniques et entreprises du génie climatique) ainsi qu’aux acteurs du solaire collectif (bureaux d’études, entreprises, maître d’ouvrages, opérateurs énergétiques…).

Tecsol est un des principaux bureau d’études français indépendant spécialisé dans l’utilisation de l’énergie solaire. Il organise périodiquement des sessions de formation professionnelle.

Au terme de cette prochaine formation professionnelle, les participants auront acquis les connaissances et méthodes requises pour :

  • Dimensionner une installation solaire ;
  • Concevoir les différents schémas de principe d’une installation et savoir choisir celui qui est le plus approprié ;
  • Déterminer la rentabilité économique d’un projet et son impact environnemental.

Contact : Annie Foulon au +33 -(0)4 68 68 16 40

Email : annief@tecsol.fr

Télécharger le programme complet, les conditions et le bulletin d’inscription

René Massé

Micro-centrale hydraulique (fiche de conception)

Gret, 2006- 9 pages

Cette fiche technique présente de manière synthétique les différents éléments à prendre en compte pour concevoir, mettre en œuvre et gérer une installation de microhydroélectricité.

Il n’existe pas de définition universelle du terme « petite centrale hydroélectrique ». Selon les définitions locales, ce terme peut couvrir des capacités nominales de quelques kilowatts à 50 mégawatts ou plus. Quelque fois, les projets de 100 kW à 1 MW sont appelés « mini-centrales » et les projets de moins de 100 kW, « micro-centrales ». Toutefois, la puissance installée n’est pas toujours un bon indicateur de la taille d’un projet. Une « petite centrale » hydroélectrique à basse chute est loin d’être petite, car en général les projets à basse chute ont besoin d’un volume d’eau beaucoup plus important et de plus grosses turbines que des projets à haute chute.

Jacques Monvois, Gret

Outil RETScreen International

Logiciels de dimensionnement dédiés aux installations photovoltaïques, aux petites centrales hydroélectriques et aux centrales éoliennes

L’Outil RETScreen a été développé avec le soutien du ministère des Ressources naturelles du Canada et est librement diffusé sous la marque RETScreen International. Fin 2006, cet outil a été diffusé à plus de 93 000 utilisateurs dans 216 pays.

C’est un logiciel d’analyse de projets énergies propres, qui peut être utilisé dans le monde entier pour évaluer la production énergétique, les coûts du cycle de vie et les réductions des émissions de gaz à effet de serre pour différents dispositifs d’efficacité énergétique et différentes technologies d’énergies renouvelables : hydraulique et solaire.

L’outil RETScreen est constitué de plusieurs classeurs Microsoft Excel, chacun étant développé pour une forme d’énergie propre. Chaque classeur est composé d’une série de feuilles de calculs comme le montre l’illustration ci-dessous. L’outil comporte aussi une base de données (produits, coûts et données météorologiques), un manuel en ligne un site web http://www.retscreen.net/fr, un manuel d’ingénierie, des études de projets et un cours de formation.


Modèle pour des projets d’installation photovoltaïque

Comme tous les modèles, il peut être utilisé pour évaluer la production énergétique, le coût du cycle de vie et la réduction des gaz à effet de serre pour trois applications de base :

  • En réseau : le modèle peut être utilisé pour évaluer les projets raccordés à un réseau isolé ou à un réseau électrique centralisé ;
  • Hors réseau : le modèle peut être utilisé pour évaluer les systèmes autonomes (PV-batteries) et hybrides (PV-batteries-groupes électrogènes) ;
  • Le pompage de l’eau par systèmes photovoltaïques.

Ce modèle comprend six feuilles de calcul : modèle énergétique, évaluation de la ressource solaire et calcul de la charge, analyse des coûts, analyse des réductions de gaz à effet de serre, sommaire financier et analyse de sensibilité et de risque.

Modèle pour des projets de petites centrales hydroélectriques

Comme tous les modèles, il peut être utilisé pour évaluer la production énergétique, la viabilité financière et les réductions de gaz à effet de serre pour des projets de petites centrales hydroélectriques hors réseau, ou raccordées à un réseau isolé ou à un réseau d’électrification centralisé. Ces projets vont des petites et mini-centrales à turbines multiples aux micro-centrales à turbine unique.

Ce modèle comprend sept feuilles de calcul : modèle énergétique, analyse hydrologique et calcul de charge, caractéristiques des équipements, analyse des coûts, analyse des réductions d’émissions de gaz à effet de serre, sommaire financier et analyse de sensibilité et de risque.

Modèle pour des projets de centrale éolienne

Comme tous les modèles, il permet d’évaluer la production d’énergie, la viabilité financière et les réductions de gaz à effet de serre pour des projets de centrales éoliennes hors réseau, ou raccordées à un réseau isolé ou à un réseau d’électrification centralisé. Ces projets vont des vastes parcs composés de plusieurs éoliennes jusqu’aux petites éoliennes individuelles, en passant par des systèmes hybrides éolien-diesel.

Ce modèle comprend six feuilles de calcul : modèle énergétique, caractéristiques des équipements, analyse des coûts, analyse des réductions d’émissions de gaz à effet de serre, sommaire financier et analyse de sensibilité et de risque.

René Massé