Tanzanie : études du marché de l’éclairage

Études de marché effectuées par Éclairer l’Afrique, initiative du Groupe de la Banque mondiale, portant sur les moyens d’éclairage pour les individus et les petites entreprises de Tanzanie, constituées par :

  1. Une étude qualitative exploratoire
  2. Une étude quantitative des usages et comportements

« Tanzania Qualitative Off-Grid Lighting Market Assessment »

83 pages

« Lighting Africa Market Assessment Results – Tanzania »

142 pages

Éclairer l’Afrique (Groupe de la Banque mondiale)

octobre 2008

(documents en anglais)

Éclairer l’Afrique a pour objectif de favoriser un développement
rapide du secteur et de l’offre de produits d’éclairage abordables et ne
dépendant pas de combustibles fossiles, et elle vise plus
particulièrement à trouver les moyens de réduire fortement les coûts.

Cette démarche débute par la réalisation d’études de marché dont les objectifs sont :

  • Créer une base de référence pour quantifier la taille des segments de marché potentiel des produits d’éclairage appropriés, en quantité et en valeur
  • Informer sur les fonctionnalités et conception souhaitées pour différents types de produits d’éclairage dans plusieurs classes de produits (lampe-torche, projecteur, lampe, lanterne, spot)
  • Permettre aux industriels de comprendre et de quantifier les dépenses actuelles et la capacité de payer des consommateurs concernant les produits d’éclairage modernes hors réseau, et de déterminer le prix raisonnable des produits vis-à-vis du marché.

Source : site d’Éclairer l’Afrique (en anglais).

Jacques Monvois, Gret, Xavier Dufail

France : les ampoules à incandescence interdites à partir de 2010

Dans le cadre du Grenelle de l’environnement, le gouvernement français a voté le 21 octobre 2008 l’interdiction de vente pour les ampoules à incandescence, à partir de 2010.

La France n’est pas le premier pays à s’engager sur ce point : une décision identique a été prise par l’Australie en février 2007. Et l’état de Californie (États-unis) appliquera la même interdiction en 2012.

Les ampoules à incandescence ont des rendements très bas (de l’ordre de quelques %) et leur suppression pour des solutions alternatives (tube néon, ampoule fluocompacte, éclairage à LED, etc.) diminue fortement la consommation en énergie.

Compte tenu de leur plus grande durée de vie, et malgré leur coût plus élevé, l’utilisation d’ampoules fluocompactes en remplacement des ampoules à filament reste financièrement intéressante pour les usagers.

René Massé, Xavier Dufail

Sénégal : le premier projet Mdp s’inscrit dans le programme de l’ASER

Ce premier programme d’activités Mdp initié par l’ASER avec le concours de la Banque mondiale, permettra la réduction des émissions de gaz à effet de serre par la diffusion de 1 500 000 ampoules à basse consommation lors des réalisations d’électrification rurale.

La politique d’amélioration de l’accès à l’électricité en milieu rural à des coûts adaptés au budget des ménages vient de recevoir un coup de pouce. 1.500.000 ampoules à basse consommation devront remplacer les ampoules à incandescence actuellement utilisées. Ce projet d’investissement d’environ 3,15 milliards de FCfa (Banque mondiale-Aser) vise à réduire les émissions de gaz à effet de serre.

L’Agence sénégalaise d’électrification rurale (Aser) et la Banque mondiale ont signé, ce mercredi 3 septembre 2008 à Dakar, un contrat d’achat de réduction d’émission portant sur un programme d’efficacité énergétique du Mécanisme de développement propre (Mdp) prévu par le Protocole de Kyoto.

Ce projet d’investissement d’environ 3,15 milliards de FCfa (7 millions de dollars Us) devrait être bénéfique pour des dizaines de milliers de ménages en milieu rural. Un document de la Banque mondiale remis à la presse informe que « le programme Mdp de l’Aser s’inscrit dans le cadre du Programme prioritaire d’électrification rurale qui permettra l’accès à l’électricité d’environ 365 mille ménages sur une période de cinq ans ». La même source indique que « ce contrat d’achat de réduction d’émission porte sur 120 mille tonnes d’émission de carbone évitées grâce aux économies d’électricité réalisées avec l’installation de 1.500.000 ampoules à basse consommation lors de l’électrification rurale au Sénégal ».

Et fait savoir que ces ampoules ont une durée de vie de cinq à six fois plus longue que les ampoules incandécentes habituellement utilisées. Ces ampoules présentent également l’avantage d’une consommation réduite en énergie qui entraînera des économies sur la facture d’électricité des ménages et des réductions des émissions de gaz à effet de serre.

Le Directeur général de l’Aser, Modibo Diop, a affirmé que la mise en œuvre du projet Mdp permettra à l’agence qu’il dirige, de trouver des ressources additionnelles qui pourront lui permettre d’accroître davantage l’accès des populations rurales du Sénégal aux services électriques. Il a concédé que « l’accès de ces populations rurales à cette forme d’énergie moderne permettra d’améliorer sensiblement leurs conditions de vie, tout en contribuant à la préservation de l’environnement global ». Modibo Diop de rappeler que « ce programme d’électrification a pour objectif d’augmenter le taux d’accès à l’électricité des ménages de 16% à 50% d’ici 2012 ».

Ainsi, grâce à ce partenariat avec la banque mondiale, le Sénégal vient d’ouvrir la porte, jusque-là fermée, des opportunités du Mécanisme développement propre.


Source un article publié sur le site de Sudoneline

Elhadji SYLLA, ASER, René Massé

Ghana : une conférence pour éclairer l’Afrique

Cette réunion est organisée dans le cadre de la campagne « Eclairer l’Afrique » lancée en septembre 2007 par la Banque mondiale et sa filiale en charge du secteur privé, la Société financière internationale (SFI).

« Augmenter l’accès à l’éclairage propre et abordable est essentiel pour le développement de l’Afrique », déclare Anil Cabraal, spécialiste de l’énergie à la Banque mondiale. « Attendre l’expansion des réseaux électriques n’est pas possible si on considére les problèmes d’énergie d’aujourd’hui ».

Rendre attractif aux investisseurs privés le marché des réseaux d’électricité du continent africain, tel était l’objectif de la conférence internationale qui s’est tenue à Accra, au Ghana à partir du 6 mai 2008. L’enjeu affiché est de fournir un éclairage électrique à 250 millions de personnes qui en sont aujourd’hui privées, non seulement dans les zones rurales, non raccordées aux réseaux, mais aussi dans les capitales, qui toutes, connaissent des délestages fréquents.

Ces problèmes électriques sont considérés comme un obstacle majeur au développement économique et social. Les ruptures de fourniture d’énergie électrique ralentissent et/ou renchérissent l’activité des industries et éloignent les investisseurs. Les secteurs sociaux de la santé et de l’éducation sont également perturbés, comme l’est également celui des télécommunications.

Représentants d’industrie électrique, gouvernements, bailleurs de fonds et organisations non gouvernementales sont donc réunis pour étudier comment stimuler l’intérêt des investisseurs pour le marché émergent de ces réseaux électriques.

« Pauvres en énergie », les Africains dépensent 40 milliards de dollars par an pour de l’électricité basée sur des énergies fossiles, que la Banque mondiale décrit comme « chères, inefficaces, de mauvaise qualité, et polluantes ». Les plus courantes parmi celles-ci sont les lampes au kérosène qui, selon la Banque, couvrent 10 à 30 pour cent des dépenses des ménages en Afrique subsaharienne.

La Banque mondiale et la SFI soutiennent dès lors des alternatives telles que les ampoules basse consommation (des LED et les lampes compactes fluorescentes). Ces deux techniques produisent plus de lumière par watt qu’une ampoule incandescente et elles durent plus longtemps qu’une ampoule ordinaire, même si l’investissement de départ est plus élevé.

La conférence rendra publique une recherche pilote sur la demande, le comportement et les préférences des consommateurs effectuée au Ghana et au Kenya. D’autres études de marché sont en cours en Ethiopie, en Tanzanie et en Zambie.

Ces études constituent la première exploration détaillée de ce que la Banque mondiale décrit comme un marché potentiellement énorme pour des produits d’éclairage sûrs et fiables, qui sont financièrement compétitifs avec les lampes à combustibles et sont alimentés par des énergies renouvelables ou des sources mécaniques.


Source : un article de M. Abid Aslam, publié le 7 mai 2008 sur le site de IPS – Inter Press News Agency

René Massé

Sénégal : projet sénégalo-allemand "énergie solaire photovoltaïque"

Dans le cadre de l’électrification rurale, le projet Sénégalo-Allemand a réalisé une étude sur les systèmes photovoltaïques familiaux dans les zones rurales sénégalaises. Une des productions de ce projet est cette étude d’optimisation de la maintenance dans les zones à faible densité de systèmes photovoltaïques familiaux.

« Optimisation de la maintenance dans les zones à faible densité de systèmes photovoltaïques familiaux »

Auteur : Dr. Amadou Sow

Edité par le Projet Sénégalo-allemand énergie solaire photovoltaïque

Rapport final, juin 1998

96 pages

L’Etat sénégalais s’est engagé dans un programme de développement de l’électrification dans les campagnes par la voie solaire, en impliquant la coopération bilatérale, les centres nationaux de recherche (Centre d’Etudes et de Recherche sur les Energies Renouvelables – CERER, l’Ecole Supérieure Polytechnique de Dakar – ESP) et en mettant en place des instruments juridiques conséquents, en particulier l’exonération de droit fiscal et de droit de douane pour les kits solaires.

Cette étude propose un modèle de maintenance optimisé des systèmes photovoltaïques installés dans les zones à faible densité. Elle expose successivement :

  • Une analyse des systèmes de maintenance existants ;
  • L’analyse des différentes options d’une stratégie d’optimisation , à savoir l’option économique, l’option technique et l’option logistique (détaillées ci-dessous) ;
  • Un modèle optimum de maintenance.

La maintenance est donc un facteur capital, qui conditionne l’évolution future de la diffusion des systèmes photovoltaïques familiaux. Elle résulte d’une combinaison d’options, qui sont en interaction et qui déterminent sa viabilité, à savoir :

  • L’option technique : fiabilité des composants, qualité de l’installation, utilisation adéquate des systèmes photovoltaïques familiaux, etc.
  • L’option logistique : outils de dépannage, moyens de déplacement, approvisionnement en pièces de rechange, etc.
  • L’option économique : coûts des prestations de maintenance pour les utilisateurs, rémunération des prestataires de services de maintenance.

Elhadji SYLLA, ASER, René Massé

Une société canadienne annonce la mise au point d’une technologie permettant la fabrication d’une ampoule électrique révolutionnaire

Cette ampoule aurait une durée de vie de 20 ans et économiserait 90% de l’énergie consommée par une ampoule électrique incandescente traditionnelle.

Group IV Semiconductor Inc. (Group IV), EnCana Corporation et Technologies du développement durable Canada (TDDC) ont annoncé publiquement cette innovation à Ottawa (Canada) le 27 septembre 2006.

Le procédé consiste à faire passer du courant électrique au travers un film de silicium pour produire de la lumière par transformation directe de l’énergie en photon. Comme la presque totalité de l’énergie est convertie en lumière plutôt qu’en chaleur, cette technologie d’éclairage par semi-conducteur est beaucoup plus efficace que les technologies qui utilisent des filaments (comme dans celui des ampoules incandescentes), ou des gaz (comme dans le cas des lampes fluorescentes).

Les avantages potentiels de cette technologie sont nombreux. Une adoption massive au Canada entraînerait des économies d’électricité correspondant à presque le double de la consommation d’électricité annuelle des foyers de la ville de Toronto. La durée de vie de ce type d’ampoule pourrait atteindre 50.000 heures, comparée à 1.000 heures pour une ampoule à incandescence 5.000 heures pour les lampes fluorescentes compactes. Son utilisation serait possible avec les appareils d’éclairage actuels et la lumière blanche fournie serait d’une excellente qualité. L’ampoule ne serait pas chaude au toucher, ce qui la rendrait bien adaptée aux vitrines d’exposition et aux congélateurs, par exemple, où la chaleur peut représenter un problème. Enfin le coût de fabrication serait beaucoup plus bas que pour les autres solutions à semi-conducteurs comme les LED en raison de l’utilisation de silicium.

Le projet d’éclairage à semi-conducteurs du Group-IV-EnCana-TDDC prévoit de développer plus avant la technologie et faire la démonstration qu’elle peut être appliquée à des produits d’éclairage viables commercialement. Il dispose d’un budget de 9,1 millions de dollars canadiens, est piloté par Group IV, et se déroulera sur trois ans.

« Le nouveau gouvernement du Canada est fier de soutenir la recherche qui fait du Canada le premier pays du monde à mettre au point une ampoule électrique utilisant 90% moins d’énergie et pouvant durer 20 ans, a déclaré l’honorable Gary Lunn, ministre des Ressources naturelles. Lorsque cette technologie se retrouvera sur le marché, elle procurera des avantages réels et tangibles pour les Canadiens et pour l’environnement. »

Source : le site Internet de Technologies du développement durable Canada (EN)


À propos du Environmental Innovation Fund de EnCana

Le Environmental Innovation Fund d’EnCana a été créé en janvier 2004 pour aider à mettre en oeuvre la politique de responsabilité corporative d’EnCana en finançant des projets qui appuient le développement et la démonstration de nouvelles technologies énergétiques plus propres. Depuis sa création, le fonds a investi plus de 7 millions de dollars canadiens dans des projets internes et externes.

À propos de TDDC

Technologies du développement durable Canada (TDDC) est une initiative du gouvernement du Canada qui exploite un fonds de 550 millions de dollars canadiens pour financer et appuyer le développement et la démonstration de technologies propres et trouver des solutions aux problèmes de changement climatique. TDDC, organisme autonome sans but lucratif, comble le fossé dans la chaîne d’innovation entre les étapes de la recherche et de la commercialisation, en aidant les concepteurs de technologies propres à faire passer leurs produits et leurs solutions des phases préparatoires du développement et de la démonstration, à l’étape de la commercialisation. TDDC encourage la collaboration entre des partenaires privés, financiers, universitaires et publics, ainsi qu’avec le gouvernement canadien pour créer une infrastructure technologique du développement durable au Canada.
À ce jour, TDDC a mené à bien huit cycles de financement et investi un total de 217 millions de dollars canadiens dans 97 projets liés aux technologies propres. Ce montant s’est ajouté à un financement de 560 millions de dollars canadiens versé par d’autres partenaires, la valeur totale des projets s’élevant à 777 millions de dollars canadiens.

René Massé

400 000 lampes basse consommation distribuées au Rwanda, 600 000 en Ouganda, pour économiser l’énergie

Au Rwanda comme en Ouganda, la Banque mondiale et ESMAP soutiennent le remplacement gracieux de plusieurs centaine de milliers de lampes à incandescence par des lampes compactes fluorescentes, afin de diminuer les dépenses domestiques pour l’énergie, mais aussi pour réduire les rejets de gaz à effet de serre et se substituer à de nouveaux investissement dans des centrales thermiques de production.

Le ministère Rwandais des Infrastructures a commencé la distribution de 50 000 lampes compactes fluorescentes (CFLs), dans le cadre d’un projet de réhabilitation du secteur électrique financé par la Banque mondiale avec l’assistance technique de ESMAP. Ce projet vise à diminuer les dépenses des familles pour l’énergie, mais aussi à réduire les coupures d’électricité et à améiorer la qualité de l’approvisionnement en énergie de tous les clients.

Electrogaz, maître d’oeuvre du projet, distribuera in fine 400 000 lampes gratuitement. La première phase prévoit le remplacement de 200 000 lampes à incandescence par des CFLs, ce qui devrait réduire le pic de charge de 8 MW et se substituer à l’installation de nouveaux groupes diesels. On espère ainsi réduire les émissions de gaz à effet de serre de 50 000 tonnes d’équivalent CO2.

Un projet similaire est en cours d’exécution en Ouganda, avec le remplacement de 600 000 lampes à incandescence par des CFLs. Ce projet, qui s’inscrit dans un programme de transformation rurale, a également été conçu et financé par le groupe énergie de la Banque mondiale, avec l’assistance technique de ESMAP.

Contact : M. Ashok Sarkar

Source : http://esmap.org/

René Massé

Support pédagogique pour la conception de l’éclairage électrique

Introduction à l’éclairage électrique et bases d’éclairagisme. Olivier Normand, ESF (Electriciens sans frontières), novembre 2005

Voici une série de modules pédagogiques destinés à tous ceux qui ont à concevoir un éclairage électrique.

Présenté sous la forme d’un diaporama, ce document est un véritable outil de conception et de dimensionnement d’un dispositif d’éclairage. Il a été conçu par Electriciens sans frontières (ESF) avec un souci de la pédagogie, conduisant l’expert progressivement, en sept étapes complémentaires :

  • Introduction à ce qu’est la lumière et la perception visuelle que nous en avons ;
  • Les grands principes de l’éclairage ;
  • Les principales règles et grandeurs photomètriques à respecter ;
  • La production de lumière électrique ;
  • Un guide pour bien choisir son éclairage ;
  • un guide de dimensionnement du dispositif d’éclairage ; et
  • un rappel des consignes de sécurité et des conseils pour l’entretien des installations.

Imedia, Olivier Normand

Contre le réchauffement, l’Australie bannit les ampoules classiques

Le Gouvernement australien interdit la vente d’ampoules incandescentes à partir de 2010 pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et le réchauffement climatique de la planète.

Dépêche de l’AFP du 20/02/2007 parue sur le site internet TV5 info



L’Australie, souvent critiquée pour n’avoir pas signé le protocole de Kyoto visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre, a annoncé mardi 20 février 2007 qu’elle allait remplacer d’ici 2010 les ampoules électriques classiques par des fluorescentes, plus économes en énergie (voir photo ci-contre : à droite, une ampoule électrique classique, à gauche une ampoule fluorescente).

Revendiquant une première mondiale, au moins en ce qui concerne une décision nationale, le ministre de l’Environnement M. Malcolm Turnbull a assuré qu’interdire les ampoules traditionnelles « dans le monde entier réduirait la consommation d’électricité d’un montant équivalent à cinq fois les besoins annuels de l’Australie« .

« Le réchauffement climatique est un défi à l’échelle de la planète. J’encourage les autres pays à suivre l’exemple de l’Australie et à adopter des produits plus économes comme les ampoules fluorescentes« , a ajouté le ministre.

Le Premier ministre conservateur John Howard, fervent opposant du protocole de Kyoto, a loué une décision « réaliste« , par opposition aux « nombreuses choses trop alarmistes qui sont dans l’air« .

A l’approche d’élections générales prévues d’ici la fin de l’année 2007, M. Howard a adouci sa position sur le réchauffement climatique, à la suite d’une prise de conscience accrue de la population, en raison notamment de la sécheresse historique que subit le pays-continent déjà le plus sec au monde.

Source : http://www.tv5.org

Jérome Levet

Eclairage économe en énergie et peu polluant, les LEDS

Les diodes électro luminescentes (DELs) ont atteint l’age adulte et sont diffusées largement par une ONG canadienne, Light Up The World Foundation (LUTW).

Jusqu’à présent, LUTW a équipé plus de 14 000 ménages dans 42 pays, apportant un éclairage économe et de qualité à environ 100 000 personnesn avec un impact minimum sur l’environnement.

Light Up The World Foundation (LUTW) est une ONG canadienne qui développe des projets d’éclairage dans des villages de pays en voie de développement.

Elle utilise une technologie moderne, accessible, efficace et peu polluante d’un point de vue environnemental global : des diodes électro luminescentes (DELs) alimentés par des kits photovoltaïques.

Jusqu’à présent, l’ONG a équipé plus de 14 000 ménages dans 42 pays, soit environ 100 000 personnes, qui ont ainsi pu bénéficier d’un éclairage de qualité, améliorant sensiblement leurs conditions de vie tout en préservant l’environnement.

René Massé