Energies propres de cuisson en Côte d’Ivoire – Situation & perspectives

En Côte d’Ivoire, 40% des ménages affirment utiliser des morceaux de plastique ou de caoutchouc pour démarrer le feu qui leur servira à la cuisson des aliments tandis que le couvert forestier a subi une perte de plus de 75% entre 1960 et 2013. Le Programme National d’Investissement pour l’Accès aux Services Energétiques en Côte d’Ivoire (PNIASE-CI), rédigé en 2012, souligne les priorités énergétiques pour le pays. La présente étude conduite par StovePlus (un programme de l’ONG GERES), en collaboration avec ECM, ECREEE et CARE, se veut une contribution à ce programme. Elle dresse un état des lieux des énergies de cuisson utilisées dans le pays et propose des axes d’amélioration : énergies utilisées, quantités, prix dans les grandes villes ou en milieu rural, mais aussi secteurs institutionnels et professionnels des différentes filières (bois, charbon, gaz, biorésidus, cuiseurs) y sont étudiés en détail.

Améliorer la prise en compte des enjeux climatiques dans le financement du développement

Pratiques et stratégies des financeurs français du développement

La présente étude vise à s’interroger sur la situation réelle de la finance climat en France, aujourd’hui. Alors qu’un nombre de plus en plus important d’acteurs finançant le développement affichent la prise en compte de l’enjeu climatique dans leur approche, qu’en est-il réellement dans les faits ?

Après avoir présenté un panorama général des flux de financements à destination des pays en développement et de la finance climat à l’échelle internationale, cette étude s’attarde plus particulièrement sur les pratiques « climat » des principaux acteurs du financement international français. Cette analyse s’accompagne d’une mise en perspective avec les pratiques des agences nationales des quatre autres principaux bailleurs internationaux (États-Unis, Allemagne, Japon, Royaume-Uni).

Cette étude se fonde sur une analyse biblio-webographique à l’échelle internationale et française et sur une série d’entretiens et une analyse approfondie des pratiques des principaux acteurs français identifiés au cours de la première étape.

Le diagnostic énergie en milieu rural

Le diagnostic énergie en milieu rural est un outil pour analyser les besoins en énergie et construire des solutions locales adaptées. Il est issu de la pratique des équipes du GERES et de ses partenaires sur le terrain, en Asie et en Afrique. Cette brochure de synthèse présente la méthodologie et 4 études de cas.

Diagnostic Energie dans les départements de Linguère et Ranérou (Sénégal)

L’énergie est indispensable à notre développement économique et à notre confort de vie, mais c’est aussi la principale source de gaz à effet de serre. Cet antagonisme des effets de l’énergie mérite d’être détaillé, particulièrement dans les territoires les plus fragiles, c’est ce que propose de faire le Diagnostic Energie. Cette description est faite sur la base actuelle, mais aussi de manière prospective en tenant compte des évolutions à venir. Cette compréhension permet de fournir des éléments à intégrer dans les scénarios de développement, que ce soit sous forme de contraintes ou d’opportunités. C’est ce qui a été réalisé dans la zone du Ferlo, au nord-est du Sénégal, en collaboration avec tous les acteurs et les populations concernés.

Diagnostic des fluides et étude thermique de 30 lycées – Dakar

« Diagnostic des fluides (eau, énergie) et étude thermique des 30 lycées de la région de Dakar »

Cette étude a été réalisée dans le cadre du Plan climat territorial intégré (PCTI) de la Région de Dakar par le bureau d’études EMASOL.

Les Conseils régionaux de Dakar et d’Île-de-France ont souhaité mettre en cohérence la démarche Plan Climat avec les axes sur lesquels repose leur coopération décentralisée à savoir la formation, le développement économique, les lycées et rendre visibles des actions exemplaires engagées sur le territoire de la région de Dakar en lien avec les objectifs du PCTI (atténuation/adaptation).

Cette étude propose des éléments de quantification de la consommation des fluides (eau et thermique) des 30 lycées de la région, une évaluation des performances énergétiques des établissements, une caractérisation des apports et les insuffisances thermiques liés à leur architecture, leur orientation, aux matériaux de construction leur occupation et une estimation des quantités de gaz à effet de serre qui pourront être évitées.

Date : 2013

Auteur : Cabinet EMASOL

Table des matières – Pour chaque lycée étudié

I. Description générale
II. Architecture
III. Description des installations énergétiques
3.1 Usage de l’énergie
3.2 Alimentation en eau
3.3 Alimentation électrique
3.4 Système de management de l’énergie
3.5 Gestion des déchets
IV. Analyse des consommations
4.1 Consommation d’eau
4.2 Consommation électrique
4.2.1 Profil de consommation
4.2.2 Gestion de la demande
4.2.3 Facteur de puissance
4.2.4 Harmoniques
V. Tarification
VI. : Conclusion

Source : http://www.areneidf.org/publication-arene/diagnostic-des-fluides-eau-%C3%A9nergie-et-%C3%A9tude-thermique-des-30-lyc%C3%A9es-de-la-r%C3%A9gion-de-dakar

Les femmes du Sénégal percent le marché énergétique

De plus en plus de femmes entrepreneurs se joignent à leurs homologues masculins pour développer de nouveaux marchés énergétiques dans les zones rurales du Sénégal en proposant des produits et services indispensables aux communautés éloignées. Afin de soutenir cet esprit entrepreneurial naissant, GVEP et SEM Fund collaborent avec des femmes entrepreneurs basées dans les régions de Tambacounda et de Kédougou pour développer leurs compétences et surmonter les obstacles liés à leur genre. Dans des régions (…)

De plus en plus de femmes entrepreneurs se joignent à leurs homologues masculins pour développer de nouveaux marchés énergétiques dans les zones rurales du Sénégal en proposant des produits et services indispensables aux communautés éloignées. Afin de soutenir cet esprit entrepreneurial naissant, GVEP et SEM Fund collaborent avec des femmes entrepreneurs basées dans les régions de Tambacounda et de Kédougou pour développer leurs compétences et surmonter les obstacles liés à leur genre.

Dans des régions frappées par la pauvreté telles que Tambacounda et Kédougou, l’accès à l’énergie demeure extrêmement faible (9% et 4%). Pour répondre à ce manque, les femmes de ces régions ont décidé de faire face et de mettre leurs capacités entrepreneuriales au profit de leurs familles et leurs communautés.

Diriger une entreprise peut s’avérer difficile, nécessitant de bonnes connaissances techniques et des compétences en matière de marketing, comptabilité et de gestion des affaires. Mais ceci s’avère beaucoup plus difficile à relever pour les femmes, qui sont quotidiennement confrontées à des obstacles liés au genre. Au Sénégal comme dans d’autres pays à travers le monde, les normes sociales ont trop souvent placé les femmes dans un rôle domestique avant de pouvoir se consacrer à une activité professionnelle. En tant que femme il est également plus difficile d’obtenir une aide financière extérieure, et développer des relations professionnelles peut être difficile.

Pourtant, les femmes ayant accès aux mêmes opportunités que les hommes sont tout aussi capables de réussir – comme le prouvent les entreprises de Mme Kandé et Mme Diallo.

Lorsque Mme Kandé a ouvert sa laiterie « Latiere Bilaame Pul Debbo » en 2002, sa capacité de production dépassait largement le nombre de litres que son réfrigérateur pouvait contenir, à savoir 100 à 150 litres par jour. De nombreux habitants étaient en demande de lait frais pasteurisé, mais sa capacité de production était limitée par l’insuffisance d’une source d’énergie fiable. Tout cela a changé lorsqu’elle a reçu une formation en technologie et en gestion des affaires, et fut accompagnée dans l’obtention d’une subvention. Grâce à cette subvention, Mme Kandé a pu renouveler ses équipements de production : les deux petits congélateurs qui auparavant conservaient le lait ont été remplacés par des réservoirs et une chambre froide solaires, lui permettant de réduire ses coûts en électricité et de doubler sa production, atteignant 200/300 litres par jour. Ce succès l’a encouragé à recruter six nouveaux membres du personnel, augmentant ainsi le nombre total d’employés de sept à treize.

« J’ai désormais confiance en mes capacités à pouvoir produire une plus grande variété de produits laitiers de haute qualité et espère doubler le chiffre d’affaires de mon entreprise d’ici la fin de l’année. » – Mme Kandé

GIE Mun’al, une entreprise de transformation de karité, fruit du baobab, et céréales telles que le fonio, a également contribué à la croissance économique de sa région. Souffrant d’un manque d’équipements adéquats, Mme Diallo, propriétaire de l’usine, sous-traitait la transformation de sa production agricole à une entreprise externe. Les frais liés à cette activité de sous-traitance pesaient lourdement sur les bénéfices de son entreprise et en faisait stagner le développement. Avec le soutien de GVEP International, elle a pu faire construire une unité de transformation partiellement alimentée à l’énergie solaire, lui permettant d’effectuer sa transformation elle-même. Son chiffre d’affaires a depuis doublé grâce à cet investissement. Les avantages de ce changement se sont étendus au-delà de son entreprise, bénéficiant également l’ensemble de sa communauté.

« Le soutien de GVEP a non seulement permis l’accélération de la croissance de mon entreprise et l’augmentation de ma productivité, mais il a également généré des opportunités d’emploi pour beaucoup d’autres habitants de ma communauté. », explique Mme Diallo.

Outre la création de postes pour quinze femmes locales, d’autres opportunités d’emplois ont vu le jour grâce à son entreprise, notamment pour les travailleurs agricoles produisant les matières premières et les détaillants revendant ses produits.

Les activités entrepreneuriales des femmes ont un impact positif non seulement sur le développement économique de leurs communautés, mais aussi sur la qualité de vie de leurs familles. Aussi, l’autonomisation et la réussite des femmes les rendent de plus en plus confiantes et conquérantes. Le succès de Mme Kandé lui a donné envie de partager et d’échanger sur son expérience en participant à des manifestations tels que le Salon International de l’Agriculture de Paris. Elle est devenue un modèle pour de nombreuses femmes qui aspirent, elles aussi, au même succès. Grâce à cette réussite, Madame Kandé a été félicitée et encouragée par le Ministre de l’Elevage et le Président de la République du Sénégal.

« Je suis très fière de la réussite de mon entreprise. J’espère pouvoir être un exemple pour bien d’autres femmes qui souhaitent concrétiser leurs ambitions, à commencer par ma fille cadette qui suit mes traces. » – Mme Kandé.

GVEP International et SEM Fund, financés parENERGIA, recrutent actuellement 250 femmes entrepreneurs pour reproduire le succès de ces femmes. Au cours des 2 prochaines années et demie, ces femmes seront suivies dans le développement de leurs entreprises énergétiques et recevront un soutien pour accéder à des financements. Des activités de sensibilisation aux questions de genre seront également mises en place avec les chefs communautaires des deux régions, avec pour but la valorisation de la participation des femmes dans le marché énergétique. Des groupements de femmes déjà actifs et collaborant avec les deux organisations seront également présents pour apporter leur soutien et leurs encouragements.

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Contact : laura.nolan@gvepinternational.org

Jatropha : les perspectives après huit années de recherches au Mali

Le jatropha, une solution pour répondre aux besoins en énergie de l’Afrique ? Huit années de travail sur le terrain, avec les paysans et les partenaires locaux nous permettent de montrer aujourd’hui la réalité de la production d’huile de jatropha pour un usage local, et les perspectives pour les petits agriculteurs qui ont expérimenté cette filière. Retrouvez sur facebook une vidéo sur le jatropha paysan et des images pour suivre la construction de la zone d’activités électrifiée (hybride huile de (…)

Le jatropha, une solution pour répondre aux besoins en énergie de l’Afrique ?

Huit années de travail sur le terrain, avec les paysans et les partenaires locaux nous permettent de montrer aujourd’hui la réalité de la production d’huile de jatropha pour un usage local, et les perspectives pour les petits agriculteurs qui ont expérimenté cette filière.

Retrouvez sur facebook une vidéo sur le jatropha paysan et des images pour suivre la construction de la zone d’activités électrifiée (hybride huile de jatropha, solaire) de Konséguéla, dans la région de Koutiala, au sud-est du Mali.
Et bien d’autres images sur Kaboul, les hammams au Maroc ou les serres en Mongolie.

Pour en savoir plus) : https://www.facebook.com/geres.asso

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Contact : contact@geres.eu

Les femmes du Rwanda rendent l’énergie solaire accessible aux populations rurales

Au Rwanda, la participation active des femmes dans le secteur énergétique répond de plus en plus aux besoins en électricité de nombreuses communautés vivant hors réseau. Nyirahabimana Alphonsine fait partie de ces entrepreneurs qui ont su tirer profit de l’ensoleillement du pays pour fournir des services de chargement téléphonique aux communautés rurales. Il y a quatre ans, Nyirahabimana Alphonsine et son mari luttaient pour atteindre un revenu viable, dépendant exclusivement de leur activité (…)

Au Rwanda, la participation active des femmes dans le secteur énergétique répond de plus en plus aux besoins en électricité de nombreuses communautés vivant hors réseau. Nyirahabimana Alphonsine fait partie de ces entrepreneurs qui ont su tirer profit de l’ensoleillement du pays pour fournir des services de chargement téléphonique aux communautés rurales.

Il y a quatre ans, Nyirahabimana Alphonsine et son mari luttaient pour atteindre un revenu viable, dépendant exclusivement de leur activité agricole. Mais après s’être rendu compte que beaucoup de personnes dans sa région peinaient à recharger leurs téléphones portables, elle a décidé d’agir en commençant une entreprise de chargement téléphonique en 2011.

À 33 ans, mariée et mère de 3 enfants, Alphonsine n’avait aucune connaissance antérieure dans le secteur et un capital initial de 50.000 Frw (72$). Mais à peine un an plus tard son entreprise s’est mise à grandir, lui permettant d’acheter un panneau solaire qui a stimulé sa productivité, augmenté ses heures de travail et ses revenus.

Cependant, son manque de connaissances en technologie, développement des affaires et utilisation productive de l’énergie réduisaient considérablement la rentabilité de son entreprise.

Repérant son enthousiasme et son potentiel, GVEP l’a recruté dans le programme CARE 2 (Capital Access for Renewable Energy Enterprises) en juin 2014, afin de l’aider à augmenter sa productivité et ainsi répondre à la demande croissante de sa communauté.

« GVEP lui a donné le coup de pouce nécessaire en lui fournissant une formation en développement des affaires et développement du marché, tout en identifiant les besoins de son entreprise. » – Victor Hakuzwumuremyi, Coordinateur BDS chez GVEP

Son entreprise rend désormais service aux nombreux villages avoisinants, permettant aux populations de se déplacer moins loin pour charger leurs téléphones. Passer à l’énergie solaire fut tellement rentable qu’elle a pu également ouvrir un salon de coiffure et une cantine.

« Mon entreprise a fait preuve d’améliorations considérables au cours de la dernière année. Mon revenu mensuel est passé de 120.000 (174$) à 150.000 Frw (217$), et j’ai même pu ouvrir une nouvelle station de chargement. » – Nyirahabimana Alphonsine

Suite au soutien de GVEP, la réussite de l’entreprise d’Alphonsine a été reconnue lors de la cérémonie de la Journée Internationale des Femmes Rurales le 25 Octobre à Gisagara, province du sud, où le Ministre du Commerce rwandais lui a décerné un prix pour sa contribution à l’éradication de la pauvreté.

GVEP soutient présentement 83 femmes entrepreneurs rwandaises qui utilisent des technologies solaires pour accroître la productivité de leurs entreprises. Certaines d’entre elles utilisaient des batteries de voiture pour charger les téléphones, mais sont passées à l’énergie solaire suite à l’intervention de GVEP. Ces solutions alternatives ont changé la vie de beaucoup de femmes entrepreneurs, qui génèrent désormais un revenu suffisant pour répondre aux besoins de leurs familles, tout en rendant service à la communauté.

La pénurie en électricité est élevée au Rwanda, en particulier dans les zones rurales où plus de 80% de la population vit et seulement 5% a accès à l’électricité. Ceci fait aussi stagner la croissance des petites et microentreprises qui représentent 99,5% des entreprises du secteur privé, résultant en une faible rentabilité, une pauvreté rurale importante, des inégalités rurales/urbaines béantes et un potentiel économique non réalisé, surtout pour les femmes.

La capacité entrepreneuriale des rwandais s’avère efficace pour lutter contre la pauvreté énergétique tandis que de nombreuses petites et microentreprises énergétiques voient le jour à travers le pays. Alphonsine est un exemple parmi 30 entrepreneurs que GVEP soutient dans la région de Gisagara, parmi un total de 270 entreprises d’énergie solaire et 15 entrepreneurs en pico hydro au niveau national.

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Contact : laura.nolan@gvepinternational.org

Lettre d’information N°5 du programme Typha en Mauritanie

Le programme Typha s’est donné pour objectif la valorisation énergétique à l’échelle artisanale et industrielle du typha

Les points suivants sont abordés dans cette lettre :

  1. l’Iset de Rosso a commencé les tests de production de charbon de Typha à l’échelle industrielle . Il s’est avéré qu’il était techniquement impossible de densifier le Typha sec seul pour la ligne « cuisine ». Une nouvelle matière première a donc fait son apparition dans le processus de production, il s’agît de la balle de riz. Elle est peu utilisée et disponible en grande quantité à Rosso (≈ 8 000 t/an). Il est possible de produire 170 kg/h de bu-chettes en mélangeant 50 % de Typha sec trié avec 50 % de balle de riz brute. La re-cette du charbon de Typha pour encens est elle aussi définie, le Typha carbonisé broyé sera mélangé avec 5 % de gomme arabique.
  1. Breune démarre et 4 nouveaux villages se préparent. L’installation de l’unité artisanale du village de Breune à 13 km à l’est de Rosso a eu lieu en octobre 2014. Après une visite d’échange à l’unité de Garack, les équipes de produc-tion ont été formées à la technique de production et ont suivi une formation en organi-sation et gestion. Les opérateurs sont capables d’assurer une production de qualité.
    Les carbonisateurs, les presses et les claies de séchage pour les nouvelles unités des villages de Tounguène, Chgara, Keur Madickè et Oumou El Ghoura ont été fabriqués intégralement à l’Iset. Actuellement, les bâtiments qui hébergeront les unités sont en cours de construction. En parallèle, les formations à la coupe du Typha et à sa carbo-nisation ont débuté dans les 4 villages. Les unités produiront du charbon début 2015.
  1. La cartographie intégrale des surfaces envahies par le Typha australis dans le bas del-ta du fleuve Sénégal en Mauritanie est finalisée. Le Typha occupe plus de 24 000 hec-tares, soit un potentiel d’environ 240 000 tonnes de charbon produit industriellement.

Pour en savoir plus, contacter :

Représentation du Gret en Mauritanie
BP 5261, ZR 573, TVZ, Nouakchott
tel : +222 45 25 84 96 / e-mail : mauritanie@gret.org
www.gret.org/mauritanie

Contact en Mauritanie : Tourad Ould Sery

Contact en France : Julien Cerqueira

Jacques Monvois

Projets de développement accédant aux fonds carbone – Synthèse

Cette étude a été réalisée par une équipe de P3value pour les ONG GERES (Groupe Energies Renouvelables, Environnement et Solidarités), ID (Initiative Développement) et AVSF (Agronomes et Vétérinaires sans Frontières). L’objectif était de mettre en évidence les conditions de la mobilisation des marchés carbone pour le financement de projets de développement autour du questionnement suivant : Quels intérêts et limites de ce type de financement pour un projet de développement, et comment s’y insère-t-il ? (…)

Cette étude a été réalisée par une équipe de P3value pour les ONG GERES (Groupe Energies Renouvelables, Environnement et Solidarités), ID (Initiative Développement) et AVSF (Agronomes et Vétérinaires sans Frontières).

L’objectif était de mettre en évidence les conditions de la mobilisation des marchés carbone pour le financement de projets de développement autour du questionnement suivant :

  1. Quels intérêts et limites de ce type de financement pour un projet de développement, et comment s’y insère-t-il ?
  2. Quelles conséquences sur la conduite du projet et sur ses retombées auprès des communautés ?
  3. Peut-on définir une ligne de conduite et un positionnement spécifiques pour les ONG sur les marchés carbone ?

Une recherche documentaire et 5 études de cas approfondies (dont 3 projets avec une mission au Mali, au Pérou et au Cambodge) ont ciblé les secteurs « énergie domestique » et « boisement / reboisement ». Un travail d’échanges et de consultation a complété ces travaux.

Les conclusions portent sur les modalités de partage des bénéfices et les retombées économiques locales.

Cette étude a bénéficié du soutien financier du F3E.

Références de la publication)

Auteurs : les ONG AVSF, GERES, ID
Editeur : F3E- 2014- 44 p.

 


 

Contact : mnreboulet13@yahoo.fr