Cet article est extrait d’une page du site internet centrafricain du PNUD consacré à l’énergie. « Le contexte centrafricain est caractérisé par la faible capacité de mutation du mode de consommation énergétique. Plus de quarante ans après l’indépendance, 87 % de l’énergie consommée proviennent de la biomasse, 10% d’hydrocarbures et 3% de l’électricité. Un tel mode de consommation n’est pas de nature à favoriser la dynamique de développement dans un pays où la pauvreté touche plus de 70 % de la population, où (…)
Cet article est extrait d’une page du site internet centrafricain du PNUD consacré à l’énergie.
« Le contexte centrafricain est caractérisé par la faible capacité de mutation du mode de consommation énergétique. Plus de quarante ans après l’indépendance, 87 % de l’énergie consommée proviennent de la biomasse, 10% d’hydrocarbures et 3% de l’électricité.
Un tel mode de consommation n’est pas de nature à favoriser la dynamique de développement dans un pays où la pauvreté touche plus de 70 % de la population, où le niveau d’extrême pauvreté atteint presque la moitié de la population. Il traduit la précarité du mode de vie, marquée par la dégradation en cascades des conditions de vie, surtout en milieu rural. Le revenu moyen de la population a baissé de près de 20 %, et l’espérance de vie à la naissance de 49 ans en 1988 à 43 ans en 2003.
Face à cette situation, le pays s’est engagé à élaborer un document de stratégie de réduction de la pauvreté, avec un accent particulier sur la promotion du monde rural. Pour ce faire, la promotion de l’électrification rurale est considérée comme un moyen catalytique pour créer une dynamique durable de développement local. »
Pour en savoir plus :
> voir la page du site internet centrafricain du PNUD consacré à l’énergie ;
> télécharger ci-dessous un document exposant le cadre de politique énergétique centrafricaine ;
> télécharger ci-dessous le code de l’électricité centrafricain.
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