Sites hydroélectriques en République Centrafricaine

Présentation des sites hydroélectriques exploitables en République centrafricaine.

Publication du Ministère de l’énergie de RCA

Auteur : M. Rigobert Gbazi

90 pages.

Octobre 2006.

Ce document est composé de trois parties. Il présente les données caractéristiques connues sur les sites hydroélectriques identifiés en République centrafricaine (RCA).

Après un bref rappel des étapes d’étude d’un site hydro dans la première partie, la seconde répertorie les sites hydro en RCA en differents niveaux : les sites aménagés, les sites ayant l’objet d’étude de faisabilité, de préfaisabilité, ou seulement d’identification. La dernière partie du document analyse la répartition de chacun de ces sites repertoriés par préfecture, par niveau d’identification etc.

Rigobert Gbazi

Espagne : inauguration de la première centrale solaire « à concentration »

La ville de Séville a inauguré vendredi la première centrale solaire « à concentration » destinée à l’exploitation commerciale en Europe. D’une capacité de 11 MW, elle doit produire 23 GWh d’électricité par an, de quoi répondre aux besoins d’une population de 10.000 habitants.

Située à 25 km à l’Ouest de Séville, la centrale solaire baptisée PS10 a été construite par la société Abengoa. Le coût total de l’investissement est de 35 millions d’euros, dont 5 millions financés par le cinquième programme-cadre de l’Union européenne pour la recherche et le développement technologique.

« Grâce à ces nouvelles technologies, l’Europe dispose d’une arme supplémentaire pour lutter contre le changement climatique et améliorer la sécurité énergétique, tout en renforçant la compétitivité de son secteur industriel et en créant des emplois et de la croissance », a déclaré Andris Piebalgs, membre de la Commission chargé de l’énergie, à l’occasion de l’inauguration de la centrale.

PS10 est un exemple de centrale solaire dite « à concentration » : la centrale produit de l’électricité au moyen de 624 miroirs mobiles (héliostats) de 120 m2 chacun, qui suivent le soleil et concentrent de façon continue le rayonnement solaire au sommet d’une tour de 115 m de hauteur. Au haut de cette tour se trouvent le capteur solaire et la turbine à vapeur.

Cette production d’électricité solaire évitera le rejet dans l’atmosphère de près de 16.000 tonnes de CO2 par an. La réalisation du projet s’est déroulée sur 54 mois, du 1er juillet 2001 au 31 décembre 2005. PS10 est la première d’une série de centrales de production d’électricité solaire qui seront construites dans la même zone et totaliseront une capacité de plus de 300 MW d’ici à 2013.

René Massé

La Lettre de la Facilité ACP-CE pour l’énergie de février 2007 vient de paraître

Le processus de sélection de la Facilité ACP-CE pour l’énergie suit son cours. Après l’évaluation de la « concept note », 169 propositions sur 230 ont été sélectionnées pour la phase d’évaluation détaillée qui peut à présent commencer.

La 2ème phase est achevée

La seconde phase de l’évaluation de l’appel à propositions de la Facilité ACP-CE pour l’Énergie vient de s’achever et la liste des propositions sélectionnées pour l’évaluation détaillé a été approuvée.

Des 230 Notes conceptuelles évaluées, 169 ont été retenues et leurs propositions seront évaluées en détail pendant la phase d’évaluation qui débute à présent.

Le coût cumulé de tous les projets s’élève à plus de 950 M€ alors que la contribution pour la Facilite Énergie est de 380 M€. Avec 33 % des demandes en valeur, l’Afrique de l’Ouest arrive en tête suivie du Sud, de l’Est et du Centre de l’Afrique avec des demandes de 24%, 20% et 10% respectivement. Enfin, les demandes des pays des Caraïbes, du Pacifique et les projets régionaux s’élèvent chacune à 4 % environ du total demandé.

Pour en savoir plus vous pouvez consultez le site internet de la Facilité pour l’Énergie (FR).

Programme d’évaluation

Le planning prévu pour les deux prochaines étapes est le suivant :
Phase 3 : évaluation détaillée des propositions complètes
Elle commencera prochainement et sera terminée aux environs de la mi-avril 2007. La durée de cette phase dépendra toutefois de la complexité des propositions. Tous les demandeurs recevront les résultats par écrit.

Phase 4 : Éligibilité des demandeurs et partenaires
Cette phase commencera immédiatement après que la sélection des propositions les plus méritantes ait été annoncée. Les demandeurs seront informés des résultats immédiatement après.

La 11ème édition de la Lettre de la Facilité ACP-CE pour l’Énergie est à télécharger ci-dessous :

Jérome Levet, René Massé

La roue hydraulique : le projet d’électrification du centre de Kamonia

La République Démocratique du Congo a fait le choix de promouvoir la petite hydroélectricité pour électrifier les zones rurales, de façon durable.

La roue hydraulique

L’exploitation de l’énergie hydraulique remonte à bien longtemps. Mais, c’est aux environs du 18ème siècle qu’elle a pris de plus en plus d’importance avec l’exploitation de l’écoulement naturel de l’eau pour la production de l’électricité.
Bien que de grandes dimensions, lourdes et construites avec des matériaux locaux, les premières roues hydrauliques étaient néanmoins fiables et fournissaient l’énergie nécessaire pour le fonctionnement des moulins, des scieries, de petites centrales hydroélectriques, etc.., en transformant l’énergie de l’eau en énergie mécanique (travail mécanique).
Aujourd’hui, avec l’évolution technologique, la roue hydraulique constitue, à côté de la turbine, une composante essentielle d’une pico ou micro centrale hydroélectrique pour une électrification rurale décentralisée.

Hydroélectricité en République Démocratique du Congo

En République démocratique du Congo (RDC), nous dénombrons plusieurs pico ou micro installations hydrauliques utilisant la roue hydraulique pour produire un travail mécanique. Toutes ces installations appartiennent à des privés. Pour la plupart, ces roues actionnent des huileries, des scieries, des pompes aspirantes pour l’eau d’alimentation ou d’irrigation.

Une dizaine seulement produisent de l’électricité. Ces dernières ont connu à leurs débuts des dysfonctionnements d’exploitation (mauvaise régulation du débit, instabilité de la tension produite, mauvaise conception des ouvrages, etc..). : un travail de conformité technologique a été réalisé par la Commission nationale de l’énergie (CNE), qui est l’Organe de conseil et d’études du Gouvernement Congolais en matières énergétiques, a alors entrepris un travail de mise en conformité technologique de ces équipements. Ces efforts de réhabilitation et de développement des principaux composants des aménagements ont permis une amélioration de la disponibilité des équipements et ouvrages, une diminution des pertes de production, une amélioration de la sécurité de la fourniture et des installations ainsi qu’une réduction des coûts de maintenance.
Actuellement, l’électricité produite par ces centrales concourre au bien – être des populations concernées.

Constituant une préoccupation majeure du Gouvernement de la RDC, la sécurisation de l’approvisionnement en énergie électrique à long terme a conduit donc au choix du développement de la petite hydroélectricité (pico, micro ou mini) au regard du nombre important des sites propices.
C’est dans ce cadre que s’inscrit la publication par la CNE d’une étude sur les possibilités d’électrification des territoires de la RDC par mini ou micro centrales hydroélectriques. Cette étude a été publiée en octobre 2005. Un des objectifs visés est la mise en valeur de l’énorme potentiel hydroélectrique national ; l’étude cible 345 sites susceptibles d’être aménagés avec de petites centrales hydroélectriques.

Electrification du centre de Kamonia

La CNE a mis en application cette étude avec la conception et la conduite du projet d’électrification du centre de Kamonia par micro centrale hydroélectrique. La technologie utilisée est celle d’une roue hydraulique actionnant une génératrice. Le coût d’investissement de la MCH, y compris les réseaux de distribution, atteint près de 200.000 US $.
D’une puissance installée de 150 kW et d’un productible de 2 295 MWh, l’installation comprend :

  • un petit barrage qui agit comme seuil déversoir afin de régulariser le niveau d’eau et le débit en saison des pluies ;
  • un évacuateur des crues ;
  • une chambre de mise en charge ;
  • un collecteur comprenant un pertuis muni d’un batardeau à commande manuelle, un rétrécissement et une pente de 1% pour accroitre la vitesse de l’eau à l’entrée de la roue ;
  • un coursier où est placée la roue ;
  • une usine abritant d’autres équipements ;
  • un poste élevateur 110/6.600 V et un poste abaisseur 6 ;6/0,4 kV ;
  • un réseau de distribution.

De construction métallique et du type en dessous, cette roue a 3,5 m de diamètre et développe une puissance de 277 CV. Accouplée à un volant, la roue actionne une génératrice synchrone de 150 kVA par l’intermédiaire d’un multiplicateur de vitesse, constitué des poulies à gorges et courroies.

Cette MCH alimente près de 150 ménages, 3 centres médicaux, 4 écoles, quelques PME et ateliers ainsi que l’éclairage public selon une certaine répartition des charges.
Comme quoi, la technologie de la roue hydraulique peut encore servir de nos jours pour améliorer les conditions de vie de nos populations, surtout celles vivant en zones rurales. Toutefois, des considérations techniques doivent être prises en compte et bien respectées pour un fonctionnement optimal et durable.

Mick Mikemoto Lopusu

La femme, l’énergie et le développement rural

Energy and Gender Issues in Rural Sustainable Development. FAO. 2006

Cette publication (en anglais) démontre la nécessité d’intégrer le genre dans la définition des politiques énergétiques et des politiques de développement en milieu rural pour promouvoir un développement équilibré et durable.


La FAO a décidé d’inclure la problématique du développement rural et l’énergie dans les activités et programmes de son Département Genre et population.

Convaincue que les femmes constituent le groupe le plus vulnérable au déficit énergétique, ce département va intervenir de plus en plus dans les nouveaux programmes Biomasse-Energie développés par la FAO, ces programmes concernant le charbon de bois, le bois combustible, la valorisation des résidus forestiers, agricoles et d’élevage. Améliorer la condition des femmes rurales via un meilleur accès aux services énergétiques contribuera certainement à l’atteinte des sept Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD), étant donné le rôle traditionnel de ces dernières dans la gestion des biomasses et des ressources locales. Cette vision de la FAO est exposée dans sa publication de décembre 2006 ; il étudie les problèmes que rencontrent les femmes dans leur vie de tous les jours, et analyse leurs interactions avec l’énergie dans un contexte de développement durable. il formule enfin des recommendations pour une meilleure prise en compte du genre dans la définition des politiques énergétiques et la planification du développement en général.

Ce document, en reconnaissant la nécessité de différencier le genre dans les processus de décision sur l’énergie et le développement rural, encourage une attention accrue sur les défis identifiés. Il est organisé en quatre chapitres principaux :

  • chapitre 1 : l’énergie dans les discussions internationales sur le développement durable et la prise en compte du genre ;
  • chapitre 2 : la vision féminine du piège de la pauvreté énergétique avec quelques portraits régionaux (Afrique, Asie, Amérique Latine) ;
  • chapitre 3 : analyse des moyens/outils contribuant à une planification et à la formulation de politiques énergétiques en faveur des femmes ;
  • chapitre 4 : analyse des approches à travers quelques études de cas.

> Voir aussi le site que la FAO consacre au genre.

Pépin Tchouate, René Massé

Les Entités opérationnelles désignées pour le MDP – EOD

Accréditées par le Conseil exécutif du MDP, les Entités opérationnelles désignées (EOD) sont des organismes de certification indépendants entrant dans le processus du MDP.

Leurs missions

Les EOD ont deux missions :

Il est à noter que la même EOD ne peut assumer les deux fonctions pour un même projet.


Pour en savoir plus sur les EOD, processus d’accréditation, liste des EOD accréditées, voir la page dédiée (EN) sur le site internet de la Convention Climat (CCNUCC).

Jérome Levet, René Massé

Le Conseil exécutif du MDP

Le Conseil exécutif du MDP (CE) supervise la mise en place du Mécanisme de développement propre.

Son rôle

Le Conseil exécutif du MDP (CE) décide de l’enregistrement d’un projet au titre du MDP et délivre les crédits d’émission.

Il lui appartient aussi d’approuver les méthodologies d’évaluation et de suivi des projets, comme aussi d’accréditer les Entités opérationnelles appelées à intervenir dans le processus de validation des projets.

Organisation

Le CE comporte 10 membres issus des différents groupes de signataires du Protocole de Kyoto et élus pour une période de deux ou trois ans. Ils se réunissent avec une périodicité variable.


Pour en savoir plus :

> Les réunions en direct, leurs compte rendus et les informations relatives aux réunions à venir sont diffusés ici(EN).

> Les travaux des différents groupes d’experts mis en place par le Conseil exécutif peuvent également être consultés ici (EN).

> Le Mécanisme de développement propre.

Jérome Levet, René Massé

Les systèmes d’information énergétique – SIE

un point sur les SIE

Un système d’information énergétique (SIE) rassemble un vaste ensemble d’informations et de données sur les énergies.

Le SIE permet aux responsables en charge des questions énergétiques de prendre en compte les préoccupations du développement durable, de promotion des ressources énergétiques nationales, d’accès des populations défavorisées aux services énergétiques et d’efficacité dans la définition de la politique nationale du secteur.

A cette fin, des indicateurs tels que le taux d’accès aux énergies commerciales, le taux de couverture de la demande en bois-énergie par l’offre forestière et l’évolution des consommations des ménages par type d’énergie en zone rurale,… sont développés et actualisés au fil des ans.

Un système d’information énergétique permet aussi d’expliciter et de contrôler les objectifs de politiques nationales de l’énergie, notamment celles d’accès des populations aux services énergétiques.


Pour en savoir plus :

> télécharger le document « Liaison Énergie-Francophonie numéro 59 » de 2003 traitant des SIE ; ;

> voir l’article de l’annuaire du programme SIE-Afrique.

Gret, Jérome Levet

Des services énergétiques face à la pauvreté et pour le développement. Analyse et perspectives en milieu rural au Niger

Thèse professionnelle de Mastère management du développement durable, réalisée et présentée par Mlle. Aude PETELOT (HUBERT-BRIERRE) en décembre 2006 à l’Ecole des Hautes études commerciales (HEC Paris), France.

Peut-on envisager des stratégies d’introduction de services énergétiques qui donnent lieu à une véritable appropriation locale, susceptible d’engendrer un développement rural durable ? En dépit des multiples initiatives engagées de par le monde pour élargir l’accès à l’énergie, la faiblesse des résultats actuels appelle une analyse critique.

Ce travail de recherche propose d’abord une large étude du retour d’expérience, sur la base d’une analyse à la fois bibliographique et de terrain. Celle-ci vise à comprendre les limites de ces entreprises, mesurer les obstacles, poser des garde-fous et retenir les facteurs de réussite pour des projets énergétiques plus efficaces et porteurs de développement à l’avenir.

Le document examine ensuite très concrètement la problématique dans le contexte rural au Niger, où une modernisation énergétique utile et durable se révèle à la fois capitale et particulièrement ardue.

Il rappelle que des apports d’énergie pragmatiquement conçus à partir d’une analyse socioéconomique du contexte peuvent entraîner des progrès réels en matière de génération de revenus, de sécurité alimentaire, d’éducation et de santé – mais qu’une réduction structurelle de la pauvreté n’est possible qu’à condition qu’ils soient valorisés par le développement d’activités et d’usages productifs. Il détaille tant les impératifs techniques à considérer que l’ingénierie sociale à mettre en œuvre pour étayer ces entreprises complexes. Il propose une stratégie d’action adaptée au milieu rural nigérien pour fournir des services énergétiques décentralisés, au plus près des besoins quotidiens des populations, en valorisant les ressources naturelles locales.

Le résumé, l’introduction et le sommaire de cette étude peuvent être téléchargés ci-dessous, comme aussi la conclusion et la bibliographie.

Mettre à profit l’énergie pour réduire la pauvreté rurale dans les pays en développement : un défi à relever

Pourquoi, en dépit de toutes les entreprises menées, l’accès des pauvres à l’énergie reste-t-il si limité, en particulier en milieu rural ? Pourquoi la pauvreté ne recule-t-elle pas plus significativement dans les zones ou l’électricité par exemple est désormais disponible ? Dans une première partie, le document examine comment s’articule la problématique énergie-pauvreté dans les régions rurales en développement. Sur la base du retour d’expériences issu tant de projets à échelle restreinte que de politiques nationales, il présente les résultats de différentes formes d’initiatives énergétiques, les principaux écueils rencontrés et les enseignements à tirer. Ces leçons permettent de constituer un ancrage formel pour l’élaboration de stratégies visant à promouvoir l’accès à des solutions énergétiques dans un objectif de réduction de la pauvreté.

Voir ci-dessous la première partie, « Energie et réduction de la pauvreté rurale ».

Comment introduire de nouveaux services énergétiques pour favoriser un développement rural durable au Niger ?

Le Niger présente des conditions particulièrement difficiles pour une modernisation des usages de l’énergie, principalement de par l’extrême pauvreté de sa population ainsi que la prédominance d’un secteur rural enclavé, peu structuré et sous-équipé. La seconde partie de cette étude s’appuie sur l’expérience du terrain ainsi que les témoignages d’acteurs des secteurs de l’énergie et du développement rural, complétés par des données d’enquêtes et de rapports réalisés au niveau national et régional.

Elle analyse d’abord le contexte général, économique et social qui intervient comme déterminant des besoins et possibilités en matière d’accès à l’énergie. Elle étudie aussi l’évolution du secteur observable dans le pays.

Voir ci-dessous la seconde partie, « Problématique énergie – pauvreté rurale au Niger ».

Une approche concrète proposée pour quelques villages ciblés, orientée vers la mise en œuvre d’équipements de transformation des céréales, de moyens de maîtrise de l’eau et de conservation des productions, la mise à disposition de force motrice ou la fourniture limitée
d’électricité pour les artisans locaux. La constitution d’une filière courte d’huile végétale complète cette proposition.

Voir ci-dessous la troisième partie, « Etudes de cas : villages des bords du Niger ».

Annexes

Trois annexes techniques précisent quelques concepts élémentaires, état de l’art et des avancées actuelles en matière de développement et de solutions énergétiques.

Voir ci-dessous « Annexes techniques ».

Quatre annexes pays proposent un aperçu géographique, politique et économique du Niger.

Voir ci-dessous « Annexes Niger ».

Aude Petelot (Hubert-Brierre), René Massé

Partenariats publics privés dans les pays en développement, l’expérience d’EDF

Exposé présenté par EDF au séminaire « Financer l’électricité pour la croissance en Afrique », organisé par l’Infrastructure Consortium for Africa à Yaoundé, en décembre 2006.

Ce document exposé par EDF au séminaire « Financer l’électricité pour la croissance en Afrique » présente l’expérience de EDF et ses recommandation en matière de partenariats publics privés dans les pays en voie de développement.


Voir aussi :

> Présentation du séminaire « Financer l’électricité pour la croissance en Afrique »

> Infrastructure Consortium for Africa (ICA)

Jérome Levet, René Massé