Tanzanie : une étude sur une entreprise de vente et d’installation de panneaux solaires photovoltaïques

Ce document est une analyse réalisée par le projet Escale Responsable sur Zara Solaire, une entreprise tanzanienne de vente et d’installation de panneaux solaires photovoltaïques : impacts de l’activité, modèle économique, etc.

« Zara Solar – Étude de cas détaillée »

projet Escale Responsable

25 pages

mars 2010

SOMMAIRE

- Quelques éléments de contexte sur la Tanzanie

- Section 1 : l’entrepreneur

Biographie

Traits de caractère

- Section 2 : le modèle économique

Les besoins et le marché

Les produits

La stratégie

Facteurs clefs de succès externes

Les clients/ populations bénéficiaires

Cartographie des parties prenantes

Financement

Gestion des ressources humaines

- Section 3 : impact social et environnemental

Impact social

Impact environnemental

- Section 4 : besoins et pistes de collaboration avec d’autres acteurs

Capacité à changer d’échelle

Pistes de collaboration avec d’autres acteurs

- Section 5 : point de vue d’Escale Responsable

Positionnement sur le « chemin du changement d’échelle »

Analyse synthétique

Analyse SWOT


Source : Le site d’Escale Responsable.

Xavier Dufail

Centrafrique : présentations d’un atelier d’échanges sur le thème « Outils, Méthodes et Techniques pour la cartographie des villages à électrifier »

Ces documents ont été présentés lors de l’atelier « Outils, Méthodes et Techniques pour la cartographie des villages à électrifier et la mobilisation additionnelles pour la mise en œuvre du PTA-Energie avec l’appui du PNUD–RCA » qui s’est tenu les 8 et 9 juillet 2010 à Bangui (République Centrafricaine).

« Gestion de projet »

Aline Malibangar (PNUD)

68 pages

« Gestion axée sur les résultats »
Maxime Mbringa Takama (PNUD)

29 pages

« Outils de planification »

Privat Patrick Ngaye-Yankoisset (Ministère de l’Énergie)

19 pages

« Synthèse du rapport d’étude d’électrification par énergie solaire de sept villages de la RCA »
Rigobert Gbazi (Expert en énergie solaire)

34 pages

« la Plateforme Multifonctionnelle de Paoua »

Davide Stefanini (DRC-Paoua)

30 pages

Cet atelier a réuni environ une quarantaine d’experts venus des différents Départements Ministériels, Associations et les ONG. Il visait à renforcer les capacités des principaux acteurs et bénéficiaires en vue de consolider les acquis et établir une cartographie des villages à électrifier avec des critères et priorités pouvant guider les choix définitifs en vue de rechercher les ressources nécessaires pour atteindre les objectifs escomptés.

Le premier exposé, présenté par Mme Aline Malibangar, était axé sur la gestion de projet. Dans son exposé l’oratrice a expliqué aux participants que la gestion de projet est une réflexion à la base. Elle a poursuivi en disant qu’il existe au sein des Départements ministériels des projets. De façon générale, il n’y a que 20% seulement des projets qui atteignent les objectifs initiaux. Les raisons de cette contreperformance s’expliquent par plusieurs facteurs parmi lesquels on peut retenir :

- Le manque de business solide ;
- Le manque de compréhension des produits finaux ou des produits livrables attendus ;
- Le manque d’une bonne structure de gestion avec les rôles et des responsabilités clairement définis
- L’incapacité de planifier, faire le suivi et de contrôler les activités qui composent le projet
- L’incapacité de communiquer les plans et les progrès par rapport à ces projets à toutes les parties prenantes du projet ;
- Le manque de systèmes inadéquats pour la gestion des risques, des changements et de la qualité.

La méthode, les procédures, les techniques ainsi que les outils ont été présentés et discutés. Un exercice sur les services énergétiques pro-pauvres a clos cette présentation.

Le deuxième exposé, fait par M. Maxime Mbringa Takama, a mis en exergue une application d’outils de gestion de projet dénommé le « Prince 2 » qui est un véritable outil moderne de gestion. Ce dernier a convié les participants à s’approprier ce précieux outil pour la réussite de leur projet. Aussi, un projet comporte un certain nombre de principes clés qu’il faut maitriser, à savoir les processus, les composantes et les techniques. C’est donc la gestion d’un projet dans un environnement contrôlé. Quelques questions relatives à la non-réussite des projets ont été posées, lesquelles ont fait l’objet des réponses suivies des débats très enrichissants. Il ressort des réponses des intervenants que la non-réussite des projets résulte du fait que l’ensemble des projets sont hors normes et ne respectent pas les processus.

Dans la journée du 9 juillet, la poursuite des exposés a débuté par celui de M. Privat Patrick Ngaye Yankoisset, Directeur Général de l’Énergie sur les outils de planification. Ce dernier a présenté l’outil de planification à savoir le logiciel Géosim ,développé par la société Innovation Énergie Développement (IED) en France.

Le second exposé a été fait par M. Rigobert Gbazi, Chef de service des Hydrocarbures et de l’Exploration Pétrolière, Expert en Énergie Solaire, sur la synthèse du rapport d’étude d’électrification par énergie solaire de sept villages de la RCA. Un rappel des activités menées dans le cadre du Plan de Travail Annuel (PTA) Énergie de 2008 à 2009, ainsi que le rapport d’études, ont été présentés.

Le troisième exposé est celui de Mademoiselle Natacha Liliane Bogon, Responsable de la Plateforme multifonctionnelle à la DRC-Paoua, sur la Présentation de l’expérience pilote du Conseil Danois pour les Réfugiés dans l’Ouham Pendé : la Plateforme Multifonctionnelle de Paoua. La pauvreté énergétique, le système énergétique des femmes en milieu rural, énergie et le genre, les services énergétiques et les plates formes multifonctionnelles en Afrique subsaharienne ont constitué la substance de sa présentation.

Rigobert Gbazi

Overview of Slum Electrification (Global vs. African Experience)

L’objectif de cette présentation est d’analyser la problématique de l’accès à l’électricité dans les bidonvilles des pays en développement, en comparant différentes approches et enjeux en Afrique et dans d’autres régions.

L’auteur analyse successivement les raisons qui militent en faveur d’une intervention pour les plus pauvres, les technologies expérimentées au Maroc, Philippines, Inde, Brésil, Colombie, Afrique du Sud… qu’il s’agisse de types de compteurs, de prépaiment, de câbles coaxial… ou encore de pratique pour améliorer la sécurité.

Elle étudie ensuite les grandes différences entre les approches constatées en Afrique et dans d’autres pays en développement. Elle s’attarde sur les avantages du prépaiement, davantage développé en Afrique qu’ailleurs, en prenant le cas du Mozambique comme illustration.

En conclusion, elle propose les éléments clés pour réussir un projet d’électrification d’un bidonville.

« Overview of Slum Electrification (Global vs. African Experience) »

Connie Smyser, from UN Habitat, Presented at « Promoting Energy Access for the Urban Poor in Africa : Approaches and Challenges in Slum Electrification », Nairobi, Kenya, October 26-27, 2009

Stratégie énergétique de la Banque mondiale : premier document de travail

Ce document fournit les orientations pour les consultations du Groupe de la Banque mondiale visant à élaborer une stratégie pour le secteur énergétique, qui doit être présentée au Conseil des Administrateurs du Groupe au début de l’année 2011. Les consultations s’achèveront à la fin mai 2010 et la stratégie sera élaborée en tenant compte des observations formulées sur CE document.

Cet important document de travail, analytique et prospectif, est structuré en sept paragraphes et cinq annexes :

1. Contexte : sont développé les principaux points suivants :

  • Les ressources énergétiques jouent un rôle crucial dans le développement économique et la réduction de la pauvreté ;
  • De nombreux pays en développement, en particulier en Afrique subsaharienne et en Afrique du Sud, souffrent de l’insuffisance et du manque de fiabilité des ressources en électricité ;
  • L’un des principaux défis à relever dans la plupart des pays en développement (PED) est d’assurer un approvisionnement en électricité plus fiable et à la hauteur des besoins, tout en permettant à l’ensemble de la population d’avoir financièrement accès à des services énergétiques modernes ;
  • Une croissance économique soutenue – essentielle pour faire reculer la pauvreté – et la hausse de la demande énergétique qui s’en suivra, auront des répercussions à l’échelle mondiale ;
  • Pour répondre aux besoins énergétiques des PED et enrayer le réchauffement de la planète, il faudra mener une action mondiale concertée.

2. Évolution récente et perspectives : l’analyse met l’accent sur :

  • De nombreux pays en développement, notamment ceux où l’accès à l’électricité est limité, souffrent d’une pénurie d’électricité ou en souffriront dans les années à venir ;
  • Si la tendance actuelle se poursuit, moins de la moitié des pays d’Afrique subsaharienne parviendront à assurer l’accès universelle à l’électricité d’ici 2050 et, malgré le nombre grandissant de raccordements, celui des personnes sans électricité continuera d’augmenter jusqu’en 2030 ;
  • L’urbanisation rapide des PED aura un impact sur l’action menée pour élargir l’accès à l’électricité ;
  • La hausse des prix du pétrole entre 2004 et 2008 a clairement montré l’importance de diversifier le portefeuille énergétique, de s’employer résolument à améliorer l’efficacité énergétique et de mieux s’armer pour faire face à la forte instabilité des prix de l’énergie et aux crises futures ;
  • L’ampleur et la durée de la crise financière auront une incidence sur les futurs approvisionnements en énergie et sur la maitrise de la consommation énergétique ;
  • Une nouvelle architecture financière se dessine pour faciliter l’atténuation des changements climatiques et l’adaptation à ses effets L’environnement extérieur a beaucoup changé avec une profonde incidence sur le secteur de l’énergie.

3. Stratégie énergétique du Groupe de la Banque mondiale et performance des dernières années : la stratégie énergétique actuellement poursuivie par le Groupe de la Banque mondiale comprend :

  • La stratégie environnementale adoptée en 1999, énoncée dans le document Fuel for Thought, dénoncée comme la stratégie FFT ;
  • Une stratégie qui a fait l’objet d’une note informelle publiée en 2001 sous le titre « The World Bank Group’s energy program : poverty alleviation, sustainability, and selectivity » : elle définit un programme énergétique qui s’articule autour de trois axes : réduction de la pauvreté, durabilité et sélectivité.Ce paragraphe présente ces stratégies et analyse les résultats de leur mise en œuvre.

4. Objectifs et approche : La stratégie proposée pour le secteur énergétique définira les moyens d’aider les PED à atteindre un double objectif :

  • Améliorer l’accès à l’énergie et la fiabilité de l’approvisionnement,
  • Faciliter l’évolution vers un modèle de mise en valeur de l’énergie écologiquement viable.

Pour les atteindre, le document propose de poursuivre deux axes stratégiques jugés essentiels pour créer un secteur énergétique fiable, efficace et durable : Améliorer le fonctionnement et les résultats financiers du secteur, et renforcer la gouvernance pour accroître la contribution de l’énergie au développement économique durable.

5. Portée : vue l’importance de l’énergie dans tous les secteurs de l’économie, la stratégie énergétique du Groupe de la Banque mondiale doit être bien coordonnée avec celle des autres secteurs. Elle s’appuiera sur les initiatives et stratégies régionales existantes ainsi que sur les stratégies et plans d’activité sous-sectoriels récemment adoptés.

6. Domaines d’intervention envisagés : le document analyse onze domaines où une intervention du Groupe de la Banque mondiale est envisagée et défini une méthodologie de mise en œuvre.

7. Étapes de l’élaboration de la stratégie : les différentes étapes sont décrites, y compris une phase de consultations externes.

Les quinze dernières pages du document sont consacrées à la présentation de cinq annexes.

« Stratégie énergétique du Groupe Banque mondiale. Synthèse sectorielle. « 

Réseau du développement durable, Banque mondiale, Octobre 2009, 39 pages

 

Étude : modèles d’entreprise d’électrification dans le monde

Ce document (en anglais) décrit différents modèles économiques utilisés pour l’accès à l’énergie, et détaille leurs avantages et difficultés.

Malgré plus d’un siècle d’investissements dans les systèmes énergétiques, il y a environ 1,6 milliards de personnes qui n’ont pas accès à un service d’électricité, principalement dans les zones rurales. Bien qu’il existe quelques questions ouvertes concernant la cause exacte et l’effet des relations entre l’électrification rurale et le bien-être humain, fournir de l’électricité à tous est généralement considéré comme une des grandes priorités sociales, économiques et politiques.

L’électrification rurale est une tâche difficile parce qu’elle implique la prestation d’un service à des populations qui sont éloignées et dispersées et dont la consommation est faible. Cela signifie qu’il est généralement plus coûteux, alors que dans le même temps la clientèle est généralement plus pauvre et moins en mesure de payer le coût intégral du service. Combiner ces facteurs avec les services publics qui sont souvent mal gérés et dont les moyens financiers sont limités, et il est souvent impossible de s’attendre à l’extension du réseau aux populations rurales non desservies dans un proche avenir. Ces conditions sont également une frein pour le développement de nouveaux marchés technologiques en énergie renouvelable.

Ce document examine le rôle que joue l’électricité dans le processus de développement et son importance dans les zones rurales ; la lutte entre des solutions centralisées et distribuées et leur compétitivité relative ; l’expérience et les recherches antérieures sur la production distribuée et quels modèles d’entreprise réussissent avec succès ; et les leçons plus générales qui peuvent être extraites de l’ouvrage.

« Program on Energy and Sustainable Development Working Paper #63 »

Hisham Zerriffi – Stanford University, September 2007, 45 pages (document en anglais)

Chine : histoire de l’électrification rurale

La Chine a réussi l’électrification de tout son territoire rural dans la deuxième moitié du XXème siècle. Ce rapport détaillé expose les évolutions institutionnelles et les réformes importantes qui ont permis ce résultat, notamment en mobilisant les capacités d’investissement nécessaires au développement de l’électrification rurale.

Trois changements institutionnels majeurs ont été décidés par le gouvernement central : lorsque la République Populaire de Chine a été fondée en 1949, le pays ne disposait ni les ressources financières, ni la technologie et l’expertise professionnelle pour promouvoir l’électricité rurale. Il a alors été décidé de créer une administration indépendante de celle qui était responsable de l’électrification urbaine. De 1949 à 1977, la Chine a mis en place une Administration centrale de l’électrification rurale ayant une responsabilité globale (verticale) sur toutes les activités à initier, suivant un calendrier bien établi.

A la fin des années 70, dans le cadre des réformes économiques, le gouvernement délégua aux gouvernements locaux la gestion des systèmes électriques.

La centralisation des activités de planification et de réalisation du programme d’électrification rurale au sein d’une administration spécifique s’est ainsi révélée être la façon la plus efficace de réussir l’électrification rurale du pays.

De 1988 à 202, le Gouvernement central a retiré aux Gouvernements locaux la gestion des systèmes d’approvisionnement local en électricité pour ouvrir le marché à des opérateurs commerciaux.

Depuis 2002, l’électrification rurale a rejoint l’électrification urbaine pour former une administration nationale intégrée de l’électricité en Chine.

« Rural Electrification in China : History and Institution »

China & World Economy / 71 – 84, Vol. 14, N°. 1, 2006, Wuyuan Peng, Jiahahua Pan, 14 pages, 2006

 

Afrique du Sud : étude d’impact de la gratuité des 50 premiers kWh

Instaurée en 2004, la subvention « Free Basic Electricity Subsidy » couvre les premiers 50 kWh consommés chaque mois par tous les ménages sud africains. Ce rapport compare les demandes d’électricité domestique dans deux villages, avant et après l’instauration de cette subvention et analyse l’évolution des consommations. L’équipe d’experts utilise les données d’une base nationale des consommations et celles qu’ils ont recueillies par enquête socio-économique.

Les résultats sont contrastés : dans une des localités, depuis l’instauration du FBE, les consommations ont augmenté en moyenne de 21,85 kWh par mois, tandis que l’augmentation reste insignifiante dans l’autre. L’augmentation constatée dans le premier village est à rapprocher de l’augmentation de l’utilisation de fourneaux électriques. Les auteurs ont démontré que la consommation d’électricité est corrélée étroitement au pouvoir d’achat et à l’usage ou non de fourneaux électriques.

Pour plus d’information : Visiter le site (en anglais) du « Program of Energy and Sustainable Development »

« The Impact of Free Basic Electricity on the Energy Choices of Low Income Households : A Case Study in South Africa »

Stephen Davis, Alison Hughes, Kate Louw, PESD Working Paper #80, 18 pages, Août 2008

Brésil : électrification rurale décentralisée

Cet article présente les résultats d’une étude de cas au Brésil, issue d’une étude plus large réalisée sur trois pays. Il montre que quelques différences dans les Plans d’affaires et dans l’environnement institutionnel peuvent entrainer la réussite ou l’échec de programmes d’électrification rurale. Elles conditionnent aussi la contribution de l’électrification au développement local.

« From Acai to Access : Distributed Electrification in Rural Brazil »

Hisham Zerriffi – Stanford University, publié par International Journal of Energy Sector, Vol. 2 no. 1, 27 pages, 2008.

Cameroun : contribution de l’énergie à la réduction de la pauvreté en milieu rural

L’objectif de cette étude est d’analyser la relation énergie et pauvreté en milieu rural au Cameroun.

La méthode mise en œuvre a consisté en premier lieu à une analyse statistique qui a conduit à l’observation des taux d’accès aux sources d’énergie prises en compte dans l’étude : bois de feu, électricité, gaz domestique et pétrole lampant. En second lieu, l’analyse économétrique s’est attelée à construire un modèle à équations simultanées, dont l’estimation s’est faite par la méthode des doubles moindres carrés.

Les résultats obtenus ont montré que la pauvreté du ménage, ainsi que la distance séparant le logement du poteau électrique expliquent statistiquement l’accès effectif à l’électricité. Ce qui traduit qu’un ménage pauvre a des possibilités limitées d’avoir effectivement accès à l’électricité. La relation énergie et pauvreté a révélé que l’accès effectif à l’électricité explique la pauvreté en milieu rural, ce qui indique que la pauvreté peut aussi être causée par la faible consommation d’énergie. Toutefois, l’accès effectif est une condition nécessaire au développement des activités génératrices de revenus, mais pas suffisante pour réduire la pauvreté en milieu rural. Cette réduction par le biais de l’accès effectif à l’électricité doit se faire à travers l’amélioration du niveau d’instruction et de l’orientation de celui-ci vers l’enseignement secondaire technique.

« La contribution de l’énergie à la réduction de la pauvreté en milieu rural au Cameroun »

Présentation de Maxime Kamdem, août 2009, 36 pages

 

Cameroun : l’apport de l’énergie dans l’atteinte des OMD

Ce document détaille la contribution des services énergétiques à chaque Objectif du Millénaire pour le Développement.

« L’apport de l’énergie dans l’atteinte des OMD au Cameroun »

Maxime Kamdem Kamdem, Économiste à l’Université de Yaoundé II, Cameroun, mai 2009, 4 pages