Bénin : projet d’amélioration de l’accès à l’énergie moderne

Le Gouvernement de la République du Bénin a obtenu un crédit auprès de l’Association Internationale de Développement (IDA) d’un montant équivalant à quarante sept millions cinq cent mille Droits de Tirages Spéciaux (47 500 000 DTS) soit soixante dix millions de dollars US (70 000 000 USD) pour financer le Projet de Développement de l’Accès à l’énergie Moderne (DAEM).

Le Bénin se propose d’utiliser les fonds pour régler des fournitures, travaux et services devant être acquis dans le cadre de ce projet. Le projet est conjointement financé par Nordic Development Fund (NDF), l’Energy Sector Management Assistance Program (ESMAP), la Banque Européenne d’Investissement (BEI), le Fonds Français de l’Environnement Mondial (FFEM), le Global Environment Facility (GEF) et la KfW.

Le projet comprend les volets suivants :

Volet A : Renforcement du réseau électrique

Construction de lignes d’interconnexion ; assistance technique pour la supervision des travaux d’interconnexion ; réhabilitation et renforcement du réseau de distribution électrique de la Société Béninoise d’Énergie Électrique dans les principaux centres urbains du Bénin ; amélioration de l’efficacité énergétique de l’éclairage et des appareils dans les centres urbains pour les ménages qui ont déjà accès à l’électricité.

Volet B : Électrification et Services d’Énergie Moderne

Accroissement de l’accès à l’électricité en milieu rural par : l’élaboration d’un mécanisme institutionnel durable pour appuyer l’électrification rurale, la mise en œuvre d’au moins quatre (04) petites opérations pilotes d’électrification rurale ;

Modernisation de l’énergie de biomasse par : la promotion de systèmes d’approvisionnement communautaire durable en bois de chauffe, la promotion de l’efficacité de l’énergie de biomasse et la substitution au gaz butane à travers des systèmes et programmes appropriés, la promotion de la fourniture de services de développement rural de proximité et des activités participatives dans les zones bénéficiaires du projet.

Volet C : Services d’Énergie Durables

Cette composante vise l’assistance technique à : la Communauté Electrique du Bénin (CEB) ; la Société Béninoise d’Énergie Électrique (SBEE) ; la Direction Générale de l’Energie (DGE) ; l’Agence Béninoise pour l’Environnement (ABE).


Source : Devex.com.

Xavier Dufail

L’électricité au cœur des défis africains

Manuel sur l’électrification en Afrique – Auteur Christine Heuraux

Avec 15% de la population mondiale, l’Afrique représente à peine 3% de la consommation mondiale d’électricité. Le taux d’électrification moyen du continent atteint 40% de la population, mais à peine 23% en zones rurales. Plus inquiétant, en 2030 la moitié de la population mondiale sans électricité vivra en Afrique subsaharienne.

Et pourtant, depuis le début du nouveau millénaire, l’Afrique génère une croissance annuelle de 5% de son PIB, soit deux fois celle de l’Europe. Pour répondre aux besoins de cette croissance et rattraper les retards cumulés au cours de la dernière décennie, il faudrait investir annuellement dans le secteur électrique africain 40 milliards de dollars pendant 10 ans – or ces investissements n’atteignent que 11 milliards de dollars.

Partant de ces constats sans appel, cet ouvrage, qui se veut à la fois concret et pratique, se propose de synthétiser les informations essentielles relatives au secteur de l’électricité en Afrique ; de les rendre accessibles et compréhensibles en faisant ressortir les enjeux et en restituant les problématiques dans leur contexte à la fois local et mondial. Il livre des données validées, aussi actuelles que possible, et les rend facilement accessibles notamment à travers plus de 100 cartes, tableaux et graphiques.

Il décrit aussi une expérience inédite, directement issue du terrain dans trois pays représentatifs (le Maroc, le Mali, l’Afrique du Sud) en retraçant l’histoire et les résultats des Sociétés de Services Décentralisés. Cette initiative, lancée par EDF et plusieurs partenaires depuis plus de dix ans au service de l’électrification rurale en Afrique, vise à créer un modèle de société durable – dans ses trois dimensions sociale, économique et environnementale – pour accélérer le processus d’électrification des zones rurales des pays en développement, non desservies par les compagnies nationales d’électricité.

Pour être encourageant, ce modèle n’a pas encore livré la clé d’une réussite infaillible et reste expérimental, mais les leçons qui en sont issues méritent d’être partagées avec l’ensemble des acteurs qui s’intéressent à ces problématiques de développement.

Ce « manuel de l’électrification en Afrique » est conçu pour s’adresser à une large palette de lecteurs, spécialistes ou non de l’Afrique, de l’électricité et du développement.

Parution début juin 2010 – 404 pages – Prix de vente : 36€. Editions Karthala

Présentation du livre sur le site de l’éditeur

Christine HEURAUX est diplômée de l’Ecole Normale Supérieure de Sèvres, agrégée d’allemand, titulaire d’un doctorat de 3ème cycle en littérature allemande. Après avoir débuté sa carrière en 1983 au centre d’Etudes et Recherches de Charbonnages de France elle devient membre du Comité de Direction de l’Institut National de l’Environnement et des Risques qui a succédé au CERCHAR en 1991. Elle entre à la Direction Internationale d’EDF en 1994 et est aujourd’hui Directrice du Pôle Accès à l’Energie. Depuis 2007, ses missions sont ainsi tournées vers les pays en développement pour lesquels elle est en charge de la stratégie, des partenariats et de la communication d’EDF, ce qui lui a ouvert de nouveaux champs de compétences vers l’Afrique.

Laure Ego, GVEP

L’Égypte compte ouvrir sa première centrale à énergie solaire fin 2010

L’Égypte compte mettre en service sa première centrale électrique à énergie solaire d’ici la fin de l’année 2010, a indiqué lundi 14 juin 2010 le ministère égyptien de l’Énergie.

La centrale, d’une capacité de 140 MW, est en cours de finalisation à Kuraymat, au sud du Caire.

Le ministre chargé de l’Énergie a récemment indiqué que l’Égypte s’était fixé pour objectif de produire environ 20% de besoins en énergie à partir de sources renouvelables d’ici 2020.

L’Égypte est déjà le 21ème pays producteur d’énergie éolienne dans le monde, et le premier au Moyen-Orient, avec 520 MW installés.

Le pays produit en outre quelque 700 000 barils de pétrole/jour et dispose de plus de quatre milliards de barils de réserves. La croissance économique et démographique soutenue en Égypte pourrait toutefois en faire un importateur net de pétrole dans les prochaines années.


Source : GoodPlanet.

Xavier Dufail

Sénégal : salon ENERBATIM 2011

La deuxième édition du Salon International des Energies Renouvelables et du Bâtiment ENERBATIM en Afrique se tiendra du 6 au 9 avril 2011 au CICES (Dakar).

Ce salon aura comme principal but de présenter les énergies Renouvelables comme meilleure alternative pour le développement durable. ENERBATIM souhaite se positionner comme la vitrine Africaine des découvertes de nouveautés, d’innovations des tendances du bâtiment et de l’efficacité énergétique mais aussi de générateurs d’affaires et de rencontres.

Contact :

ENERBATIM

Pointe des almadies
BP 5585 Dakar
Sénégal

Téléphone Mobile : 77 332 05 10
Email : enerbatim1@gmail.com


Source : le site Web d’ENERBATIM.

Xavier Dufail

Accord entre le Pool d’énergie ouest-africain et la BEI

Le président de la BEI (Banque Européenne d’Investissement) se félicite de la seconde révision de l’Accord de Cotonou et signe avec le Pool d’énergie ouest-africain un accord d’assistance technique en faveur d’un projet dans le secteur libérien de l’énergie.

L’Union européenne et 79 pays d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (ACP) ont signé, le 22 juin à Ouagadougou, la seconde révision de l’Accord de partenariat ACP-UE, dit « Accord de Cotonou ». Cette révision permettra notamment à la Banque européenne d’investissement d’accroître ses financements à l’appui de projets d’infrastructure régionaux, aux côtés de promoteurs des pays ACP, et de soutenir les efforts déployés par des intermédiaires sud-africains pour parvenir à une meilleure intégration économique régionale via des projets situés dans le reste de l’Afrique sub-saharienne.

À l’occasion du Conseil des ministres ACP-UE, M. Philippe Maystadt, président de la BEI, a réaffirmé la détermination de la Banque à participer activement au financement de projets de lutte contre les changements climatiques dans les pays en développement et a proposé de lancer une initiative européenne dans ce domaine, conjointement avec la Commission européenne et les États membres de l’UE.

Parallèlement à sa participation au Conseil des ministres ACP-UE, M. Maystadt a signé un accord d’assistance technique avec M. Amadou Diallo, secrétaire général du Pool d’énergie ouest-africain (WAPP), pour la préparation du projet de réfection de la centrale hydroélectrique de Mount Coffee. La cérémonie de cette signature s’est déroulée en présence de M. Andris Piebalgs, commissaire européen au développement, de M. Eugene Shannon, ministre libérien des terres, des mines et de l’énergie, et de M. Joseph Mayah, directeur général de la compagnie d’électricité du Liberia. La mise en œuvre du projet de réfection de la centrale hydroélectrique de Mount Coffee permettra au Liberia de répondre à ses propres besoins en électricité, mais aussi à ceux de la sous-région, au travers du réseau interconnecté du WAPP. Dans son ensemble, le projet contribuera au développement économique, à la réduction de la pauvreté et à l’accroissement des échanges au Liberia, pays qui se relève de la guerre civile. Ce programme d’assistance de 1,5 million d’EUR sera financé par le Fonds fiduciaire UE-Afrique pour les infrastructures, qui est géré par la BEI (voir le site www.eu-africa-infrastructure-tf.net).


Source : Organisation de la presse africaine.

Xavier Dufail

Kenya : crédit de la Banque mondiale pour l’approvisionnement en électricité

La Banque mondiale a approuvé le 27 mai 2010 un projet ayant pour but d’accroître l’approvisionnement en électricité du Kenya en termes de capacité, de rendement et de qualité, et d’élargir l’accès à l’électricité dans ses zones urbaines, périurbaines et rurales. Un crédit de 330 millions de dollars EU a été décidé pour ce projet.

Les objectifs de ce projet d’extension de l’électricité pour le Kenya sont les suivants :

(a) accroître la capacité, l’efficacité et la qualité de l’approvisionnement en électricité,

(b) élargir l’accès à l’électricité dans les zones urbaines, péri-urbaines et zones rurales.

Il y a quatre composantes dans ce projet :

- la première composante concerne la production d’énergie géothermique. Cette composante financera la construction de 280 MW de capacité de production géothermique, comprenant : (i) l’expansion de la capacité de la station existante Olkaria de 140 MW, (ii) une nouvelle centrale électrique, d’une capacité de 140 MW, et (iii) la connexion des puits de vapeur pour les deux centrales électriques et les installations connexes pour transmettre la puissance au réseau national. Cette composante financera également des services de consultation pour la conception et la supervision, et l’installation de la construction des infrastructures et des installations nécessaires pour faire fonctionner les usines.

- la deuxième composante concerne la transmission. Ce volet consiste à construire des lignes de transmission 132 kV ainsi que des stations de connexion de ces lignes au réseau de distribution.

- la troisième composante concerne la distribution. Ce volet comprendra quatre sous-composantes qui viendront appuyer le déploiement et la modernisation du réseau de distribution ainsi que la connexion de 300000 clients supplémentaires au cours de la période de 2011-2016.

- la quatrième composante est le développement du secteur institutionnel et le soutien opérationnel.

Contact médias :

Herbert Boh

(202) 473-3548

hboh@worldbank.org


Source : Banque mondiale.

Xavier Dufail

Tunisie : une nouvelle unité de valorisation énergétique des déchets organiques

L’unité de valorisation énergétique des déchets organiques, inaugurée le 10 juin 2010 par le Président tunisien, s’insère dans le cadre de la politique nationale visant la consolidation des dispositifs de gestion des déchets, la diversification des sources d’énergie et la lutte contre la pollution.

Le coût total du projet, d’une capacité de production estimée à 2,4 gigawattheures (GWh) par an, s’élève à 2,132 millions de dinars.

L’énergie électrique produite par l’unité couvrira 29% des besoins énergétiques de la Société tunisienne des marchés de gros (Sotumag), soit une économie d’énergie annuelle de 380785 kWh, soit 108 tonnes d’équivalent pétrole.
En effet, la Sotumag génère, chaque jour, 25 tonnes de déchets organiques sur son site. Afin de valoriser énergétiquement ces déchets, une unité de production de biogaz (à travers la fermentation des déchets organiques) sera exploitée pour la production de l’électricité et de l’énergie thermique.

Le volume du biogaz produit par jour est de l’ordre de 1800 m3 avec une teneur en méthane de 60%, en utilisant une unité de méthanisation de volume total de 1200 m3.
Ce projet permettra, aussi, d’extraire de l’engrais organique qui sera utilisé dans l’agriculture biologique. Il assurera une économie au niveau des frais de transport des déchets vers la décharge ainsi que sur la facture d’électricité. Il contribuera, également, à créer des postes d’emploi supplémentaires dans les opérations de tri, de collecte, de transport et de traitement des déchets organiques.

Le biogaz produit sera transformé en énergie électrique et calorifique, et ce, moyennant une unité de cogénération d’une puissance égale à 130 kW, avec un rendement électrique de 34% et un rendement thermique de 52%.

Par ailleurs, la Sotumag pourra bénéficier d’une subvention totale de 170.000 dinars de la part du Fonds national de maîtrise de l’énergie (Fnme) au titre de son unité de valorisation énergétique des déchets.

Source : La Presse de Tunisie.

Xavier Dufail

Équateur : la Chine accorde un crédit pour une centrale électrique

La banque chinoise Exim bank a accordé un crédit de plus d’1,5 milliard de dollars à l’Équateur pour la construction d’une centrale hydro-électrique, a annoncé le 3 juin 2010 le ministère équatorien des Secteurs stratégiques.

L’accord a été scellé le 2 juin à Pékin pour un montant de 1,683 milliard de dollars.

Le prêt servira à financer la construction de la centrale Coca Codo Sinclaire (CCS), qui sera la principale d’Équateur avec une puissance d’1 500 MW et une production de 8 600 GWh par an d’énergie électrique.

L’Équateur et la Chine avaient repris fin avril leurs négociations sur la centrale, un mois après leur annulation par le gouvernement de Quito qui avait jugé inacceptables les conditions posées par Exim bank.

La construction de la centrale nécessite un investissement de deux milliards de dollars, pour lequel une entreprise chinoise est candidate, Sinohydro.


Source : Romandie news.

Xavier Dufail

Sénégal : quatre programmes unissent leurs forces pour le développement local de l’énergie

Quatre programmes de développement, le Programme national de développement local (Pndl), Enda Energie, le Programme National de Plates formes Multifonctionnelles pour la réduction de la pauvreté et du Programme National de Biogaz, vont mettre en exergue leur dimension énergétique pour la promotion économique et sociale des populations de Kaolack, Kaffrine Fatick, Thiès et Diourbel.

Le partenariat entre ces structures a été signé le 4 juin 2010.

Ce partenariat va permettre ainsi d’initier une coalition locale pour la promotion des services à haut potentiel énergétique dans les collectivités locales. Ce qui constitue un engagement solidaire de plusieurs structures intervenant en milieu rural sénégalais.

Pour définir les modalités pratiques d’interventions au profit des collectivités locales, ces quatre acteurs vont unir leurs efforts pour promouvoir le développement économique et social par l’intégration des dimensions telles que l’énergie, le Genre et les changements climatiques dans les actions de développement local, notamment au niveau de la planification locale, le renforcement des capacités et les actions de communication. Chacun des programmes présente, dans une de ses composantes, des missions spécifiques devant répondre aux préoccupations d’ordre énergétique.

Selon le Secrétaire exécutif du Pndl, définir un cadre stratégique devant assister les collectivités locales dans le processus d’intégration de la dimension énergétique dans la priorisation des besoins essentiels devra être considérée par tous comme une nécessité. « Le principe de multi sectorialité prônée par le Pndl impose une démarche de partage et une mutualisation de nos approches. En décidant de passer par des documents validés de part et d’autre, nos différentes structures améliorent le niveau d’harmonisation ». Il ne doute pas aussi que les bonnes intentions annoncées par les différentes structures se concrétisent. Ainsi, ils comptent tous contribuer positivement à l’avènement d’une conscience plus affirmées dans les entités territoriales que sont les collectivités locales, avec des élus locaux plus engagés dans la prise en compte optimale des préoccupations énergétiques.

Selon tous les acteurs de ce partenariat, en termes de développement rural et de réduction de la pauvreté, le cloisonnement sectoriel a longtemps limité les impacts des différents modèles développés en matière de promotion énergétique.


Source : Le Soleil.

Xavier Dufail

Support aux agences d’électrification rurale et MDP

Ces documents restituent les échanges de l’atelier « Support aux agences d’électrification rurale et MDP », qui s’est déroulé du 16 au 20 juin 2009 à Dakar (Sénégal).

La documentation de cet atelier, listée ci-dessous, est directement téléchargeable sur la page Web de l’atelier.

L’atelier d’action/formation « support aux agences d’électrification rurale et Mécanisme de Développement Propre » était organisé, sous l’égide de l’Agence Sénégalaise d’Electrification Rurale (ASER), par le Word Bank Institute (WBI) et le CEFEB dans le cadre du programme de renforcement de capacité Carbon Finance Africa Assist, cofinancé par le FFEM.

  • Compte-rendu Atelier Dakar 2009 Agenda Final Dakar 2009
  • Session 1
    • Introduction Générale au Mécanisme pour un Développement Propre (MDP)
  • Session 2
    • Scénario de Référence et Activité de Projet
    • Exercice – Énoncé et solutions
    • Quiz énoncé
    • Solutions quiz : Scénario de référence et activité du projet
  • Session 3
    • Développement Durable & Spécificités du “Gold Standard” et du “Voluntary Carbon Standard”
    • Électrification Rurale – Exercice en Groupe – Données
    • Électrification Rurale – Exercice en Groupe – Solutions
  • Session 4
    • Diagramme Additionalite
    • Électrification rurale – Étude de cas
    • Électrification rurale – Exercice et solution
    • Électrification rurale – Exercice et solution
    • Électrification rurale – Outils de démonstration d’additionalité
  • Session 5
    • Quantification des Réductions d’Émission
    • Électrification rurale – Exercice et solutions
  • Session 6
    • Spécificités des projets dispersés
    • Projets dispersés – Exercice et solutions
  • Session 7
    • Comment structurer des projets carbone dispersés ?
    • Structurer un projet dispersé – Exercice et solutions
  • Session 8
    • Mesures d’efficacité énergétique dans les foyers ruraux
    • Quizz
  • Session 9
    • Production d’Énergie en site Isolé
  • Session 10
    • Élargissement du réseau
  • Session 11
    • Comment Réaliser un Projet MDP ?
    • Électrification rurale – Exercice et solutions
  • Session 12
    • Perspectives des Marchés Carbone
  • Session 13
    • Travail de groupe : Électrification rurale connectée au réseau
    • Travail de groupe : Électrification rurale d’un site isolé
    • Solutions : Électrification rurale connectée au réseau
    • Solutions travaux pratiques : Électrification rurale connectée au réseau
    • Solutions : Électrification rurale d’un site isolé

Source : AFD.

Xavier Dufail