L’énergie et l’eau au Congo

Présentation du secteur de l’énergie et de l’eau au Congo, faite par le Ministre M. Itoua au Forum EURAFRIC-Partners, tenu à Lyon du 23 au 26 octobre 2007.

Présentation Powerpoint par Monsieur le ministre de l’Energie du Congo
36 pages
Octobre 2007 à Lyon, France

Cette présentation expose des extraits du code de l’eau et du code de l’électricité, le nouvel organigramme des acteurs décisionnels des filières eau et énergie, ainsi qu’une liste de sites identifiés de son pays, valorisables en hydroélectricité.

Pépin Tchouate

Algérie : Pose de la première pierre d’une centrale hybride gaz-solaire

Le ministre algérien de l’Energie, M. Chakib Khalil, a posé la première pierre d’une centrale hybride utilisant le soleil et le gaz naturel pour produire 180 MGW d’énergie électrique dans la zone gazière de Hassi R’mel (Sahara).

Renforcement des capacités de production d’électricité en Algérie

Ce projet est le premier à l’échelle mondiale combinant turbines à gaz et énergie solaire, a indiqué le ministre. L’énergie solaire est destinée à terme à se substituer au gaz, a-t-il dit. Il a insisté sur la nécessité d’utiliser l’énergie solaire pour remplacer les énergies fossiles polluantes, non-renouvelables et en voie d’épuisement.

La centrale fait partie d’un programme de quatre unités hybrides dont la construction est prévue en Algérie.

Elle s’étendra sur une superficie de 152 ha et utilisera des miroirs géants paraboliques sur une superficie de 18 ha avec des panneaux solaires de 100 m pour générer du courant. Elle doit démarrer en 2010 et pourra à terme permettre l’exportation de l’électricité vers l’Europe.

La centrale comporte en annexe une technopole pour étudier les moyens de réduire les coûts de l’énergie solaire.

Sa réalisation a été confiée à la société espagnole « Abengeo Business Group », spécialisée dans les énergies renouvelables.


Source : article publié sur le site Romandie News le 4 novembre 2007.

Elhadji SYLLA, ASER, René Massé

Maroc : la Banque Islamique de Développement accorde un prêt important pour une nouvelle centrale à turbines à gaz

La Banque Islamique de Développement (BID) vient d’accorder un prêt de 1,5 milliard de dirhams (environ 137 millions d’euros), à l’Office national de l’électricité (ONE) du Maroc pour la construction d’une centrale à turbines à gaz de 300 MW à Mohammedia.

La BID et l’ONE renforcent ainsi leur partenariat stratégique avec la volonté de s’impliquer davantage sur les marchés internationaux.

Ce projet fait partie du plan d’urgence lancé par l’ONE en 2006 pour faire face à la croissance rapide de la demande nationale en électricité, a indiqué l’ONE dans un communiqué, ajoutant que la mise en service est prévue pour juin 2009.

Après la participation au financement du programme d’électrification rurale (PERG) du Maroc, la BID confirme ainsi son rang de partenaire stratégique de l’ONE.

L’ONE et la BID ont décidé de développer ce partenariat stratégique, en renforçant la participation de la BID dans la politique d’ouverture à l’international de l’ONE.

Source : article diffusé sur le site de Jeune Afrique le 8 Octobre 2007.

Elhadji SYLLA, ASER, Yaya Ly

Guide d’initiation au prépaiement électrique

Ce guide technique propose aux décideurs francophones, une initiation au prépaiement électrique. Edition du Riaed, juin 2007. 26 pages.

C’est en constatant le faible niveau d’information en français sur le prépaiement électrique qu’est née l’idée de ce document, résultat de l’activité de quelques experts francophones regroupés en groupe de travail au sein du portail internet www.riaed.net


Il a été bâti, d’une part, sur des recherches d’informations techniques et commerciales diffusés sur Internet par les fabricants, et d’autre part à partir des connaissances propres des membres du groupe de travail du RIAED ayant participé à ce document : M. Jean-Pierre Mahé, rédacteur ; M. René Massé, France ; M. Alagassou Alassane, Mali ; M. Tidiane Diarra, Mauritanie.

Véritable condensé de ce qu’il faut savoir avant d’initier un projet d’électrification par prépaiement, ce guide analyse successivement :

I. POURQUOI LE PREPAIEMENT ?

1. Le cycle opérationnel du prépaiement

2. Le prépaiement et la trésorerie

3. Le prépaiement et le recouvrement

4. Le prépaiement et la fraude

5. Le prépaiement et la consommation

6. Le prépaiement et la lutte contre la pauvreté

7. Les inconvénients du pré paiement

II. COMMENT FONCTIONNE LE PREPAIEMENT

1. La norme STS

2. Principe de fonctionnement clientèle selon la norme STS

III. LES COMPTEURS

1. Monobloc ou Split

2. L’enregistrement du crédit sur les compteurs.

3. Les compteurs sous norme STS

4. Caractéristiques techniques

IV. GESTION DU PREPAIEMENT

1. Les équipements

2. L’unité de gestion (serveur)

3. Les différentes architectures système

4. Relation entre les unités de vente (UV) / unité de gestion (UG)

5. Les systèmes de vente

5.1. L’achat de coupons au guichet

5.2. La cabine automatique

5.3. La vente par GMS

5.4. La vente par cartes prépayées

Annexes

Annexe 1 : Firmes (que nous remercions) dont les sites Internet ont été consultés pour rédiger ce document

Annexe 2 : Abréviations

Annexe 3 : Informations administratives sur la norme STS

Annexe 4 : Exemples de pays utilisant le prépaiement électrique

Les informations contenues dans ce document sont fournies à titre indicatif, non contractuel et à but non commercial.

Jean-Pierre Mahé

Ghana : signature d’un accord de prêt avec la Chine

Le Ghana a contracté mardi 25 septembre 2007 un crédit de 292 millions de dollars US auprès de la banque d`Import-Export (EXIM) de Chine pour financer la réalisation du projet d`énergie hydroélectrique de Bui, a annoncé la PANA.

Source : article mis en ligne sur le site de Angola Press

« Ce montant représente le premier volet d`une facilité de crédit hybride de 622 millions de dollars US, nécessaire au projet et à d’autres facilités annexes.

C’est le vice-président ghanéen, M. Alhaji Aliu Mahama, qui a présidé la cérémonie de signature de ce prêt, au palais d’Osu Castle. Le document a été paraphé par le Dr Anthony Akoto Osei, secrétaire d`État au ministère des Finances et de la Planification économique, pour le Ghana et M. Li Ruoge, président d’EXIM Bank, au nom de la Chine.

Le second volet de ce programme financier, qui concerne un prêt de 270 millions de dollars US assorti de conditions préférentielles, sera mis à la disposition du Ghana par le gouvernement chinois, agissant par l’intermédiaire d’EXIM-Bank(EN).

Le Ghana sera chargé de mobiliser les 60 millions de dollars US restants pour le projet, qui devrait permettre d’augmenter de 400 mégawatts la capacité de production d’énergie hydroélectrique alimentant le réseau national.

Ce projet, le troisième du genre après ceux d’Akosombo et de Kpong, représente l’une des mesures prises par le gouvernement pour trouver une solution aux problèmes récurrents d’approvisionnement en électricité, qui se traduisent par des délestages. »

René Massé

Vietnam : Alstom signe un contrat de 190 millions d’euros pour équiper la centrale hydroélectrique de Son La

190 millions d’euros ! C’est le montant du contrat signé le 1er octobre 2007 à Paris entre Alstom et le producteur public vietnamien Electricité du Vietnam (EVN), et ce en présence de Martin Bouygues et de François Fillon.

Source : article mis en ligne sur le site Le FIGARO

« Suivant les termes du contrat, Alstom Hydro assurera la fourniture de l’ensemble des équipements électro-mécaniques destinés à la centrale hydroélectrique de Son La, au nord ouest d’Hanoï. Cette centrale est la plus grande d’Asie du sud-est avec une capacité prévue de 2 400 MW. Une fois achevée, elle produira environ 10 milliards de kWh par an, soit une part très significative des besoins en énergie du pays.

Pour ce contrat Alstom Hydro réalisera « la conception, l’ingénierie, la fabrication et la livraison de six turbines Francis de 400 MW chacune et de leurs alternateurs, ainsi que du contrôle-commande et des équipements associés ». Il sera également responsable « de la formation et de la supervision des opérations d’installation, de test et de mise en service, cette dernière devant intervenir entre 2010 et 2012″, selon les termes du communiqué.

Selon Philippe Cochet, le Président d’Alstom Hydro, “la centrale hydroélectrique de Son La est d’une importance essentielle pour répondre aux besoins en énergie du Vietnam…  »

Le groupe n’est pas en terre inconnue au Vietnam : Alstom Hydro a déjà fourni les équipements de cinq centrales hydroélectriques réparties dans différentes régions du Vietnam. »



Voir aussi cet article sur le site de Alstom Hydro.

René Massé

Ghana : la Banque mondiale et le GEF accordent 95,5 millions de dollars pour améliorer le secteur énergétique

La Banque mondiale, le GEF et d’autres partenaires au développement ont décidé d’accorder 210 millions de dollars au secteur énergétique ghanéen pour en améliorer la gestion, l’efficacité, la fiabilité, la viabilité, l’accessibilité du secteur et promouvoir des sources alternatives ciblées.
La création d’une Agence d’électrification rurale est une des activités programmées.

Source : la communiqué de presse n° : 2008/030/AFR de la Banque mondiale.

Le financement du projet

Le 26 juillet 2007, le Conseil d’administration du Groupe de la Banque mondiale et le Fonds pour l’environnement mondial ont approuvé l’attribution d’un financement de 95,5 millions de dollars américains pour le projet Energy Development and Access (Développement énergétique et accès à l’énergie). qui vise à accroître l’accessibilité, l’offre et la fiabilité du réseau électrique au Ghana, où les coupures régulières et l’inaccessibilité du réseau continuent d’entraver la croissance économique.

Le coût total du projet est estimé à 210,55 millions de dollars. Son financement est assuré par :
- > L’Association internationale de développement (IDA) équivalent à 90 millions de dollars aux conditions standards dont une période de maturité de 40 ans et un différé d’amortissement de dix ans ;
- > Le Fonds pour l’environnement mondial qui fait don de 5,5 millions de dollars ;
- > Le Fonds catalytique pour la croissance en Afrique (50 millions de dollars) ;
- > La Banque africaine de développement (18,25 millions) ;
- > Le Partenariat mondial pour l’aide basée sur les résultats (6,25 millions) ;
- > Les intermédiaires financiers ghanéens (7,75 millions) et
- > L’Agence suisse pour le développement et la coopération (11 millions).

Les objectifs du projet

Le principal objectif du Projet est de soutenir les efforts à long terme visant à :

- > Améliorer les performances des compagnies d’électricité ;
- > Accroître le rendement énergétique ;
- > Augmenter l’accès à l’énergie pour réduire les inégalités dues aux déséquilibres entre zones urbaines et rurales ; et
- > Augmenter la capacité de production d’énergie renouvelable.

« La crise énergétique actuelle au Ghana est l’une des entraves majeures à la croissance », a déclaré Paivi Koljonen, Économiste principal de la Banque mondiale et Chef d’équipe du projet. « Il est désormais urgent pour le Ghana d’améliorer la gestion globale du secteur, ainsi que l’accessibilité et la fiabilité de l’offre d’électricité, et c’est ce que ce Projet cherche à réaliser. Il va aussi aider à mettre en place les infrastructures qui permettront de créer de nouvelles opportunités d’affaires et d’accélérer la croissance économique et la création des emplois. »

Pour appuyer la stratégie sectorielle multiforme du Ghana en matière d’énergie, le projet va allouer des financements aux promoteurs d’initiatives de production d’énergie renouvelable — telles que des petites centrales électriques, l’énergie éolienne et à base de biomasse — au profit des communautés qui ne sont pas intégrées dans le principal réseau national de distribution. Il va aussi financer la mise en place d’une Agence indépendante d’électrification rurale qui sera chargée de la coordination de tous les programmes d’électrification rurale. En tout, 134 000 nouveaux usagers dans les villes et les villages seront connectés au réseau national de distribution d’électricité d’ici la fin du projet.

Une composante importante du projet est l’amélioration de la distribution de l’électricité à long terme, et des performances commerciales du secteur. L’on estime que « Plus d’un quart de toute l’électricité produite au Ghana est perdue du fait de défaillances techniques et commerciales et de vols ». À un moment où le Ghana a besoin de chaque unité d’électricité pour alimenter la croissance du pays, ces pertes doivent être réduites.


Appui supplémentaire de la Banque mondiale au secteur énergétique ghanéen : le gazoduc ouest-africain (WAGP) et le pool énergétique ouest-africain (WAPP)

Le gouvernement ghanéen a adopté une stratégie à long terme et un programme d’action à court terme pour améliorer l’offre et la fiabilité énergétiques. La stratégie à long terme concerne l’intégration régionale du système énergétique ghanéen à travers deux grands projets énergétiques multinationaux — le gazoduc ouest-africain (WAGP) et le pool énergétique ouest-africain (WAPP), tous deux financés par la Banque mondiale. À court terme, le gouvernement s’attaque au déficit de capacité énergétique et aux problèmes financiers dans le secteur sur plusieurs fronts, y compris un programme d’investissement d’urgence pour installer la capacité de production d’énergie thermique cette année, des délestages, des mesures de gestion de la demande, et l’augmentation des tarifs d’électricité.

Le gazoduc ouest-africain est en construction et devrait convoyer le gaz nigérian au Ghana en 2008. Ce gaz viendra diversifier le réseau de production hydroélectrique du Ghana par une source d’énergie thermique plus propre et à moindre coût qui aura aussi des effets bénéfiques sur l’environnement. Également, le pool énergétique ouest-africain en instance va accroître le commerce transfrontière d’énergie en Afrique de l’Ouest de deux manières. Premièrement, il va renforcer l’interconnexion des lignes électriques de la Côte d’Ivoire au Togo et au Bénin le long de la côte ghanéenne. Ensuite, il va permettre d’établir de nouvelles interconnexions avec le Ghana pour transférer l’électricité de source gazière et à moindre coût produite le long de la côte ghanéenne vers le nord, au Burkina Faso et dans d’autres pays sahéliens.


Contacts :

René Massé

Rwanda : mise en service d’une centrale photovoltaïque de 250 kW

Une centrale photovoltaïque de 250 kilowatts a été installée sur la colline de Jali qui domine la ville de Kigali.

Source : PANA

Cette centrale solaire a été installée sur la colline de Jali dans le district de Gasabo, pour un coût d’un million d’euros, attribué dans le cadre de célébration du 25ème anniversaire de jumelage entre le Rwanda et la région de Rhénanie Palatinat en Allemagne.

S’exprimant à l’inauguration de la centrale, le président rwandais, M. Paul Kagamé, a salué ce geste allemand, affirmant que le projet intervient à un moment opportun car le pays fait actuellement face à une crise énergétique provoquée par une pénurie dans les rivières et les lacs de l’eau utilisée dans le domaine hydroélectrique.

La production électrique du Rwanda est actuellement assurée par des centrales hydroélectriques et thermiques (qui consomment du diesel ou de l’essence).

Selon une source proche de l’établissement para-étatique rwandais d’électricité, de l’eau et de gaz (ELECTROGAZ), le Rwanda dépense chaque jour quelque 50.000 dollars US pour payer les frais de consommation du pétrole servant à faire tourner ces équipements thermiques.

René Massé

Sénégal : construction d’une centrale électrique dans la région de Kaolack

Signature d’un avenant Senelec-Wartsila Le Sénégal a entrepris d’accroitre ses capacités de production électrique. Cette centrale de 60MW sera opérationnelle en novembre 2008.

Samuel Amète Sarr, le ministre de l’Energie et Alain Pilot, directeur commercial du Groupe Wartsila, ont procédé le 12 septembre 2007 à la signature d’un avenant pour la réalisation de cette centrale électrique de Kahone. Elle sera co-financée par la Bid, la Bidc et la Boad à hauteur de 32 milliards de FCfa.

L’ère de la décentralisation des centres de production s’ouvre au Sénégal

Ce sera le plus grand projet de production électrique jamais réalisé à l’intérieur du pays : il inaugure l’ère de la décentralisation des centres de production en dehors de Dakar. La construction d’autres centrales en régions devraient suivre, en particulier la centrale de 2 fois 70 MW de Tobène dans la région de Thiès.

Le groupe Wartsila intervient déjà dans plusieurs sites au Sénégal, en particulier à Bel Air mis en service en septembre 2006, au Cap des biches avec la réalisation des deux tranches de 15 MW, à Kounoune. Mais cette nouvelle centrale constitue un autre enjeu.

La Senelec renforce ses capacités

Le directeur général de Senelec est ensuite revenu sur les efforts déployés par sa société « pour offrir un ensemble de services de qualité, performants et fiables à ses clients, pour apporter le service public de l’électricité dans tous les foyers du Sénégal. »

Sur ce chapitre, il a estimé que « la Senelec a entrepris ces dernières années un vaste programme d’investissement qui se manifeste à travers la réalisation de la centrale de Bel Air, mis en service en septembre 2006, l’achèvement imminent des travaux de la centrale privée de Kounoune pour un coût global de 76 milliards F CFA ». Ce qui a permis « d’augmenter sensiblement la capacité de production de quelque 134 MW ».

Il en est de même au niveau des réseaux de transports et de distribution Il a cité la liaison Sococim Mbour, le renforcement du réseau moyenne tension de Dakar et la réalisation en cours de la ligne électrique haute tension de 225 kVs Tobène-Touba-kaolack qui a requis 32 milliards FCfa et qui sera opérationnelle en janvier 2008. Toutes ces actions ont permis « de fiabiliser et de sécuriser l’alimentation électrique tant au niveau de Dakar qu’aux niveaux des régions de Thiès, Dioula, Kaolack et Fatick », a-il poursuivi.

Samuel Amète Sarr, ministre de l’Energie a confirmé que « l’électricité et le secteur de l’énergie de façon globale occupent une place de choix dans la stratégie de croissance accélérée et l’atteinte des objectifs du millénaire pour le développement ». L’objectif du gouvernement de « soulager les populations sénégalaises en leur offrant une énergie de qualité en quantité suffisante dans le court terme et à moindre prix dans le moyen et le long terme », expliquerait « le processus d’accélération des investissements engagé dans le domaine de l’énergie ». Et la mise en service de Kahone, combinée avec la ligne 225 kV Tobène-Touba-Kaolack, « permettront de sécuriser définitivement l’alimentation électrique des régions de Kaolack et Diourbel et aura un impact certain dans leur développement socio-économique », a-il conclu.

Source : article de la Revue de Presse du programme Energie-Réduction de la pauvreté de la CEDEAO du 10 au 14 septembre 2007.

René Massé

Petites centrales hydrauliques : Turbines hydrauliques – Journée de formation pour ingénieurs

Cette publication présente les turbines hydrauliques du point de vue du technicien chargé de leur sélection, de leur acquisition et de leur intégration dans un site donné, sans entrer dans des considérations théoriques
complexes.

Ce document, édité par le programme PACER, est destiné à aider les ingénieurs et techniciens non spécialisés qui sont concernés, dans le cadre de leur activité professionnelle, par la planification et la réalisation d’une petite centrale hydraulique.

Voir le document

Contenu

Il contient les renseignements suivants :

- paramètres et caractéristiques d’une petite centrale hydraulique
utiles pour le choix de la machine et son implantation ;

- paramètres communs à tous les types de turbines hydrauliques ;

- types de turbines, paramètres et caractéristiques : turbines à action (Pelton, Cross-flow), turbines à réaction (Francis, Kaplan, pompes inversées) ;

- points à considérer lors d’un appel d’offre et la rédaction d’un
cahier des charges (fonctionnement nominal, d’emballement,
implantation, cavitation, matériaux, détails constructifs, etc.).


Pour d’autres informations sur les turbines voir également l’article :

> Petites centrales hydroélectriques : les turbines.

Pour d’autres informations sur la petite hydroélectricité, voir :

> Petites centrales hydroélectriques : généralités.

Jérome Levet