Optimisation de la maintenance dans les zones à faible densité de systèmes photovoltaïques familiaux au Sénégal

Projet Sénégalo-allemand Transafricaine de Technologie Dr. Amadou Sow Juin 1998. 66 pages Plus de 2 500 systèmes photovoltaïques familiaux ont été installés dans les zones rurales sénégalaises, en particulier dans le cadre du projet Sénégalo-allemand. La réussite de ce projet passe par l’optimisation des systèmes de maintenance. Pour être optimales, les structures de maintenance doivent concilier des réalités socio-économiques difficiles (faible pouvoir d’achat des utilisateurs), et des contraintes de (…)

Projet Sénégalo-allemand

Transafricaine de Technologie

Dr. Amadou Sow

Juin 1998.

66 pages

Plus de 2 500 systèmes photovoltaïques familiaux ont été installés dans les zones rurales sénégalaises, en particulier dans le cadre du projet Sénégalo-allemand. La réussite de ce projet passe par l’optimisation des systèmes de maintenance. Pour être optimales, les structures de maintenance doivent concilier des réalités socio-économiques difficiles (faible pouvoir d’achat des utilisateurs), et des contraintes de rentabilité imposées aux opérateurs.

Cette étude propose un modèle de maintenance optimum dans les zones à faible densité de systèmes photovoltaïques. Dans un premier temps, elle analyse les systèmes de maintenance existants, avant d’analyser les différentes options d’une stratégie d’optimalisation, à savoir l’option économique (coûts de la maintenance pour les utilisateurs, viabilité économique de l’activité), l’option technique (fiabilité des composants, qualité de l’installation et de l’utilisation) et l’option logistique (les moyens de transport, les outils de travail). Enfin, ce document propose un modèle optimum de maintenance.

Bien que réalisée en 1998, cette étude reste pleinement d’actualité et vaut tant par la méthode que par les analyses développées.

Amadou Sow, René Massé

Espagne : inauguration de la première centrale solaire « à concentration »

La ville de Séville a inauguré vendredi la première centrale solaire « à concentration » destinée à l’exploitation commerciale en Europe. D’une capacité de 11 MW, elle doit produire 23 GWh d’électricité par an, de quoi répondre aux besoins d’une population de 10.000 habitants.

Située à 25 km à l’Ouest de Séville, la centrale solaire baptisée PS10 a été construite par la société Abengoa. Le coût total de l’investissement est de 35 millions d’euros, dont 5 millions financés par le cinquième programme-cadre de l’Union européenne pour la recherche et le développement technologique.

« Grâce à ces nouvelles technologies, l’Europe dispose d’une arme supplémentaire pour lutter contre le changement climatique et améliorer la sécurité énergétique, tout en renforçant la compétitivité de son secteur industriel et en créant des emplois et de la croissance », a déclaré Andris Piebalgs, membre de la Commission chargé de l’énergie, à l’occasion de l’inauguration de la centrale.

PS10 est un exemple de centrale solaire dite « à concentration » : la centrale produit de l’électricité au moyen de 624 miroirs mobiles (héliostats) de 120 m2 chacun, qui suivent le soleil et concentrent de façon continue le rayonnement solaire au sommet d’une tour de 115 m de hauteur. Au haut de cette tour se trouvent le capteur solaire et la turbine à vapeur.

Cette production d’électricité solaire évitera le rejet dans l’atmosphère de près de 16.000 tonnes de CO2 par an. La réalisation du projet s’est déroulée sur 54 mois, du 1er juillet 2001 au 31 décembre 2005. PS10 est la première d’une série de centrales de production d’électricité solaire qui seront construites dans la même zone et totaliseront une capacité de plus de 300 MW d’ici à 2013.

René Massé

Activités rémunératrices : études de projets énergie impliquant des femmes dans huit pays d’Afrique et d’Asie

Auteurs : Salome Misana and Gail V. Karlsson, 2001, UNDP, 95 pages

Région : Afrique, Asie, février 2005

Cette publication du PNUD analyse huit projets énergie-femmes mis en œuvre en Afrique du Sud, au Bangladesh, au Ghana, au Kenya, au Malawi, au Mali, au Népal et en Ouganda. Il propose des exemples concrets pour améliorer l’accès des femmes les plus pauvres à des services énergétiques accessibles et montre comment cela permet d’initier du développement local, en créant des revenus, en responsabilisant les femmes dans leur milieu social.

A partir de ces retours d’expériences, le document dénonce les aspects critiques dans la conception des projets et des politiques de l’énergie qui nuisent à l’amélioration de l’accès de femmes aux services énergétiques modernes en zones rurales.


Cette publication a été préparée dans le cadre d’un projet du PNUD intitulé « Energy and Women : Generating Opportunities for Development ». Ce projet a été initié en février 1999, avec le support de SIDA – Swedish International Development Cooperation Agency – et du programme Sustainable Energy Global de l’UNDP.

Cette publication (en anglais) du PNUD propose une lecture critique des options conceptuelles des projets et politiques visant à améliorer l’accès des femmes aux services énergétiques fondée sur l’étude des huit expériences suivantes :

  • Bangladesh : utilisation de lampes alimentées par des batteries, un projet conduit par des femmes, par Hasna J. Khan ;
  • Ghana : énergie pour des entreprises rurales féminines, par Anokte Mensah ;
  • Kenya : projet de foyer Upesi, par Beatrice Khamati Njenga ;
  • Malawi : programme Ndirande Nkhuni de briquette de biomasse, par Malla Mabona ;
  • Mali : plateforme multifonctionnelle pour les villages, par Nalini Burn et Laurent Coche ;
  • Nepal : programme de développement micro-hydro en zone rurale, par Arzu Rana-Deuba ;
  • Afrique du Sud : impact du groupe femme – énergie sur la politique nationale, par Wendy Annecke ;
  • Ouganda : projet d’électrification rurale photovoltaïque, par May Christine Sengendo.

René Massé

Recommandations pour les installations photovoltaïques de pompage et de potabilisation

Système solaire, 2003.

Ce document édité par « Système solaire » en 2003 présente les systèmes photovoltaïques de pompage et de potabilisation.

Les thèmes abordés sont les suivants :

  • le fonctionnement et spécifications des systèmes de pompage photovoltaïques :
    • fiabilité ;
    • sécurité ;
    • bilans énergétiques ;
    • facilité d’utilisation ;
    • installation ;
    • entretien / maintenance ;
  • l’exploitation des systèmes de pompage photovoltaïques ;
  • en fin d’ouvrage une bibliographie permet d’aller plus loin.

Jérome Levet, René Massé

La technologie NAÏDE pour le traitement de l’eau

Imaginez une technologie fiable, mobile, pesant 75 kilogrammes, économique, eco-friendly, facile à entretenir, qui ne requiert ni combustible, ni produit chimique, ni tuyauteries, ni électricité et qui purifie 2 500 litres d’eau par jour (en dix heures), tout en étant conforme aux standards en eau potable de l’Organisation mondiale de la santé.

Naïade, mode d’emploi

Cette technologie existe : Naïade, un appareil créé il y a quelques années par Nedap, une entreprise néerlandaise leader en électronique. Simple et efficace, la filtration de l’eau polluée s’effectue grâce à deux sacs-filtres lavables et sa désinfection se fait par une lampe UV.

Celle-ci fonctionne à l’aide d’un panneau solaire générant 75 watts d’électricité qui doit être remplacé après 12 000 heures de fonctionnement. En cas de temps nuageux, une batterie de voiture encastrée à l’intérieur de l’appareil prend la relève et assure la génération d’énergie.

Testée par divers laboratoires de recherche sur l’eau, tels ATIRA en Inde et UNESCO-IHE & KIWA aux Pays-Bas, la technologie Naïade a raflé de nombreux prix dont le prestigieux European Award for Environment en 2004.

Andrée-Marie Dussault, Le Courrier, 11/01/2007


Voir également :

> l’article du même auteur consacré à la mise en place de cette technologie dans un village Indien : « L’énergie solaire au service des « sans électricité » »

> l’article de l’annuaire consacré à la société Nedap et son produit Naïade

Jérome Levet

L’énergie solaire au service des « sans-électricité »

Panjkosi, Punjab, Inde – Alors que les habitants privés d’électricité ne peuvent filtrer leur eau polluée, un purificateur d’eau fonctionnant à l’énergie solaire vient d’être installé dans un village du Punjab indien. Cette technologie pourrait intéresser plusieurs pays rencontrant des problèmes d’approvisionnement en eau potable.

Article de Andrée-Marie Dussault paru dans le quotidien suisse « Le Courrier » le 11/01/2007

La révolution est en cours, n’est-ce pas, Mini ?” “Oh oui ! Et nous en sommes très heureux !” répond, sourire aux lèvres, notre ingénieur quinquagénaire, après avoir démontré aux villageois attroupés comment faire fonctionner l’appareil néerlandais qu’il est venu présenter. La révolution dont il est question ici prend la forme d’une technologie, dénommée Naïade, qui purifie l’eau à l’aide de l’énergie solaire et qui est sur le point d’être implantée en Inde. Et cela grâce à la persévérance et à l’entremise de Mini Puri, que nous avons suivi jusqu’au fin fond du Pendjab indien.

Cet Etat, l’un des plus riches, appelé aussi le grenier à grains du pays, est situé à quelques dizaines de kilomètres de la frontière pakistanaise. La visite d’aujourd’hui se déroule à Panjkosi, village de 4 500 habitants, et répond à un double objectif. Le premier est de former Ritu, une jeune assistante sociale qui sera chargée de convaincre les villageois – ou plutôt les villageoises, “plus intelligentes”, selon Mini – d’adopter la technologie Naïade. L’autre intérêt de cette visite réside dans la rencontre prévue avec le “roi” de la place, c’est-à-dire le plus gros propriétaire terrien, qui détient plus de 500 hectares de terres. L’idée est de lui vendre le projet Naïade, de façon à en faire une success story susceptible d’être développée à travers tout le pays, mais aussi au Sri Lanka, au Népal et au Bangladesh.

Mini et les deux collègues qui l’accompagnent, tous ingénieurs mécaniques de formation, débordent d’optimisme vis-à-vis du potentiel de cette technologie. Ils ne sont pas les seuls, leur projet capte de plus en plus d’attention. Anciens camarades d’école, les trois amis ont jadis travaillé pour de grosses firmes locales et étrangères. Aujourd’hui, ils sont chacun à la tête de leur propre entreprise, mais également consultants indépendants. “Nous gagnons beaucoup moins que si nous travaillions pour une multinationale, explique Jamil Ahmed, mais, en revanche, nous trouvons beaucoup plus de sens à notre action.” Dans ce cas précis, le sens de Naïade est le suivant : une formidable capacité à tuer toutes les bactéries et tous les virus contenus dans l’eau, et ce au moyen de l’énergie solaire. Une aubaine dans un pays où, selon les chiffres du gouvernement, 80 000 des quelque 600 000 villages ne sont pas électrifiés et qui, en conséquence, ne peuvent recourir aux filtres électriques pour rendre potables leurs eaux de canaux ou de puits. En réalité, le nombre de villages indiens où l’on s’éclaire toujours à la chandelle serait plus proche des 300 000. “Du moment qu’il y a dans le village une ampoule qui fonctionne une heure par jour, les autorités le classent comme électrifié”, explique Raymond Myles, actif depuis près de quarante ans dans le secteur des énergies renouvelables non conventionnelles.

Pour Mini, l’aventure Naïade a commencé il y a environ un an, lorsque le gouvernement l’a invité à une réunion de réflexion pour élaborer des stratégies à même de répondre au lancinant problème de l’accès à l’eau potable dans les villages indiens non électrifiés. A la suite de cette rencontre, la plus grosse coopérative au monde, l’Indian Farmer’s Fertilizer Cooperative Limited (IFFCO), a lancé un concours invitant les ONG et les entreprises à soumettre des projets en faveur du développement dans le secteur agraire. Mini a déposé un dossier présentant la technologie Naïade. Parmi 1 000 candidatures, sa proposition a été retenue. C’est ainsi que le village de Panjkosi, où est situé le siège de la IFFCO, a été choisi comme village-pilote pour tester Naïade.

L’eau polluée tue 2 millions de personnes chaque année

Figurant parmi les nations où la mortalité (notamment infantile) liée à l’eau est la plus élevée, l’Inde a toutes les raisons de s’intéresser à cette technologie. Certes, la pollution industrielle, le fer, le fluorure, l’arsenic, les pesticides et les fertilisants chimiques sont responsables de la contamination de l’eau. Mais le mal provient aussi pour une large partie des bactéries et des virus. Ainsi, Naïade, en éliminant toute trace bactérienne et virale dans l’eau, doit permettre de réduire de manière significative les risques pathogènes que représente l’eau contaminée. Avec cette technique, l’Inde des villages pourrait faire un bond prodigieux. Sans compter les bénéfices potentiels pour les autres personnes comptant parmi les 1,2 milliard d’habitants de la planète qui n’ont pas accès à l’eau potable. Toutefois, la partie n’est pas encore gagnée. L’obstacle numéro un est le coût de la technologie : l’appareil coûte 400 000 roupies [environ 7 000 euros]. Un montant colossal. “Ils ont les moyens de s’acheter des Coca, mais, lorsqu’il s’agit d’eau potable, les villageois resserrent les cordons de la bourse”, ironise Jamil.

Dans les faits, ces habitants ont du mal à croire à ce progrès : les politiciens en mal de votes ruraux les ont trop souvent abreuvés de promesses d’eau gratuite.

“Les engagements préélectoraux ne sont jamais tenus et les habitants doivent se rendre à l’évidence : pour avoir accès à l’eau potable, ils devront en payer le prix”, estime Mini. Si l’on considère l’économie du bois et du kérosène nécessaires pour faire bouillir l’eau polluée, ce prix est cependant abordable : moins de 1 roupie par litre, c’est-à-dire environ trois fois moins que l’eau embouteillée par les multinationales de l’or bleu. D’ailleurs, celles-ci ne craignent-elles pas la compétition de cette technologie révolutionnaire ? “Pas pour le moment, prétend Raymond Myles. Pour l’heure, elles préfèrent dépenser 1 dollar là où elles en gagneront 10. Avec Naïade, ce n’est pas encore le cas.” Pour parvenir à vendre un appareil Naïade – qui servira 1 000 personnes à raison de 2,5 l d’eau par personne et par jour –, Mini mise sur le soutien de Jhakkar Ji, le chef du village, et sur les subsides gouvernementaux. Outre la consommation d’eau potable pour les villageois, un autre bon argument est servi à Jhakkar Ji pour le convaincre de la pertinence de l’initiative. Si le projet-pilote se révèle un succès, son village sera connu de par le monde comme le pionnier en matière de purification d’eau par l’énergie solaire. Quant aux aides de l’Etat, celles-ci pourraient représenter jusqu’à 50 % du prix de l’appareil. Mini sait fort bien que, pour les décrocher, il n’échappera pas à l’obligation de soudoyer les fonctionnaires responsables. Mais rien ne l’arrête. “Je n’encourage pas cela, évidemment, mais pour le bien général je suis prêt à contribuer de ma poche pour faire démarrer l’initiative”, explique-t-il. Il serait en effet dommage de voir le projet capoter quand on sait qu’en raison de l’eau polluée un enfant meurt toutes les huit secondes et 2 millions de personnes décèdent chaque année.

Andrée-Marie Dussault, Le Courrier


Voir également :
> l’article du même auteur consacré à la technologie Naïade ;

> l’article de l’annuaire consacré à la société Nedap qui développe le produit Naïade.

Jérome Levet

Eclairage économe en énergie et peu polluant, les LEDS

Les diodes électro luminescentes (DELs) ont atteint l’age adulte et sont diffusées largement par une ONG canadienne, Light Up The World Foundation (LUTW).

Jusqu’à présent, LUTW a équipé plus de 14 000 ménages dans 42 pays, apportant un éclairage économe et de qualité à environ 100 000 personnesn avec un impact minimum sur l’environnement.

Light Up The World Foundation (LUTW) est une ONG canadienne qui développe des projets d’éclairage dans des villages de pays en voie de développement.

Elle utilise une technologie moderne, accessible, efficace et peu polluante d’un point de vue environnemental global : des diodes électro luminescentes (DELs) alimentés par des kits photovoltaïques.

Jusqu’à présent, l’ONG a équipé plus de 14 000 ménages dans 42 pays, soit environ 100 000 personnes, qui ont ainsi pu bénéficier d’un éclairage de qualité, améliorant sensiblement leurs conditions de vie tout en préservant l’environnement.

René Massé

Documents en ligne de l’association blueEnergy

Documents en anglais, espagnol et français concernant les activités de l’association en Amérique Centrale.

blueEnergy est une ONG basée aux Etats Unis et en Fance, dont l’objectif est de répondre aux besoins en électricité des communautés démunies, prioritairement en Amérique Centrale.

Par le biais de son site internet américain(EN), l’association diffuse de nombreux documents (en anglais, espagnol et français), notamment des documents de présentations de ses activités et des rapports et publications concernant ses domaines d’intervention.

> Pour télécharger l’ensemble de ces documents voir la page de téléchargement(EN) du site internet américain de l’association(EN) ;

> Un article en français de son action au Nicaragua est notamment disponible ici ;

> Voir également le site internet du bureau français de l’association(FR) ;

> Pour connaître les coordonnées de l’association voir l’article consacré à blueenergy dans l’annuaire.

Jérome Levet

Énergies renouvelables : presque toutes les régions de Madagascar ont plus 2 800 heures d’ensoleillement annuel

Article paru dans Le Quotidien, un journal malgache, le 21 décembre 2006.

Cet article fait un bilan du potentiel de développement des énergies renouvelables à Madagascar.

« A Madagascar, la consommation énergétique globale reste encore très faible. Cette consommation énergétique est dominée par le bois et ses dérivés, qui représentent plus de 80 % de la demande. Le taux d’électrification est également encore faible. Cependant, Madagascar est un pays qui a plusieurs atouts sur l’énergie renouvelable. L’État malgache a déjà entrepris des efforts pour exploiter ces ressources et continue encore d’en déployer, surtout lorsque l’on sait que, pour le gisement solaire, presque toutes les régions du pays bénéficient de plus de 2 800 heures d’ensoleillement annuel. »

> Voici l’intégralité de l’article issus du site du Quotidien


Pour plus d’informations, voir également Contexte général de l’électrification à Madagascar

Voir également l’article exposant l’état des lieux de la filière biodiésel à Madagascar, paru dans le même journal.

Jérome Levet, Mamisoa Andriamihaja

La cuisine à l’énergie solaire

Fiche d’évaluation technique de l’Areed (EN)

L’Areed est un programme du PNUE (Programme des Nations Unies pour l’Environnement) pour la promotion des REEs (entreprises rurales d’énergie) ayant recours aux énergies renouvelables dans les pays d’Afrique.

L’Areed édite des fiches d’évaluations en Anglais, qui apprécient le potentiel commercial des entreprises qui vendent des biens ou des services qui valorisent des énergies renouvelables.

Voici la fiche d’évaluation sur « la cuisine à l’énergie solaire » en Anglais.

Elle présente :

  • Un panel des technologies disponibles ;
  • Les applications commerciales ;
  • Des éléments sur la commercialisation de cette technologie ;
  • Les points clés assurant le développement d’un produit ou service de qualité ;
  • Des recommandations et des références dans le domaine.

Voir également le site internet de l’Areed

La fiche d’évaluation sur « La production de glace et le refroidissement »
La fiche d’évaluation sur « Le séchage des produits agricoles par l’énergie solaire »

Jérome Levet, René Massé