14e Forum Africain de l’Energie (AEF 2012) – Berlin du 26 au 28 Juin

Le 14e Forum Africain de l’Energie (AEF 2012) aura lieu à Berlin du 26 au 28 Juin. Avec plus de 650 délégués présents l’an dernier venant d’Afrique, d’Europe, des Etats-Unis et de Chine, la présence mondiale de l’AEF en a fait la première plate-forme de discussion et d’action sur les possibilités d’investissement dans le secteur de l’énergie de l’Afrique.

L’annonce récente d’appels d’offres dans le secteur de l’électricité en Afrique du Sud a créé un marché très concurrentiel et nous sommes ravis de savoir que l’Afrique du Sud jouera à nouveau un rôle central lors du forum. Les questions relatives à la capacité du secteur de l’électricité d’Afrique du Sud sont pourtant pertinentes et nous attendons avec impatience une plate-forme favorable pour fournir les investissements et les technologies pouvant ajouter une valeur réelle pour la région, en ce moment passionnant.

Parmi les Thèmes Principaux il y a :

• Solutions d’investissement et technologies aidant l’efficacité et l’optimisation des ressources

• Analyse des succès du programme IPP d’Afrique du Sud sur les Énergies Renouvelables

• Fondamentaux pour un projet viable « gaz-à-énergie »

• Solutions Allemandes pour la production des énergies conventionnelle et renouvelables en Afrique

• Avenir des centrales énergétiques à charbon en Afrique

• Mise à jour sur la privatisation du secteur de l’énergie du Nigeria

Si vous désirez recevoir des informations sur le Forum Africain de l’énergie ou en savoir plus : prendre contact avec Bruno cockburn à Bruno@energynet.co.uk ou appelez 44 (0) 20 7384 8072

Jacques Monvois

Maroc : 2,5 millions d’euros de l’Allemagne pour la valorisation des énergies renouvelables

L’Allemagne a accordé au Maroc un don de 15 millions d’euros qui s’inscrit dans le cadre de l’accord de la coopération technique bilatérale, signé le mercredi 24 février 2010 à Rabat.

Cet accord de coopération technique 2008-2009 porte sur le financement de plusieurs projets et programmes dans les domaines de la gestion et de la promotion de l’environnement (4 millions d’euros), la valorisation des énergies renouvelables (2,5 millions d’euros), la protection de la nature et la lutte contre la désertification (2,7 millions d’euros).

Le financement concerne également le programme d’appui aux micros, petites et moyennes entreprises (4,3 millions d’euros), la formation professionnelle en milieu de travail (1 millions d’euros) et le Fonds d’études et d’experts (0,5 millions d’euros).

Cet accord englobe plusieurs projets et programmes portant notamment sur la valorisation des énergies renouvelables et l’efficacité énergétique. Il comprend l’accompagnement au niveau du cadre organisationnel, institutionnel et législatif pour la promotion des énergies renouvelables au Maroc.


Source : agence Maghreb Arabe Presse.

Xavier Dufail

Algérie : projet de centrale 150 mégawatts solaire au Nord du Sahara

Le Ministre algérien de l’Energie, M. Chakib Khelil, a annoncé le 27 septembre 2009 à Oran, le projet de construire en 2010 une centrale solaire de production d’électricité dans le Sahara (extrême-sud), d’une capacité de 150 mégawatts (MW).

L’Algérie veut préparer l’après-hydrocarbures en développant les énergies renouvelables et notamment le solaire, mais aussi le nucléaire, en coopération notamment avec la France, les États-Unis, l’Allemagne, la Russie, la Chine et le Brésil.

Ce projet de centrale solaire rejoint les conclusions d’une étude allemande (Desertec) qui envisageait d’utiliser le soleil du Sahara pour alimenter l’Europe en énergie électrique

Le coût de ce projet, le premier du genre en Algérie, n’a pas été dévoilé. La centrale doit démarrer en 2010 et devrait pouvoir à terme permettre l’exportation de l’électricité vers l’Europe.

Rappelons que l’Algérie a lancé en novembre 2007 la construction d’une centrale hybride utilisant le soleil et le gaz naturel pour produire 180 MW d’énergie électrique dans la zone gazière de Hassi R’mel (Sahara), dans le cadre d’un accord de coopération signé au début de 2008 entre l’Agence algérienne pour les énergies renouvelables (New Energy Algeria ou NEAL) et le Centre Helmholtz de recherche aérospatiale allemand (DLR). Ce projet est le premier à l’échelle mondiale combinant turbines à gaz et énergie solaire. L’énergie solaire est destinée à terme à se substituer au gaz, avait alors précisé -il précisé M. Chakib Khelil.


Sources : des articles publiés le 29 septembre 2009 sur les sites de Romandie News, Ecolopop info et Le Figaro.

René Massé

Mali : la KFW finance l’électrification rurale

L’AMADER, Agence malienne de développement de l’énergie domestique et de l’électrification rurale et la KFW, une institution de coopération allemande, ont signé le 17 septembre 2009 à Bamako, deux conventions de financement d’un montant de 3,5 milliards de francs CFA (environ 7 millions de dollars US), pour l’électrification rurale.

Ce financement s’inscrit dans le cadre du programme d’électrification rurale. Il sera attribué à deux des Zones d’électrification multisectorielle (ZEM), à savoir les zones de Ségou (centre) et de Mopti (nord), ainsi qu’à des projets dans plusieurs autres régions et à la périphérie de Bamako.


Source : un article publié le 18 septembre 2009 sur le site l’Afrique en ligne.

René Massé

4ème forum Germano-africain de l’énergie

Du 20 au 22 avril 2009 se déroulera le 4ème forum Germano-africain de l’énergie, à Hambourg et Hanovre (Allemagne).

« Créer un partenariat pour l’énergie durable »

Chambre de commerce de Hambourg (les 20 et 21 avril)

Foire de Hanovre (le 22)

L’objectif de ce forum est de favoriser les partenariats de coopération entre l’Afrique et l’Allemagne, et particulièrement de montrer à l’industrie allemande de l’énergie le potentiel du continent africain.

Après près de 100 participants en 2006, le nombre de délégués a augmenté, passant de 220 en 2007 à plus de 300 en 2008. Sur les deux premiers jours de l’événement, à Hambourg, la conférence réunira des intervenants de haut niveau et des représentants afin de présenter et de débattre sur la coopération énergétique entre l’Allemagne et l’Afrique, et sur les points suivants en particulier :

- En amont : exploration, production et services

- Pipeline (construction et exploitation)

- En aval : raffinage, pétrochimie et distribution

- Énergie : production, transport, distribution et efficacité énergétique

- Énergies renouvelables : solaire, éolienne, hydraulique, géothermie et agrocarburants

Le programme sera complété le troisième jour par la manifestation de Hanovre. Nous invitons tous les participants du Forum à passer toute une journée à la plus grande foire industrielle et l’énergie. La Foire de Hanovre 2008 a réuni 10 foires internationales phares, 5100 exposants de plus de 60 pays, et a accueilli quelques 200.000 visiteurs.

Dans l’après-midi du 22 avril les délégués de haut rang du forum Germano-africain de l’énergie participeront à une table ronde sur le « World Energy Dialogue ».


Source : le site du Forum Germano-africain de l’énergie (en anglais).

Xavier Dufail

Algérie : une centrale hybride solaire/gaz naturel de 150 MW

Un accord de coopération a été signé au début de 2008 entre l’Agence algérienne pour les énergies renouvelables (New Energy Algeria ou NEAL) et le Centre Helmholtz de recherche aérospatiale allemand (DLR)
pour construire une centrale hybride solaire/gaz naturel de 150 MW. Elle est depuis en construction à 420 km au sud d’Alger, la capitale.

Cette centrale servira des intérêts scientifiques : l’objectif commun est la réduction des coûts via le développement de nouvelles technologies thermosolaires et de nouvelles manières de tester les composants. Les deux partenaires s’intéressent également à la production d’hydrogène à partir d’énergie solaire, aux piles à combustibles, aux procédés thermiques, à l’analyse des systèmes et à l’évaluation technologique. L’accord prévoit par ailleurs un échange de chercheurs et de doctorants.

Un projet de recherche appliquée

Dans le cadre de cette coopération germano-algérienne, le DLR bénéficiera d’un accès direct à la centrale, installation dont les deux partenaires souhaitent optimiser le fonctionnement.

Côté algérien, l’intérêt d’une telle coopération réside dans la perspective à moyen/long terme d’exporter de l’électricité solaire en Europe centrale. Du côté des industries allemande et européenne, l’exportation de composants clefs de centrales solaires thermodynamiques constitue un marché à l’avenir prometteur. Pour accélérer le déploiement des énergies renouvelables en Algérie, une loi du type « feed-in tariffs », comme il en existe en Allemagne ou en France, a été instaurée.

l’Algérie dispose d’un potentiel solaire très important

L’Algérie présente un gigantesque potentiel pour l’exploitation de l’énergie solaire. C’est l’un des résultats d’une étude en anglais réalisée récemment par le DLR à la demande du Ministère fédéral allemand de l’environnement (BMU). Intitulée « Concentrating Solar Power for the Mediterranean Region » (MED-CSP), l’étude visait à démontrer la faisabilité du concept « Desertec » imaginé par le réseau international TREC (Trans-Mediterranean Renewable Energy Cooperation) créé en 2003 par le Club de Rome. Le projet « Desertec » a pour objectif l’accélération de la production d’électricité et d’eau dessalée à partir de centrales thermosolaires et d’éoliennes situées au Moyen-Orient et en Afrique du Nord et, à partir de 2020, le transport de cette électricité verte jusqu’en Europe (avec une perte totale lors de la transmission ne dépassant pas les 10-15%).

La NEW ENERGY ALGERIA

NEAL est une nouvelle société qui a été créée le 28 Juillet 2002.

Nouvelle par sa composition, qui voit s’associer les capitaux publics et les capitaux privés nationaux et nouvelle aussi par ses missions qui consistent à prendre en charge le développement des énergies nouvelles et renouvelables.

La NEW ENERGY ALGERIA, est une association de deux entreprises du secteur de l’énergie, Sonatrach et Sonelgaz, à une société privée, la SIM.


Cliquer sur le lien pour télécharger l’étude « Concentrating Solar Power for the Mediterranean Region » (EN).


Source : un article du 24 février 2008 publié sur le site de Tunisie Affaires.

René Massé

Biocarburants pour le transport : opportunités et implications pour l’agriculture et l’énergie durable

Rapport de la conférence sur « Les biocarburants pour le transport », organisée à Berlin en 2006.

« Biofuel for transportation. Global potential and implications for sustainable agriculture and energy in the 21st century ».

Edité par la Coopération Technique Allemande (GTZ).

Auteur : M. Ute Peter,
44 pages en anglais

Mai 2006.

Ce document est le rapport de la conférence sur « Les biocarburants pour le transport », qui s’est tenue à Berlin du 16 au 17 mai 2006. Cette conférence était organisée par la Coopération technique allemande (GTZ) en collaboration avec la World Watch Institute, le ministère fédéral allemand de l’Agriculture et de la Protection des Consommateurs, et l’association pour les Matières premières renouvelables.

Le rapport est organisé en quatre chapitres :

  • La justification de la conférence ;
  • La situation des biocarburants : leur potentiel et les perspectives de développement ; les aspects technologiques, environnementaux et agriculturaux ; les considérations économiques et sociales ; et les recommandations pour une intégration des biocarburants dans les politiques de transport et de l’énergie ;
  • Les études de cas régionales : Chine, Inde, Tanzanie et Brésil ;
  • Les questions qui ont structuré les échanges des forums de discussion.

Il ressort par exemple qu’en Tanzanie, le potentiel en terres cultivables est élevé (44 millions d’hectares dont 30 millions d’hectares très appropriées) mais sa valorisation en biocarburants pour le transport est limitée par le manque d’informations, de politiques adéquates et incitatives. le productible en bioénergies est ainsi estimé entre 3,3 et 13 Exajoules, soit au moins cinq fois la consommation actuelle (0,6 EJ) en énergie primaire du pays. Pour cette estimation, les biocarburants envisagées sont le biodiesel à partir d’huile de palme (186 GJ/ha) ou d’huile de jatropha (59 GJ/ha), et le bioéthanol à partir de la mélasse de canne à sucre (20 GJ/ha).

Pour plus de détails, lire le rapport en anglais sur cette page du site de la GTz , ou téléchargez le ci-dessous.

Pépin Tchouate, René Massé

Bulletin de la GTZ sur l’efficacité énergétique

GTZ Energy News n°6 focus on Energy Efficiency. Publiée en août 2007. 4 pages en anglais

Du point de vue technique comme du point de vue politique, l’efficacité énergétique demeure la variable la plus négligée de l’équation énergie durable. Il est d’autant plus difficile de comprendre pourquoi que chacun s’accorde sur le potentiel énorme des économies d’énergie, tant en termes d’économie financière qu’environnementale. Alors pourquoi cela ne se traduit-il pas par des actions immédiates, concrètes ? Peut être parce que organiser uen action collective d’économie de l’énergie exige de trouver la bonne combinaison entre des solutions techniques, économiques, légales et sociales. Cette Lettre de la GTZ propose huit articles de présentation de projets et des liens vers plus de détails, concernant un éventail de solutions pratiques, expérimentées dans différents secteurs et pays.

Cette Lettre propose huit études de cas :

  • L’utilisation inefficace de l’énergie, un challenge pour l’industrie textile au Pakistan ;
  • Le programme chilien d’efficacité énergétique le prouve ; c’est payant !
  • Réseau d’échanges européen pour les innovations dans le chauffage et la climatisation ;
  • Ukraine : nouveau projet d’efficacité énergétique dans le secteur du bâtiment ;
  • Achèvement du premier projet de rénovation de bâtiments dans le nord de la Chine ;
  • Inde : la GTZ apporte un soutien à la réalisation de l’Energy Conservation Act 2001 ;
  • L’efficacité énergétique et les énergies renouvelables sont cruciales pour le Bangladesh ;
  • Renforcer la coopération Euro-Med sur l’efficacité énergétique.

Voici différents liens pour :

René Massé

Développement des échanges d’électricité entre le Mozambique et le Malawi

De nouvelles interconnexions vont permettre aux deux pays de s’acheter de l’électricité à des conditions favorables.

Le 17 juillet 2007, le Conseil des Administrateurs de la Banque mondiale a approuvé deux crédits de l’Association internationale de développement (IDA) d’un montant global de 93 millions de dollars EU au profit du Malawi (48 millions de dollars EU) et du Mozambique (45 millions de dollars EU). Ces deux prêts sont destinés à améliorer l’approvisionnement en électricité de l’Afrique australe sur le plan des volumes, de la fiabilité, du prix et de la protection de l’environnement, et stimuler ainsi la compétitivité industrielle et la croissance économique de la région.

Le contexte

Seconde phase du Programme pour le marché de l’électricité en Afrique australe, le projet Interconnexion des réseaux de transport Mozambique-Malawi raccordera le Malawi au pool énergétique d’Afrique australe (SAPP), ouvrant ainsi la voie aux échanges d’électricité bilatéraux entre les deux pays. Il permettra au Malawi de diversifier enfin ses sources d’approvisionnement en électricité et d’exporter ses éventuels surplus aux heures creuses, tout en offrant au Mozambique un nouveau débouché pour son secteur énergétique.

Le projet

Au Mozambique, le projet prévoit de construire environ 135 km de lignes de transport à 220 kV et d’agrandir la sous-station existante de Matambo. Côté Malawi, il s’agira d’installer 75 km de lignes nouvelles à 220 kV et de construire une nouvelle sous-station à 220 kV.

Le projet apportera à ESCOM et EDM, les deux compagnies publiques d’électricité du Malawi et du Mozambique, des services d’assistance technique, de renforcement des capacités et de formation, ainsi que les équipements nécessaires pour consolider et étendre les réseaux afin de maximiser les avantages tirés du commerce de l’électricité. Il aidera aussi à remplacer le matériel usagé, inadapté ou obsolète afin d’éliminer les goulots d’étranglement des réseaux qui risqueraient de compromettre la circulation des flux échangés.

Pool énergétique d’Afrique australe (SAPP)

L’ensemble de la région d’Afrique australe commence à souffrir d’une pénurie de capacités de production. Pour faire face à la croissance de la demande, il faudra installer au moins 1 000 MW de puissance supplémentaire chaque année. L’essentiel de cette nouvelle demande pourrait être satisfaite par de grands projets de production régionaux. Le commerce régional d’électricité étant appelé à se développer, il est indispensable de réduire les contraintes liées aux installations de transport.

En août 1995, les États membres de la Communauté de développement de l’Afrique australe ont créé le Southern African Power Pool (SAPP) (EN). Les compagnies publiques d’électricité des 12 pays d’Afrique australe en ont constitué les membres fondateurs. Les principaux réseaux d’électricité du Botswana, de la République démocratique du Congo, du Lesotho, du Mozambique, de la Namibie, de l’Afrique du Sud, du Swaziland, de la Zambie et du Zimbabwe forment le réseau régional actuel. L’Angola, le Malawi et la Tanzanie n’y sont pas encore raccordés. En février 2006, le SAPP s’est ouvert aux entreprises de production et de transport d’électricité du secteur privé.


Source : Communiqué de presse n° : 2008/018/AFR de la Banque mondiale

Contacts :
À Washington :
- > John Donaldson
Courriel : jdonaldson@worldbank.org
Tel : (202) 473 1367

- > Christopher Walsh
Courriel : cwalsh@worldbank.org

Tel : (202) 473 4594

À Maputo :
- > Rafael Saúte
Courriel : rsaute@worldbank.org

Tel (258-2) 1482324

À Lilongwe :
- > Zeria Banda
Courriel : zbanda@worldbank.org

Tel : (265-1) 770 611

René Massé

Tarif réduit pour le Forum Energie Afrique de Hambourg, 27 au 29 juin 2007

Les organisateurs du Forum Énergie Afrique ont décidé d’offrir une réduction spéciale aux internautes et experts du Riaed qui souhaitent participer à ce Forum.

Afin de soutenir le développement des énergies renouvelables, EnergyNet a décidé d’offrir une inscription à prix réduit aux petites entreprises qui désirent participer au forum. Pour toute information complémentaire contactez les organisateurs aux adresses et numéros suivants :

M. Bruno Cockburn (EnergyAccess21)

www.energynet.co.uk

EnergyNet Limited

Tel. +44 20 85 47 06 98
Fax. +44 20 85 41 32 44


Le Forum offre annuellement une plateforme où les intérêts publics et privés ont l’opportunité de converger, où les investisseurs et les politiques peuvent débattre, créer de nouveaux contacts, conforter leurs positions et où de nouveaux partenariats naissent.

Avec des opportunités de plus en plus nombreuses, et un niveau de risques en baisse, faire des affaires avec l’Afrique en particulier dans le secteur de l’énergie devient de plus en plus attrayant. L’Africa Energy Forum offre une entrée dans ce marché en croissance.

Il y a deux séminaires inclus dans le Forum ; EnergyAcces21 ayant pour objet les énergies renouvelables, y compris les biocarburants, et AfricaGas21.

Neuf Ministres de l’Energie et onze directeurs d’organisations para-étatiques de l’électricité d’Afrique ont à ce jour confirmé leur participation. Déjà, 265 personnes se sont inscrites par rapport à 200 l’an passé à la même période. Sont confirmées les participations de :

  • Afrique du Sud, ABB, ABSA Capital, Anglo Coal, Camco International, CIC Energy, DelArz Projects, Department of Minerals & Energy, Ernst & Young, Fieldstone, GE Energy Global Sales, Gigajoule, Globeleq, Group Five Energy, GTZ, Investec, LeBoeuf, Lamb, Greene & MacRae, MagEnergy, African Forum for Utility Regulators (AFUR), National Energy Regulator, Nedbank Capital, NETGroup International, PB Power, Rand Merchant Bank, Sasol Gas, Sizwentsaluba VSP, Spintelligent, Southern African – German Chamber of Commerce, Standard Bank, University of Cape Town
  • Allemagne, ABB, Afika-Verein, DECON GmbH, DEG GmbH, Fichtner GmbH & Co KG, GTZ GmbH Technical Co-operation, KfW, KHD Humboldt-Wedag AG, Lahmeyer International GmbH, MAN Diesel, Siemens AG, SMA Technologie AG, Voith Siemens Hydro Kraftwerkstechnick
  • Angola, Empresa Nacional de Electricidade de Angola
  • Autriche, Federal Ministry for Foreign Affairs
  • Belgique, Fortis, Suez-Tractebel, European Investment Bank, European Union
  • Brésil, Construcoes e Comercio Camargo Correa
  • Cameroun, Ministry of Energy & Water Resources
  • Canada, Artumas Group Inc., CPCS Transcom, Manitoba Hydro International Ltd
  • Congo, Ministère de l’Energie et de l’Eau
  • Côte d’Ivoire, Ministère des Mines et de l’Energie
  • La république Démocratique du Congo, UPDEA
  • Danemark, Burmeister & Wain Scandinavian Contractors AS, European Commission Energy Initiative
  • Egypte, GE Energy, Globeleq /Sidi Krir Generating Company, Unatrac Caterpillar
  • Guinée Equatoriale, SONAGAS, G.E
  • Espagne, Guascor
  • Etats Unis d’Amérique, Global Partnership on Output-Based Aid, Grynberg Petroleum, IFC, LeBoeuf, Lamb, Greene & MacRae, MIGA, NRECA, Ormat Power, PA Consulting Group
  • Ethiopie, Ethiopian Electric Power Corporation, Ministry of Mines & Energy
  • Finlande, ABB Power Technologies
  • France, Aggreko, Allen & Overy LLP, Alstom, AREVA T&D, Clifford Chance, Coyne & Bellier, Eversheds LLP, Groupe de recherche et d’échanges technologiques, Litwin, Proparco, Wärtsilä Corporation, World LP Gas Association
  • Ghana, Electricity Company of Ghana, Ministry for Energy
  • Guinée, Electricité de Guinée
  • Kenya, Abcon, EcoEnergy Group, Electricity Regulatory Board, Kenya Electricity Generating Company, Kenya Power & Lighting Co., Ministry for Energy
  • Liban, Matelec
  • Liberia, Ministry of Land, Mines & Energy
  • Mali, Ministère des Mines, de l’Energie et de l’Eau
  • Maroc, GE Energy, Office National d’Electricité
  • Mozambique, Electricidade de Moçambique E.P., Ministry of Energy
  • Namibie, Ministry of Mines & Energy, NamPower, United Africa Group
  • Norvège, Norfund
  • Nigeria, Adepetun, Aelex, Caxton-Martins, Agbor & Segun, Alliance Capital Management Company, Gaslink, Globeleq, Himgrash International, Jed Investments & Marketing Company, Markbound Nigeria Ltd, Nexant, Inc, Nigerian Electricity Regulatory Commission, NNPC, Oando Power Limited, Okonjo, PowerCap, Stanbic Bank Nigeria,Templars
  • Ouganda, Ministry of Energy & Mineral Development, Umeme Ltd
  • Pays Bas, E+Co, FMO, Shell Gas & Power International, FMO, Ministry of Foreign Affairs, Wartsila Corporation
  • Royaume Uni, Africa Confidential, African Energy, African Review of Business and Technology, Aldwych International Ltd, Barclays Capital, BES (Europe) Ltd, BP, Chadbourne & Parke, Clarke Energy, Cummins, Department for International Development, Denton Wilde Sapte, EcoSecurities, Emerging Africa Advisers Frontier Markets Fund Managers, Infraco, IPA Energy Consulting, IPSA Group plc, Jardine Lloyd Thompson, GE Energy, Globeleq, GVEP International, LeBoeuf, Lamb, Greene & MacRae, Oil Review Africa, Parallax Sustainable Development Solutions, Rolls Royce Diesel Power Business, Standard Bank, Standard Chartered Bank, Trinity International LLP, White and Case, World Energy Council, ZIMNRG Plc
  • Sénégal, Fortesa
  • Suisse, Alstom, Caterpillar, IHS Energy Group
  • Tanzanie, Artumas Group Inc., Globeleq, Ministry of Energy & Minerals, Mtwara Transmission & Distribution Company, Nile Basin Initiative, Tanzania Electric Supply Co (TANESCO), Tanzania Petroleum Development Corporation, UCLAS
  • Tunisie, African Development Bank
  • United Arab Emirates, Aggreko, GE Energy, Intertropical Trading Company
  • Zambie Copperbelt Energy Corporation, Ministry of Energy & Development, Energy Regulation Board.

René Massé