Liste des pays ayant ou non ratifié le Protocole de Kyoto

Au 18 novembre 2005, 156 pays sur 192 pays indépendants ont ratifié le Protocole de Kyoto.

Le Protocole de Kyoto, entré en vigueur en février 2005, propose un calendrier de réduction des émissions des six gaz à effet de serre qui sont considérés comme la cause principale du réchauffement climatique des cinquante dernières années : en 2012 les pays industrialisés devront avoir globalement réduit de 5% leurs émissions par rapport au niveau de 1990. Pour se faire le Protocole prévoit la mise en place de mécanismes de marché : « les mécanismes de flexibilité »

Les pays ayant ratifié le Protocole

22 pays industrialisés [1] Allemagne, Autriche, Belgique, Canada, Danemark, Espagne, Finlande, France, Grèce, Irlande, Islande, Italie, Japon, Liechtenstein, Luxembourg, Norvège, Nouvelle-Zélande, Pays-Bas, Portugal, Royaume-Uni, Suède, Suisse
13 pays en transition [2] Biélorussie, Bulgarie, Estonie, Hongrie, Lettonie, Lituanie, Pologne, République tchèque, Roumanie, Russie, Slovaquie, Slovénie, Ukraine
121 pays en développement [3] Afrique du Sud, Albanie, Algérie, Antigua-et-Barbuda, Arabie saoudite, Argentine, Arménie, Azerbaïdjan, Bahamas, Bangladesh, Barbade, Belize, Bénin, Bhoutan, Birmanie, Bolivie, Botswana, Brésil, Burkina Faso, Burundi, Cambodge, Cameroun, Chili, Chine, Chypre, Colombie, Îles Cook, Congo-Brazzaville, Corée du Nord, Corée du Sud, Costa Rica, Cuba, Djibouti, Dominique, Égypte, Émirats arabes unis, Équateur, Érythrée, Éthiopie, Fidji, Gambie, Géorgie, Ghana, Grenade, Guatemala, Guinée, Guinée-Bissau, Guinée équatoriale, Guyana, Haïti, Honduras, Inde, Indonésie, Iran, Israël [4], Jamaïque, Jordanie, Kenya, Kiribati, Kirghizstan, Koweït, Laos, Lesotho, Libéria, Macédoine, Madagascar, Malaisie, Malawi, Maldives, Mali, Malte, Maroc [5], Marshall, Maurice, Mauritanie, Mexique, Micronésie, Moldavie, Mongolie, Mozambique, Namibie, Nauru, Népal, Nicaragua, Niger, Nigeria, Niué, Oman, Ouganda, Ouzbékistan, Pakistan, Palaos, Panamá, Papouasie-Nouvelle-Guinée, Paraguay, Pérou, Philippines, Qatar, Congo-Kinshasa, République dominicaine, République tchèque, Rwanda, Saint-Vincent-et-les Grenadines, Sainte-Lucie, Salvador, Îles Salomon, Samoa, Seychelles, Soudan, Sri Lanka, Tanzanie, Thaïlande, Togo, Trinité-et-Tobago, Tunisie, Turkménistan, Tuvalu, Uruguay, Vanuatu, Venezuela, Viêt Nam, Yémen

S’y ajoute également la Communauté européenne (au nom de l’Union européenne à 25).

Les pays ayant signé mais pas ratifié le Protocole

3 pays industrialisés Australie, États-Unis, Monaco
1 pays en transition Croatie
2 pays en développement Kazakhstan, Zambie

De ces six pays, seuls les États-Unis et l’Australie ont exprimé leur intention de ne pas le ratifier. Les autres espèrent le ratifier rapidement.

Les autres pays n’ayant encore ni ratifié ni signé le Protocole

8 pays industrialisés Andorre, Bahreïn, Brunéï, Saint-Christophe-et-Niévès, Saint-Marin, Singapour, Taiwan [6], Vatican
3 pays en transition Croatie, Liban, Turquie
20 pays en développement Afghanistan, Angola, Bosnie-Herzégovine, Cap-Vert, République centrafricaine, Comores, Côte d’Ivoire, Gabon, Irak [7], Libye, Sao Tomé-et-Principe, Sierra Leone, Somalie, Suriname, Swaziland, Syrie, Tadjikistan, Tchad, Tonga, Zimbabwe

Source : Encyclopédie libre Wikipedia

Jérome Levet

Partenariats publics privés dans les pays en développement, l’expérience d’EDF

Exposé présenté par EDF au séminaire « Financer l’électricité pour la croissance en Afrique », organisé par l’Infrastructure Consortium for Africa à Yaoundé, en décembre 2006.

Ce document exposé par EDF au séminaire « Financer l’électricité pour la croissance en Afrique » présente l’expérience de EDF et ses recommandation en matière de partenariats publics privés dans les pays en voie de développement.


Voir aussi :

> Présentation du séminaire « Financer l’électricité pour la croissance en Afrique »

> Infrastructure Consortium for Africa (ICA)

Jérome Levet, René Massé

Financer l’électricité pour la croissance en Afrique

Séminaire du Consortium pour les infrastructures en Afrique, Tunis, 12 décembre 2006.

A l’initiative du Consortium pour les infrastructures en Afrique (ICA) et, avec l’appui de la Banque africaine de développement (BAD), le séminaire « Financer l’électricité pour la croissance en Afrique » s’est tenu le 12 décembre 2006 à Tunis (Tunisie).


Participants

Le séminaire a réuni une centaine de participants dont des représentants de haut niveau des compagnies de gestion de l’électricité, des financiers, des conseillers en transactions, des pôles énergétiques régionaux, des gouvernements, des communautés économiques régionales, du Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD)(FR), de l’Union africaine (UA)(FR), ainsi que des institutions régionales et internationales impliquées ou intéressées dans des projets électriques en Afrique.

Objectifs

Son objectif principal était de contribuer à la mobilisation de financements, pour des projets d’électricité d’envergure régionale en Afrique.

Plus spécifiquement, il s’agissait :

  • De sensibiliser les principales entreprises du secteur de l’énergie, les investisseurs, les cabinets d’affaires et de conseils, sur l’existence de projets d’infrastructures électriques, ayant des besoins de financement immédiats en Afrique ;
  • De jouer un rôle de plateforme d’échange de connaissances et de dialogue, entre les promoteurs de projets et le secteur privé.

Pour en savoir plus et télécharger certaines présentations données lors de la conférence voir la page dédiée du site de l’ICA sur le site de l’ICA.
Le document de présentation de la conférence donnée par EDF sur les expériences en matière de partenariat public-privé dans les pays en développement est également proposé ci-dessous.

Jérome Levet

Atelier sur l’électrification rurale à Yaoundé (Cameroun)

L’atelier sur l’électrification rurale à Yaoundé se tiendra du 18 au 20 avril 2007.

Le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE), le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) et e8, qui regroupe les plus grandes compagnies d’électricité des pays du G8, organisent un atelier sur l’électrification rurale à Yaoundé au Cameroun du 18 au 20 avril 2007.

Thèmes et objectifs

Cet atelier, dont la langue de travail sera le français, aura pour thème l’électrification rurale dans les régions de l’ouest et du centre de l’Afrique. Il vise à promouvoir des échanges de savoir-faire, notamment au niveau institutionnel et financier. Il s’appuiera également sur l’analyse de retours d’expériences et d’opérations concrètes.

Toutes les phases du développement d’un projet seront concernées. Les travaux conduiront à l’établissement de recommandations spécifiques pour :

  • Mieux définir un projet en fonction d’objectifs de développement durable ;
  • Réduire les coûts de transactions et les obstacles au développement des projets ;
  • Réduire la durée entre la conception d’un projet et sa mise en œuvre.

Participants

L’atelier s’adresse exclusivement aux membres invités des gouvernements et administrations des pays de la région, aux agences d’aide au développement, aux développeurs privés, aux représentants de collectivités et d’ONG impliquées dans l’électrification rurale dans ces régions.

René Massé

La production de glace, et le refroidissement

Fiche d’évaluation technique de l’Areed

L’Areed est un programme du PNUE (Programme des Nations Unies pour l’Environnement) pour la promotion des REEs (entreprises rurales d’énergie) ayant recours aux énergies renouvelables dans les pays d’Afrique.

L’Areed édite des fiches d’évaluations en Anglais afin d’apprécier le potentiel commercial des entreprises qui vendent des biens ou des services valorisant les énergies renouvelables.

Voici la fiche d’évaluation sur « La production de glace, et le refroidissement » en Anglais.

Elle présente :

  • Les différents produits commercialisables par cette technique ;
  • Le marché de la production de glace et du refroidissement par énergies renouvelables ;
  • Les techniques de la production de glace et du refroidissement par énergies renouveables ;
  • Des recommandations générales ;
  • Des études de cas et des références du domaine.

Voir également le site internet de l’Areed

La fiche d’évaluation sur « Le séchage des produits agricoles par l’énergie solaire »

La fiche d’évaluation sur « La cuisine à l’énergie solaire

Jérome Levet, René Massé

Catalogue des interventions dans le secteur de l’énergie du Mali

Document de présentation

Le document de présentation à télécharger ci-dessous est issus de l’atelier « Développement et Énergie en Afrique » (DEA) qui s’est tenu à Bamako en Octobre 2005.

Il présente quelques interventions ayant eu lieu au Mali en matière de développement énergétique (stratégies, impacts, perspectives…) :

  • la stratégie de L’énergie domestique (SED) ;
  • le projet femmes énergies nouvelles et renouvelables (FENR) ;
  • le projet plate-formes multifonctionnelles pour la lutte contre la pauvreté au Mali (PTF) ;
  • le projet de développement des Sociétés de Services Décentralisés (SSD) ;
  • le projet de valorisation énergétique des résidus agricoles.

Pour connaître d’autres projets énergétiques au Mali et la situation énergétique du pays voir l’article dédié.

Gret, Jérome Levet

Manuel pour les professionnels de la finance et du développement souhaitant financer des entreprises rurales dans le secteur de l’énergie

Manuel de formation de l’Areed

L’Areed est un organisme du PNUE (Programme des Nations Unies pour l’Environnement) pour la promotion des REEs (entreprises rurales d’énergie) ayant recours aux énergies renouvelables en Afrique.

L’Areed édite le « manuel du formateur de l’Areed », destiné à montrer aux établissements financiers que les entreprises de services énergétiques en milieu rural peuvent être rentables.

Il contient des informations pratiques sur les marchés ruraux de l’énergie et sur les entreprises qui proposent des technologies exploitant des énergies renouvelables ; il présente également des modèles de bonnes pratiques pour financer les projets.

L’Areed propose d’ailleurs de participer au financement de certains projets de développement de REEs.

Enfin, ce manuel est un complément du « guide des entrepreneurs du secteur de l’énergie de l’Areed ».


Voir également « les fiches d’évaluation technique » de l’Areed (voir la rubrique « ressources ») et le site internet de l’Areed.

Gret, Jérome Levet

Les partenariats publics-privés pour la gestion des infrastructures d’énergies rurales décentralisées en Afrique

Présentation de soutenance de mémoire, Noémie Zambeaux. DESS économie et politique de l’énergie /ADEME – 2005

Cette présentation est le fruit d’un travail de mémoire réalisé dans le cadre du DESS économie et politique de l’énergie et d’un stage à l’ADEME.

La présentation évoque la diversité des partenariats possibles et les intérêts à imaginer des solutions « publique/privée » dans le domaine de l’électrification rurale.

Les cas de pays africains les plus avancés en matière de montage organisationnel de programme d’électrification rurale ont été analysés.

Noémie Zambeaux

Guide de l’entrepreneur du secteur de l’énergie

African Rural Energy enterprise Development (AREED), Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE), E&Co, octobre, 2000

Le guide de l’entrepreneur du secteur de l’énergie, composé de quatre modules, est destiné à guider l’entrepreneur tout au long de ses démarches, de la collecte d’informations à la gestion du projet, en passant par l’analyse de faisabilité et la préparation du plan d’exploitation.

> A télécharger sur le site de l’Areed.

L’Areed est un organisme du PNUE (Programme des Nations unies pour l’environnement) pour la promotion des entreprises rurales d’énergie (REEs) ayant recours aux énergies renouvelables dans les pays en voie de développement.

Gret, Jérome Levet

L’électrification rurale pour le développement de 1995 à 2004

Bernard Devin et Michel Labrousse, contribution au séminaire international « Accès à l’énergie et lutte contre la pauvreté » de Ouagadougou (Burkina Faso), 2004.

Près de 10 ans après avoir organisé et animé le séminaire « Développement durable du monde rural : l’électrification décentralisée » de Marrakech (1995), les auteurs dressent un bilan de l’évolution du secteur de l’électrification rurale pour l’aide au développement.

René Massé