Une société canadienne annonce la mise au point d’une technologie permettant la fabrication d’une ampoule électrique révolutionnaire

Cette ampoule aurait une durée de vie de 20 ans et économiserait 90% de l’énergie consommée par une ampoule électrique incandescente traditionnelle.

Group IV Semiconductor Inc. (Group IV), EnCana Corporation et Technologies du développement durable Canada (TDDC) ont annoncé publiquement cette innovation à Ottawa (Canada) le 27 septembre 2006.

Le procédé consiste à faire passer du courant électrique au travers un film de silicium pour produire de la lumière par transformation directe de l’énergie en photon. Comme la presque totalité de l’énergie est convertie en lumière plutôt qu’en chaleur, cette technologie d’éclairage par semi-conducteur est beaucoup plus efficace que les technologies qui utilisent des filaments (comme dans celui des ampoules incandescentes), ou des gaz (comme dans le cas des lampes fluorescentes).

Les avantages potentiels de cette technologie sont nombreux. Une adoption massive au Canada entraînerait des économies d’électricité correspondant à presque le double de la consommation d’électricité annuelle des foyers de la ville de Toronto. La durée de vie de ce type d’ampoule pourrait atteindre 50.000 heures, comparée à 1.000 heures pour une ampoule à incandescence 5.000 heures pour les lampes fluorescentes compactes. Son utilisation serait possible avec les appareils d’éclairage actuels et la lumière blanche fournie serait d’une excellente qualité. L’ampoule ne serait pas chaude au toucher, ce qui la rendrait bien adaptée aux vitrines d’exposition et aux congélateurs, par exemple, où la chaleur peut représenter un problème. Enfin le coût de fabrication serait beaucoup plus bas que pour les autres solutions à semi-conducteurs comme les LED en raison de l’utilisation de silicium.

Le projet d’éclairage à semi-conducteurs du Group-IV-EnCana-TDDC prévoit de développer plus avant la technologie et faire la démonstration qu’elle peut être appliquée à des produits d’éclairage viables commercialement. Il dispose d’un budget de 9,1 millions de dollars canadiens, est piloté par Group IV, et se déroulera sur trois ans.

« Le nouveau gouvernement du Canada est fier de soutenir la recherche qui fait du Canada le premier pays du monde à mettre au point une ampoule électrique utilisant 90% moins d’énergie et pouvant durer 20 ans, a déclaré l’honorable Gary Lunn, ministre des Ressources naturelles. Lorsque cette technologie se retrouvera sur le marché, elle procurera des avantages réels et tangibles pour les Canadiens et pour l’environnement. »

Source : le site Internet de Technologies du développement durable Canada (EN)


À propos du Environmental Innovation Fund de EnCana

Le Environmental Innovation Fund d’EnCana a été créé en janvier 2004 pour aider à mettre en oeuvre la politique de responsabilité corporative d’EnCana en finançant des projets qui appuient le développement et la démonstration de nouvelles technologies énergétiques plus propres. Depuis sa création, le fonds a investi plus de 7 millions de dollars canadiens dans des projets internes et externes.

À propos de TDDC

Technologies du développement durable Canada (TDDC) est une initiative du gouvernement du Canada qui exploite un fonds de 550 millions de dollars canadiens pour financer et appuyer le développement et la démonstration de technologies propres et trouver des solutions aux problèmes de changement climatique. TDDC, organisme autonome sans but lucratif, comble le fossé dans la chaîne d’innovation entre les étapes de la recherche et de la commercialisation, en aidant les concepteurs de technologies propres à faire passer leurs produits et leurs solutions des phases préparatoires du développement et de la démonstration, à l’étape de la commercialisation. TDDC encourage la collaboration entre des partenaires privés, financiers, universitaires et publics, ainsi qu’avec le gouvernement canadien pour créer une infrastructure technologique du développement durable au Canada.
À ce jour, TDDC a mené à bien huit cycles de financement et investi un total de 217 millions de dollars canadiens dans 97 projets liés aux technologies propres. Ce montant s’est ajouté à un financement de 560 millions de dollars canadiens versé par d’autres partenaires, la valeur totale des projets s’élevant à 777 millions de dollars canadiens.

René Massé

400 000 lampes basse consommation distribuées au Rwanda, 600 000 en Ouganda, pour économiser l’énergie

Au Rwanda comme en Ouganda, la Banque mondiale et ESMAP soutiennent le remplacement gracieux de plusieurs centaine de milliers de lampes à incandescence par des lampes compactes fluorescentes, afin de diminuer les dépenses domestiques pour l’énergie, mais aussi pour réduire les rejets de gaz à effet de serre et se substituer à de nouveaux investissement dans des centrales thermiques de production.

Le ministère Rwandais des Infrastructures a commencé la distribution de 50 000 lampes compactes fluorescentes (CFLs), dans le cadre d’un projet de réhabilitation du secteur électrique financé par la Banque mondiale avec l’assistance technique de ESMAP. Ce projet vise à diminuer les dépenses des familles pour l’énergie, mais aussi à réduire les coupures d’électricité et à améiorer la qualité de l’approvisionnement en énergie de tous les clients.

Electrogaz, maître d’oeuvre du projet, distribuera in fine 400 000 lampes gratuitement. La première phase prévoit le remplacement de 200 000 lampes à incandescence par des CFLs, ce qui devrait réduire le pic de charge de 8 MW et se substituer à l’installation de nouveaux groupes diesels. On espère ainsi réduire les émissions de gaz à effet de serre de 50 000 tonnes d’équivalent CO2.

Un projet similaire est en cours d’exécution en Ouganda, avec le remplacement de 600 000 lampes à incandescence par des CFLs. Ce projet, qui s’inscrit dans un programme de transformation rurale, a également été conçu et financé par le groupe énergie de la Banque mondiale, avec l’assistance technique de ESMAP.

Contact : M. Ashok Sarkar

Source : http://esmap.org/

René Massé

Lancement du Fonds mondial de capital risque pour les pays en développement : Global Energy Efficiency and Renewable Energy Fund (GEEREF)

Annoncé en octobre 2006, la Commission européenne vient de créer le GEEREF, Global Energy Efficiency and Renewable Energy Fund, en français « Fonds mondial pour la promotion de l’efficacité énergétique et des énergies renouvelables ».

Cette information a été annoncée à la réunion des Contractants du programme européen COOPENER, organisée du 5 au 7 mars 2007 à Berlin, en marge du Forum Europe-Afrique sur l’énergie.

C’est la concrétisation de la proposition faite par la Commission européenne en octobre 2006 concernant la création d’un Fonds mondial de capital-risque destiné aux pays en développement et les économies en transition, pour y développer l’investissement privé dans les projets de promotion de l’efficacité énergétique et des énergies renouvelables.

Le Fonds mondial pour la promotion de l’efficacité énergétique et des énergies renouvelables (Geeref) accélérera la mise au point, le transfert et le déploiement de technologies respectueuses de l’environnement et contribuera ainsi à la stabilité de l’approvisionnement en énergie des régions les plus pauvres du monde.

Les projets qu’il financera contribueront également à la lutte contre le changement climatique et la pollution atmosphérique. La Commission compte doter le Fonds d’une contribution de démarrage de 80 millions € pour la période 2007-2013 et s’attend à ce que d’autres sources publiques et privées portent cette dotation à au moins 100 millions €. Le Fonds permettra ainsi de financer des projets d’investissement pour près de 1 milliard €.

Pour plus d’informations, lire ce document de la Commission européenne.

Pépin Tchouate, René Massé

Support pédagogique pour la conception de l’éclairage électrique

Introduction à l’éclairage électrique et bases d’éclairagisme. Olivier Normand, ESF (Electriciens sans frontières), novembre 2005

Voici une série de modules pédagogiques destinés à tous ceux qui ont à concevoir un éclairage électrique.

Présenté sous la forme d’un diaporama, ce document est un véritable outil de conception et de dimensionnement d’un dispositif d’éclairage. Il a été conçu par Electriciens sans frontières (ESF) avec un souci de la pédagogie, conduisant l’expert progressivement, en sept étapes complémentaires :

  • Introduction à ce qu’est la lumière et la perception visuelle que nous en avons ;
  • Les grands principes de l’éclairage ;
  • Les principales règles et grandeurs photomètriques à respecter ;
  • La production de lumière électrique ;
  • Un guide pour bien choisir son éclairage ;
  • un guide de dimensionnement du dispositif d’éclairage ; et
  • un rappel des consignes de sécurité et des conseils pour l’entretien des installations.

Imedia, Olivier Normand

Contre le réchauffement, l’Australie bannit les ampoules classiques

Le Gouvernement australien interdit la vente d’ampoules incandescentes à partir de 2010 pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et le réchauffement climatique de la planète.

Dépêche de l’AFP du 20/02/2007 parue sur le site internet TV5 info



L’Australie, souvent critiquée pour n’avoir pas signé le protocole de Kyoto visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre, a annoncé mardi 20 février 2007 qu’elle allait remplacer d’ici 2010 les ampoules électriques classiques par des fluorescentes, plus économes en énergie (voir photo ci-contre : à droite, une ampoule électrique classique, à gauche une ampoule fluorescente).

Revendiquant une première mondiale, au moins en ce qui concerne une décision nationale, le ministre de l’Environnement M. Malcolm Turnbull a assuré qu’interdire les ampoules traditionnelles « dans le monde entier réduirait la consommation d’électricité d’un montant équivalent à cinq fois les besoins annuels de l’Australie« .

« Le réchauffement climatique est un défi à l’échelle de la planète. J’encourage les autres pays à suivre l’exemple de l’Australie et à adopter des produits plus économes comme les ampoules fluorescentes« , a ajouté le ministre.

Le Premier ministre conservateur John Howard, fervent opposant du protocole de Kyoto, a loué une décision « réaliste« , par opposition aux « nombreuses choses trop alarmistes qui sont dans l’air« .

A l’approche d’élections générales prévues d’ici la fin de l’année 2007, M. Howard a adouci sa position sur le réchauffement climatique, à la suite d’une prise de conscience accrue de la population, en raison notamment de la sécheresse historique que subit le pays-continent déjà le plus sec au monde.

Source : http://www.tv5.org

Jérome Levet

Atelier régional sur les énergies renouvelables et la lutte contre la pauvreté en Afrique

Atelier de formation à l’utilisation des énergies renouvelables dans la lutte contre la pauvreté, organisé par le GNESD, les autorités sénégalaises (ministère de l’Energie), ENDA, GTZ/PERACOD, à Dakar (Sénégal) du 21 au 23 Mars 2007.

De bonnes pratiques pour un accès large et durable des populations aux services énergétiques

Objectifs

Cet atelier est une plate-forme d’échanges, destiné à faire un panorama des expériences éprouvées en matière de promotion de l’emploi et de l’usage productif des énergies renouvelable (ER). L’objectif est d’aider les pays africains à bâtir des visions et politiques appropriées.

Il s’agit notamment :

  • D’accroître la sensibilité des décideurs sur la nécessité d’adopter et de mettre en œuvre des politiques ambitieuses, pour valoriser à grande échelle l’énergie propre et l’efficacité énergétique afin de mieux lutter contre la pauvreté et d’atteindre les OMD ;
  • De définir à partir des pratiques recensées, des orientations pour améliorer l’environnement institutionnel des secteurs de l’énergie ;
  • D’initier un processus de concertation sur l’articulation ER/EE (efficacité énergétique) et sur les stratégies nationales et régionales en vigueur ou en cours d’élaboration ;
  • D’élaborer une note de position dans la perspective de la CSD 15 [1].

Organisation

Pour atteindre ces objectifs, l’atelier sera organisé suivant quatre sessions thématiques :

  • Introduction ;
  • Défis de l’ER ;
  • Mécanismes de financement viables pour accroître l’accès aux ER ;
  • La bio énergie : perspectives de contribution à la lutte contre la pauvreté en Afrique ;

suivies d’une table ronde :

  • Comment accroître l’accès des groupes vulnérables aux services énergétiques propres ?

Une exposition d’entreprises et de technologies d’ER est également prévue en marge de l’atelier.

Participants

L’audience attendue est composée de :

  • représentants des centres d’excellence membres du GNESD et des membres de AREED ;
  • représentants gouvernementaux des pays, des collectivités locales, des législateurs, des agences d’électrification rurale et des centres de recherche ;
  • représentants des institutions financières et du secteur privé ; Associations, ONG, etc… ;
  • représentants des organisations régionales-clés : NEPAD, CEDEAO, UEMOA, SADC, UMA, IGAD, CILSS, FAGACE, UA, … ;
  • Les représentants de la Banque Africaine de Développement (BAD/FINESSE), du Conseil Mondial de l’Energie, de l’Agence Allemande de coopération internationale, de l’EUEI/PDF, et autres agences multilatérales (PNUE, PNUD, Banque Mondiale).

Pour en savoir plus, télécharger ci-dessous le document de présentation de l’atelier :

Jérome Levet, René Massé

Eclairage économe en énergie et peu polluant, les LEDS

Les diodes électro luminescentes (DELs) ont atteint l’age adulte et sont diffusées largement par une ONG canadienne, Light Up The World Foundation (LUTW).

Jusqu’à présent, LUTW a équipé plus de 14 000 ménages dans 42 pays, apportant un éclairage économe et de qualité à environ 100 000 personnesn avec un impact minimum sur l’environnement.

Light Up The World Foundation (LUTW) est une ONG canadienne qui développe des projets d’éclairage dans des villages de pays en voie de développement.

Elle utilise une technologie moderne, accessible, efficace et peu polluante d’un point de vue environnemental global : des diodes électro luminescentes (DELs) alimentés par des kits photovoltaïques.

Jusqu’à présent, l’ONG a équipé plus de 14 000 ménages dans 42 pays, soit environ 100 000 personnes, qui ont ainsi pu bénéficier d’un éclairage de qualité, améliorant sensiblement leurs conditions de vie tout en préservant l’environnement.

René Massé

Les diodes électro luminescentes (DEL)

DEL, technologie d’éclairage très basse consommation.

Pour leur faible consommation énergétique et leur bonne luminosité, les récentes DELs, intéressent à la fois les pays développés et les pays en développement.

Une diode électro luminescente (DEL ou LED en Anglais : Light Emitting Diode) est un composant électronique en silicium capable d’émettre un signal lumineux lorsqu’il est faiblement alimenté électriquement.


Diodes Electro Luminescentes
A l’origine utilisée pour réaliser de faibles signaux lumineux (veilles d’appareils électroménagers par exemple), de récentes avancées ont permis de développer des DELs de bonne luminosité. Vu leur faible consommation énergétique, elles ont une efficacité redoutable et pourraient donc rapidement remplacer toutes les ampoules traditionnelles.

Avantages

  • Une très faible consommation électrique (quelques dizaines de milliwatts, mais il faut associer de nombreuses DELs pour obtenir l’équivalent d’une lampe classique) ;
  • une durée de vie beaucoup plus longue qu’une lampe à incandescence, et une fin qui se déclare par une baisse de rendement progressive et non par un claquage brusque ;
  • un fonctionnement en très basse tension (TBT) gage de sécurité des installations.

Inconvénients

  • Les diodes dites blanches reconstituent ce blanc par un panachage de seulement quelques longueurs d’onde et non un spectre continu comme les lampes halogènes ou à incandescence simple. Le résultat est perçu par quelques usagers comme donnant une atmosphère « froide » aux intérieurs ;
  • en 2006, le prix à l’achat des DELs reste deux à quatre fois plus élevé que celui d’une lampe classique, à luminosité égale (mais elles durent bien plus longtemps et consomment beaucoup moins d’énergie électrique…) ;

Utilisations

Le rendement des DELs est tel, que montées en nombre suffisant, elles pourront être employées en remplacement des ampoules à incandescence classiques et même des tubes fluorescents :

  • dans les pays développés : elles permettront de réaliser de substantielles économies d’énergie avec un impact significatif sur la pollution globale ;
  • dans les pays en développement : elles permettront à des populations ayant de faibles ressources énergétiques (populations rurales par exemple) de s’éclairer à moindre coût et à pollution restreinte.

Pour en savoir plus, voir :

> la page de l’encyclopédie libre Wikipedia consacrée aux DELs ;

> le site internet francophone complet (actualités, techniques…) dédié aux DELs : http://www.led-fr.net ;

> et celui encore plus complet, en Anglais : http://www.led-professional.com/

> l’ONG « Light Up The World » (LUTW) qui réalise des projets de développement de l’éclairage de villages de pays en voie de développement à base de DELs.

Jérome Levet

L’hydraulique pour pallier les irrégularités de l’éolien

Une récente étude allemande démontre qu’un couplage optimal de l’hydraulique à l’éolien pourrait permettre de diminuer de 90% le recours aux sources d’énergie traditionnelles généralement nécessaires pour compenser les irrégularités de production de l’éolien. En raison de l’irrégularité du vent, la production éolienne est très irrégulière. Ceci génère deux types de problèmes : Lorsque le vent est trop fort, les éoliennes peuvent être en surproduction. Or, une surproduction est toujours une situation délicate à (…)

Une récente étude allemande démontre qu’un couplage optimal de l’hydraulique à l’éolien pourrait permettre de diminuer de 90% le recours aux sources d’énergie traditionnelles généralement nécessaires pour compenser les irrégularités de production de l’éolien.

En raison de l’irrégularité du vent, la production éolienne est très irrégulière. Ceci génère deux types de problèmes :

  • Lorsque le vent est trop fort, les éoliennes peuvent être en surproduction. Or, une surproduction est toujours une situation délicate à gérer ;
  • Lorsque le vent est trop faible, elles produisent peu et les fournisseurs sont contraint de recourir à des énergies fossiles, fortement émettrices de gaz à effet de serre, pour subvenir à la demande.

Cette étude montre que les centrales hydrauliques à pompe se révèlent particulièrement adaptées pour pallier ce défaut :

  • En cas de surproduction électrique par les éoliennes, le surplus peut être utilisé pour pomper l’eau du bassin inférieur pour la remonter jusqu’au bassin supérieur ;
  • Si l’offre électrique devient inférieure à la demande, l’énergie potentielle ainsi stockée est libérée en relâchant l’eau du bassin supérieur à travers une turbine qui la convertie en électricité.

Voici l’intégralité de l’article du bulletin électronique qui rapporte cette information.

Jérome Levet, René Massé

Appel à publication : "énergies renouvelables dans la chaine alimentaire"

Appel à publication lancé par WISIONS le 4 décembre 2006 dans le cadre du programme Promotion des projets utilisant efficacement les ressources (PREP).

WISIONS s’intéresse entre-autres à l’utilisation des énergies renouvelables dans la chaine alimentaire et prépare une publication sur ce sujet. Dans ce cadre, WISIONS cherche à identifier 5 projets qui ont prouvé leur efficacité dans ce domaine pour publier cinq articles sur leurs réalisations. Chaque projet retenu recevra une subvention de 500 euros.


Plus spécifiquement la proposition incluent les projets œuvrant au niveau :

  • des cuisinières, des fours, des dispositifs de stockage ou des séchoirs :
    • utilisant l’énergie solaire ;
    • utilisant du biogaz ;
    • utilisant d’autres énergies renouvelables ;
  • des ménages ou des entreprises.

Comment participer ?

  • Décrivez brièvement votre projet en soulignant : la qualité de son implication dans le développement des énergies renouvelables, son implication dans la chaine alimentaire et envoyez cette description à info@wisions.net.
  • Par retour de mail, WISIONS vous donnera une réponse. Si vous êtes sélectionné, un formulaire vous sera également adressé, que vous retournerez rempli à WISIONS.
  • Votre projet sera alors publié dans la brochure PREP et/ou sur la page d’accueil du site internet de WISIONS.
  • Si votre projet a été choisi pour la publication, vous recevrez alors une subvention de 500 euros.

Toutes les brochures PREP seront disponibles en versions papier et en version électronique et seront largement diffusées.


La date limite de dépôt des dossiers est fixée au 31 janvier 2007
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En savoir plus :

> WISIONS
> La page consacrée à cette initiative sur le site internet de WISSIONS (EN)

Jérome Levet