Chili : crédits carbone pour deux sites de production de biogaz

La société Bionersis a fait enregistrer par le Secrétariat Général du Protocole de Kyoto (UNFCCC) deux sites chiliens de valorisation de biogaz, à Quilpue et San Felipe. Elle a déposé une demande de validation pour un site en République Dominicaine, qui serait la plus importante installation de valorisation du biogaz de décharge qu’elle n’ait jamais réalisée.

La société Bionersis est spécialisée dans la valorisation du biogaz de décharge, impliquée principalement dans les pays d’Amérique Latine et d’Asie.

Les réductions cumulées d’émissions de gaz à effet de serre devraient représenter environ 270 000 tonnes équivalent CO2 sur les dix prochaines années, avance la société spécialisée dans la valorisation du biogaz de décharge.

Ces nouveaux enregistrements permettront à Bionersis d’obtenir des crédits-carbone de type CER (Certified Emission Reduction) négociables sur les marchés d’échange internationaux, dans le cadre de la procédure CDM (Clean Development Mechanism) du Protocole de Kyoto.

Forte de ce succès, la société vante la pertinence de son modèle, qui intègre l’ensemble des étapes de développement des projets. A ce jour, cinq sites de valorisation de biogaz de décharge développés par la société sont enregistrés par l’UNFCCC, positionnant la société comme l’un des principaux développeurs français de projets CDM.

Un autre projet en préparation en République Dominicaine

Bionersis envisage de valoriser la décharge « La Duquesa », qui s’étend sur une superficie de 124 hectares et collecte les ordures ménagères de l’agglomération de Santo Domingo, capitale de la République Dominicaine. Un dossier a été déposé le 15 novembre 2008 auprès de
l’UNFCCC, pour être soumis à validation par le Secrétariat
Général du Protocole de Kyoto. L’exploitation de ce site permettrait d’atteindre une réduction moyenne annuelle de gaz à effet de
serre (GES) estimée à plus de 300 000 tCO2e sur une période de 10 ans (2009-2019).

Ce projet représente à lui seul un volume équivalent à l’ensemble des projets développés par Bionersis jusqu’à ce jour. Tenant compte de l’ampleur de l’investissement, ce projet sera réalisé en plusieurs tranches, dont la première sera financée sur fonds propres.

Le volet énergétique du projet, qui sera développé ultérieurement, représente une puissance électrique installée potentielle de 10 MW.

Le document (en anglais) détaillant le projet de « La Duquesa » (Project Design Document – PDD) peut être consulté sur cette page du site de l’ UNFCCC

Contacts pour le projet au Chili :

François Galaine
Tel +33 9 60 08 88 49

Courriel : francois.galaine@bionersis.com


Source : un article publié sur le site Enerzine.

René Massé

Brésil : inauguration de la centrale hydroélectrique de Sao Salvador

GDF Suez, à travers sa filiale Tractebel Energia, a inauguré le 5 février 2009 une nouvelle centrale hydroélectrique à Sao Salvador.

La nouvelle centrale hydroélectrique de São Salvador, d’une puissance installée de 241 MW, produira suffisamment d’énergie pour approvisionner une ville d’un million d’habitants.

La centrale représente un investissement total d’environ 307 millions d’Euros, dont 37 millions assignés à des programmes sociaux et environnementaux ayant pour objectif de préserver la faune et la flore et d’aménager de nouvelles habitations pour la population. Les travaux de la centrale ayant été entamés il y a 32 mois, São Salvador sera en mesure de respecter ses engagements vis-à-vis du régulateur brésilien de l’électricité et de fournir ainsi de l’électricité avec un an d’avance, explique l’entreprise.

Dans le cadre d’enchères réalisées au Brésil en 2006, GDF Suez avait déjà vendu la production moyenne annuelle garantie de la centrale, soit un total de 148,5 MW. Ces contrats d’achat d’électricité sur 30 ans représentent une valeur globale de 2 Milliards d’Euros.


Source : Challenges.fr

Xavier Dufail

Burkina Faso : atelier de réflexion au 2iE sur les opportunités de collaboration Amérique Latine- Afrique dans le domaine des bio-énergies

Le lundi 1er décembre 2008 ont commencé les travaux de l’atelier de réflexion sur les opportunités de collaboration Sud- Sud (Amérique Latine- Afrique) dans le domaine des bio-énergies, sous l’autorité de M. Amara ESSY, président de la Fondation du 2iE.

M. Amara ESSY avait à ses côtés les Ambassadeurs des États-Unis d’Amérique et du Brésil, le représentant de l’Union européenne et le Directeur général du 2iE.

Cet atelier organisé par l’Institut International de l’Engénierie de l’Eau et de l’Environ,nement – le 2iE-, le projet BEPINET et soutenu par l’Union Européenne regroupe des participants venus du Brésil, de l’Equateur, de France et du Burkina Faso. Durant 5 jours ils échangeront leurs expériences dans le domaine des bio-énergies.

René Massé

Haïti : la BID finance la réhabilitation de la principale centrale hydroélectrique de l’Electricité d’Haïti

La Banque interaméricaine de développement (BID) a approuvé le 2 décembre dernier un don de 12.5 millions de dollars pour soutenir la réhabilitation de la principale centrale hydroélectrique de l’Electricité d’Haïti (EDH) et améliorer la fiabilité de l’approvisionnement d’énergie renouvelable pour Port-au-Prince.

« On attend que la réhabilitation de la CHP permette à Haïti d’augmenter la génération d’énergie renouvelable à bas prix et de réduire les dépenses d’importation de carburant fossile, qui produisent des gaz à effet de serre », précisent les responsables de la BID.

La centrale hydroélectrique de Péligre, en service depuis 1971, possède trois turbines avec une capacité de production totale de 54 mégawatts. Mais, la CHP ne produit aujourd’hui que la moitié environ de ce potentiel, en raison de la diminution du volume d’eau dans le barrage liée à la sédimentation et de la dégradation de ses équipements électromécaniques.

« Les ressources de la BID financeront les investissements pour la première étape du programme de réhabilitation, dont les coûts totaux ont été estimés à environ 40 millions de dollars », précise le communiqué de la BID faisant remarquer que les deux étapes suivantes pourront être couvertes par le Fond pour le Développement International de l’Organisation de Pays Exportateurs de Pétrole (OPEP) et une autre donation de la BID.

Au cours des trois étapes les 3 turbines de génération, les équipements électriques communs et la ligne de transmission qui relie la centrale à Port-au-Prince seront réhabilités.

Le programme s’échelonnera sur une période de 5 ans et sera placé sous la responsabilité du Ministère de Travaux Publiques et de l’EDH.


Source : un article diffusé le samedi, 6 décembre 2008, sur le site de Metropole Haïti.

René Massé

Guyane : le Groupe VOLTALIA SA et la Caisse des Dépôts s’associent pour le développement de projets de production d’électricité à base d’énergies renouvelables

Au travers de ce partenariat, le groupe VOLTALIA assure le co-financement de ses projets et conforte son objectif de devenir le premier producteur autonome d’ électricité à base d’énergies renouvelables en Guyane, par la complémentarité de ses savoir-faire de développeur et de producteur.

La Caisse des Dépôts investit 3,1 ME pour entrer à hauteur de 20% au capital de la société VOLTALIA Guyane. Cet apport sera réévalué en 2009, 2010 et 2011 en fonction du développement des projets dans les filières biomasse, photovoltaïque et hydraulique, au-delà d’une puissance cumulée de 20,1 MW.

En entrant au capital de VOLTALIA Guyane, la Caisse des Dépôts entend contribuer à la réalisation de projets locaux de production d’énergie, conformément aux objectifs des pouvoirs publics de développement de capacités de production non émettrices de gaz à effet de serre, enjeu essentiel pour ce territoire ultra-marin.

VOLTALIA Guyane disposera à fin 2008 d’une centrale biomasse (1,7 MW) couplée à une première unité solaire en toiture (0,2 MW). Le chantier d’une usine hydroélectrique de 4,5 MW sur la MANA a été ouvert pour une mise en production fin 2009 et un parc solaire de 6 MW doit être mis en chantier dans les prochaines semaines.
A ces premières installations s’ajoutent une dizaine de projets pour une capacité supplémentaire de 30 MW environ, portant l’objectif des deux partenaires à une quarantaine de MW installés d’ici cinq ans. L’ensemble du programme portera sur un montant total d’investissement devant atteindre 180 ME pour une production annuelle cumulée d’environ 130 Gwh.

A propos de VOLTALIA

VOLTALIA est un producteur d’électricité à base d’énergies renouvelables et opérateur en crédits carbone. Le Groupe développe des projets multi-énergies : hydraulique, éolien, biomasse et solaire. VOLTALIA est actuellement présent en France métropolitaine, en Guyane, au Brésil et en Grèce. VOLTALIA est cotée au Marché Libre d’Euronext Paris depuis mai 2006 (FR000302224-MLVLT).

A propos de la Caisse des Dépôts

La Caisse des Dépôts est un investisseur français de long terme au service de l’intérêt général et du développement économique. Dans le cadre de son plan stratégique « Elan 2020 », elle fait de l’environnement une priorité. Elle entend contribuer, par ses investissements dans les projets locaux, au développement des filières d’énergie renouvelable et à l’atteinte des objectifs nationaux et européens de production d’énergie verte. Elle accompagne ainsi les collectivités en tant qu’actionnaire des Entreprises Publiques Locales (EPL), notamment dans l’évolution statutaire des entreprises locales de distribution. Elle soutient également le développement d’acteurs émergents dans le domaine des énergies renouvelables : éolien, photovoltaïque, géothermie, biomasse et valorisation des déchets. Ses investissements dans les projets d’énergies renouvelables se sont élevés à près de 30 ME en 2007 et devraient atteindre 50 ME en 2008.

Contacts

VOLTALIA : Robert Dardanne, Tel : +33 (0)1 40 88 96 10. Courriel : r.dardanne@voltalia.com

CAISSE DES DEPOTS : Philippe Joyeux, Tél. : 01 58 50 40 00. Courriel : philippe.joyeux@caissedesdepots.fr


Source : un communiqué de presse diffusé par Hugin, diffusé le 1er décembre 2008 sur le site de LCI

René Massé

Best Practices For Sustainable Development Of Micro Hydro Power In Developing Countries

Smail Khennas et Andrew Barnett, en association avec le London Economics & deLucia Associates, Cambridge Massachusetts, USA. 199 pages, 2000.

Ce rapport synthétise les expériences du développement de la filière microhydraulique au Sri Lanka, Pérou, Népal, Zimbabwe et Mozambique.

Ce rapport essaye d’extraire les bonnes pratiques de l’analyse de ces expériences. Des centrales hydro-électriques micro sont définies en tant qu’installation ayant une capacité entre 10 kilowatts et 200 kilowatts.

Le document fournit une analyse économique comparative fine et rigoureuse du coût et des retours financiers d’un échantillon d’installations situées dans ces cinq pays. Il propose aussi des éléments macroéconomiques, financiers et institutionnels qui semblent importants pour le développement de cette filière.

Ce document est téléchargeable à l’adresse suivante :
http://www.microhydropower.net/down….

Imedia

Un rapide coup d’œil sur les potentiels bioénergétiques mondiaux d’ici à 2050

Cette étude réalisée en mars 2004 présente une analyse complète des potentiels de production théoriques en matière de bioénergie, en s’appuyant sur les meilleures connaissances disponibles.

« A quickscan of global bio-energy potentials to 2050. An analysis of the regional availability of biomass resources for export in relation to
the underlying factors ».

Auteurs : Edward Smeets, André Faaij, and Iris Lewandowski

Mars 2004

122 pages en anglais

Cette étude identifie les éléments clés permettant de déterminer le potentiel de production de la bioénergie, à savoir : la croissance démographique, la consommation alimentaire par habitant, la demande de bois, les rendements des cultures et l’efficacité de la production dans le système de production animale – et le potentiel pour accroître les récoltes à travers des systèmes de gestion plus intensifs–, la croissance naturelle de la forêt et la production de bois issu des plantations.

Les résultats indiquent que, pour produire de la bioénergie à partir de plantes spécialement prévues pour cet usage, le facteur clé est d’utiliser le même type de système de gestion agricole que celui appliqué aux cultures vivrières. Si un type de gestion agricole est appliqué à l’instar de la meilleure technologie disponible dans les régions industrialisées, le monde sera alors capable de produire suffisamment de nourriture pour répondre à la demande projetée en 2050, ceci en utilisant seulement une fraction des terres agricoles actuelles.

Les régions avec les plus forts potentiels en matière de production bioénergétique sont l’Afrique subsaharienne (entre 0,1 et 0,7 Gha d’excédents de terre, soit un équivalent compris entre 31 et 317 EJy-1 de bioénergie en 2050), les Caraïbes (2 Gha) et l’Amérique latine (entre 0,2 et 0,6 Gha, soit entre 47 et 221 Ejy-1 en 2050).


Source : article publié sur le site du Centre Technique Agricole de Wageningen (CTA) le 27 juillet 2007, avec le document en anglais en libre téléchargement ici.

René Massé

Colombie : fournir un accès au gaz naturel à des familles pauvres

Plaquette de présentation du projet de fourniture de gaz naturel à des familles pauvres en Colombie. Ce projet a été soutenu financièrement par le Global Partnership for Output Based Aid (GPOBA).

« Output-Based Aid in Colombia. Connecting poor households to natural gas service »

Auteurs : Cledan Mandri-Perrott (Banque mondiale) et Dominic Patella (intern au GPOBA)

Edité dans la collection « OBA Approach », n°17

En novembre 2007

4 pages en anglais

Cette note de présentation et de capitalisation montre que le gaz naturel peut aussi apporter de substantiels bénéfice aux familles pauvres. Le gaz naturel est plus sur, moins couteux, et moins polluant que les autres combustibles de cuisson.

Mais, si le combustible gaz naturel est moins couteux, par contre les coûts de connexions empêchent les pauvres de quitter leur combustible traditionnel pour le gaz naturel. C’est pourquoi le GPOBA a soutenu ce projet de subvention des coûts de connexion au bénéfice des familles pauvres. Il a été mis en œuvre par la Fundación Promigas, une institution de charité initiée par la compagnie colombienne de distribution du gaz, Promigaz.

Ensemble, ils envisagent de donner un accès au gaz naturel à 35 000 familles pauvres en Colombie, dans les régions de la cote et du sud-ouest. Avec une subvention pour la connexion, ce projet apporte un accès durable à une énergie moderne, c’est à dire un bénéfice financier et social de long terme.


Pour plus d’informations, voir cette note en ligne sur cette page du site du GPOBA, ou télécharger la note (en anglais) ci-dessous.

Voir aussi la présentation du GPOBA et ses autres publications sur son site : http://www.gpoba.org/ (EN).

René Massé

Europe : publications de l’European Biofuels Policy (EBP)

Ce programme de recherche est destiné aux acteurs européens engagés dans des politiques de valorisation des biocarburants. Il rassemble les données détaillées, produit des analyses comparatives de programmes… apportant ainsi matière à réflexion et préparant les décisions politiques des États membres de l’Union européenne. Mais, ces analyses ne sont pas sans intérêt pour les pays en développement : d’une part, ils bénéficieront de certaines informations techniques, et d’autre part, ils auront de l’intérêt pour les analyses qui les impliquent en amont des filières d’approvisionnement en biocarburants.

Pour de plus amples informations : ebp-gem@sciences-po.fr

Coordinateur du programme : M. Luiz Fernando do Amaral

Courriel : luiz.amaral@sciences-po.org

Tél : +33 (0)6 37 60 14 25

Introduction au Groupe d’Economie Mondiale de Sciences Po (GEM)

La richesse d’une nation dépend largement de la qualité de ses institutions et régulations, donc de sa capacité à les évaluer. Le Groupe d’Economie Mondiale de Sciences Po (GEM) est un centre de recherche indépendant qui cherche à promouvoir, en France et en Europe, cette indispensable « culture de l’évaluation » dans le monde ouvert du début du XXIème siécle. Depuis 2004, le GEM mène cet objectif dans le cadre d’une initiative commune avec l’AEI-Brookings Joint Center for Regulatory Studies.

Parallèlement à la gamme de problématiques commerciales et de réformes régulatoires, le GEM traite quatre problèmes dont le programme « The European Biofuels Policy » (EBP).

The European Biofuels Policy (EBP)

L‘European Biofuels Policy (EBP) est un programme de recherche, conduit par le GEM depuis mars 2007. L’objectif du programme est de fournir des données détaillées et des analyses de fond sur les mesures prises par les pays européens dans le domaine des biocarburants. Le but est de faciliter l’évaluation des politiques – actuelles et futures – menées dans ce secteur et de permettre d’établir des comparaisons internationales afin de contribuer au débat public. EBP vise également à proposer et à promouvoir des alternatives aux politiques actuellement menées, sur la base d’analyses économiques objectives et constructives.

Publications récentes de EBP

Voici quelques publications récentes intéressantes (en anglais) :

  • « Biofuels : at what Cost ? Government support for ethanol and biodiesel in the European Union »Global Subsidies Initiative

    Par Géraldine Kutas, Carina Lindberg et Ronald Steenblik

    Octobre 2007

    Disponible en libre téléchargement sur ce site ou en bas de cet article.

  • « Ethanol boom in the US : an export opportunity for the Caribbean and Central American countries ? »Revue Visages d’Amérique Latine

    Par Luiz Fernando do Amaral et Géraldine Kutas

    Septembre 2007

    Disponible en libre téléchargement sur ce site ou en bas de cet article.

  • « EU and US Policies on Biofuels : Potential Impacts on Developing Countries »German Marshall Fund of the United States

    Par M.S. Jank (coordinateur), G.Kutas, A. M. Nassar et L.F do Amaral.

    Mai 2007

    Disponible en libre téléchargement sur ce site ou en bas de cet article.

  • Statistiques récemment mises en ligne :
    • Production et capacité de production de biodiesel et de bioéthanol de l’Union européenne ;
    • Utilisation actuelle et future d’intrants agricoles dans la production européenne d’éthanol (télécharger ce document en anglais sur cette page) ;
    • Utilisation actuelle et future des surfaces oléagineuses européennes pour la production de biodiesel (télécharger ce document en anglais sur cette page).

René Massé

Haïti : la BID offre 750 mille dollars américains pour réhabiliter la centrale hydroélectrique de Péligre

La Banque interaméricaine de développement (Bid) a approuvé, le 8 janvier 2008, un don de coopération technique de 750 000 dollars américains pour la préparation du programme de remise en état de la centrale hydroélectrique de Péligre (CHP) en Haïti.

L’objectif, selon la Bid, est d’identifier les activités nécessaires à la remise en état et au fonctionnement efficace de la centrale hydroélectrique de Péligre qui fournit 25% de l’énergie publique en Haïti.

Une partie de ces ressources, soit 550 000 dollars, proviendra du Fonds d’infrastructure de la Bid (Infrafund), les autres 200 000 dollars américains du Fonds des opérations spéciales (Fos) de l’institution.

Ce programme vise à renforcer la capacité opérationnelle des installations hydroélectriques en améliorant ses équipements de façon général, et sa partie électromécanique en particulier, afin d’accroitre la production électrique.

Le projet sera mis en œuvre en coordination avec l’entreprise publique Electricité d’Haïti (Edh).


Source : un article diffusé le samedi 12 janvier 2008 surle site de Alter Press, le réseau alternatif haïtien d’information.

René Massé