Maroc : Conférence internationale sur l’électrification rurale : Appel à communication

Les experts internationaux ont jusqu’au 31 octobre 2007 pour soumettre une intention de communication aux organisateurs. les experts sélectionnés par le Comité scientifique (le 15 novembre) auront jusqu’au 30 novembre 2007 pour remettre leurs écrits et présentations sur Powerpoint définitifs.

La Conférence internationale sur l’Electrification rurale – CIER 2008 – qui se tiendra à Marrakech (Maroc) du 23 au 25 janvier 2008, a déjà été présentée sur ce portail (voir l’article).

Les organisateurs lancent un Appel à communication que vous pourrez télécharger ci-dessous ou retrouver sur le site de CIER 2008. Cet appel s’adresse à des conférenciers qui disposent d’une expertise prouvée dans le domaine de l’électrification rurale et du secteur de l’électricité en Afrique

Si l’organisation ne rémunère pas les intervenants pour leur présentation, par contre les frais de déplacement et d’hébergement seront pris en charge par les organisateurs, suivant des modalités qui seront précisées à chaque intervenant par les organisateurs.

Pour plus d’information sur cette Conférence, vous pouvez visiter le site du CIER 2008.

Les intentions de communication et les documents complets sont à envoyer à Autograph par courriel à : contact@autograph.ma avec copie à M. N. Dhaiby, à dhaiby@one.org.ma.

René Massé

Maroc : la construction de la centrale hybride solaire – gaz naturel confiée à la société Abener

Le grand groupe espagnol d’ingénierie et de construction industrielle Abengoa a annoncé mercredi 20 juin 2007 à Madrid que sa filiale Abener a signé avec l’Office national de l’électricité (ONE) le contrat de construction d’une centrale thermo-solaire à Aïn Béni Mathar (sud d’Oujda) pour un montant de 469 millions d’euros.

La mise en route des unités de production de la centrale d’Aïn Béni Mathar est prévue à partir du 1er trimestre 2009.

Le Conseil des Administrateurs de la Banque mondiale (BM) a approuvé le 29 avril 2007 un don du Fonds pour l’Environnement mondial (FEM) d’un montant de 43,2 millions de dollars américains au Maroc. Le projet est financé également par la Banque Africaine de Développement (BAD) et par l’ONE. Ces financements sont destinés à la construction d’une centrale électrique hybride à Aïn Béni Mathar, à environ 80 km au sud de la ville d’Oujda. L’information détaillée et les documents préparatoires du projet sont proposés dans cet article du Riaed.

A l’issue d’un appel d’offres international, l’ONE avait confié à Abengoa la réalisation, le montage des infrastructures et la maintenance pendant cinq années de la future centrale électrique d’une capacité de 472 MW. La station de Béni Mathar est à cycle combiné utilisant à la fois le gaz naturel et l’énergie solaire pour la production de l’électricité.


Source : l’article de M. Aïn Béni Mathar, publié le 26 juin 2007 dans « Le Matin.ma« .

René Massé

La Banque Mondiale finance une centrale hybride solaire/gaz naturel à cycle combiné au Maroc

Le Conseil d’administration de la Banque mondiale (BM) joue la carte solaire dans le monde. Son Conseil des Administrateurs a approuvé le 29 avril 2007 un don du Fonds pour l’Environnement mondial (FEM) d’un montant de 43,2 millions de dollars américains au Maroc. Ce don est destiné à la construction d’une centrale électrique hybride à Aïn Béni Mathar, à environ 80 km au sud de la ville d’Oujda.

René Massé

La Banque mondiale finance une centrale hybride solaire/gaz naturel à cycle combiné au Maroc

Le Conseil d’administration de la Banque mondiale (BM) joue la carte solaire dans le monde. Son Conseil des Administrateurs a approuvé le 29 avril 2007 un don du Fonds pour l’Environnement mondial (FEM) d’un montant de 43,2 millions de dollars américains au Maroc. Ce don est destiné à la construction d’une centrale électrique hybride à Aïn Béni Mathar, à environ 80 km au sud de la ville d’Oujda.

« Project Appraisal Document on a Proposed Grant from the Global Environment Facility Trust Fund to the Office National de l’Electricité du Maroc for an Integrated Solar Combined Cycle Power Project ». 20 Février 2007.

Document de la Banque mondiale n°36485-MO, en Anglais.

111 pages.

Le projet répond au besoin urgent d’accroître la capacité nationale de production électrique alors que l’État met en place des mesures pour diversifier les sources d’électricité, réduire la dépendance énergétique du pays et l’intégrer aux marchés régional et européen.

La centrale électrique hybride (énergie solaire et gaz naturel) aura une puissance de 472 MW, comprenant un cycle combiné de 452 MW et une composante solaire de 20 MW, avec une production annuelle nette de 3.538 GWh, selon un document de la Banque mondiale. Le coût de cette nouvelle centrale de l’Office national de l’électricité (ONE), dont l’entrée en service est prévue pour 2010, est estimé à environ 568 millions de dollars. En plus du don du Fonds pour l’environnement mondial (FEM), le projet sera cofinancé par l’ONE et la Banque africaine de développement. Le don accordé par le FEM financera la réalisation de la composante solaire du projet.

Le projet poursuit plusieurs objectifs :

  • L’augmentation rapide de la capacité de production électrique du Royaume de manière à satisfaire les besoins liés à la croissance soutenue de l’économie nationale ;
  • L’accroissement de la contribution des énergies renouvelables dans le système de production électrique et la réduction des gaz à effet de serre ; -* Démontrer la viabilité opérationnelle des centrales thermiques hybrides solaire-cycle combiné et contribuer à étendre cette technologie aussi bien au Maroc qu’ailleurs.

Le Document d’évaluation de ce projet (Project Appraisal Document) en date du 20 février 2007, qui décrit le projet dans toutes ses dimensions technique, financière, organisationnelle, programatique, etc. est téléchargeable ici au format Pdf et en version anglaise.


Sources :

  • Le site de la Banque mondiale
    Pour de plus amples renseignements, contacter Dina El Naggar par téléphone au (1-202-473-3245) ou par courrier électronique ;
  • Le site en Anglais du projet ;
  • L’article publié sur le site de Plein Soleil, le magazine des énergies renouvelables dans le bâtiment, le 23 avril 2007.

René Massé

Problématiques de l’électricité, du bois et du gaz en milieu rural dans les provinces du Nord du Maroc

Les 13 et 14 avril 2007, 52 associations et sociétés se sont réunies à Chefchaouen, pour débattre des « Problématiques de l’électricité, du bois et du gaz en milieu rural dans les provinces du Nord du Maroc ». Etaient également présents le Haut Commissariat aux Eaux et Forêts et le CDER (Centre de développement des énergies renouvelables de Marrakech).

Article publié sur son site Internet par le journal Libération, à Casablanca, le 18 avril 2007, sous la signature de M. Amel Nejjari.

La rencontre de Chefchaouen

Cette rencontre a été organisée conjointement par le MNED (Maroc Nord Energie Durable), une cellule mise en place à Chaouen par le GERES (Groupe énergies renouvelables et environnement, association française installée à Marseille) et le GERERE (Groupe d’études et de recherche sur les énergies renouvelables et l’environnement), qui regroupe de nombreux universitaires, dans le cadre du programme de micro financement du Fonds pour l’environnement mondial (FEM – PNUD).

La première journée à principalement donné la parole aux associations de terrain, qui ont exposer les différents aspects, dans le milieu rural, liés à la consommation de l’énergie sous forme d’électricité, de bois et de butane. La seconde journée a vu la création d’ateliers de travail autour de deux grandes thématiques : l’électrification rurale et la problématique du bois de feu.

L’électrification rurale

Un constat a été fait de l’effort important mené ces dernières années par le Programme d’électrification rurale globale (PERG) de l’Office national de l’électricité (ONE) qui, lancé en 1995, a notamment permis de couvrir 80% du milieu rural. Cet effort est certes louable, mais les participants observent qu’il n’a pas pleinement réussi à relancer l’économie locale en termes d’emplois générés et de dynamique de développement. Il pourrait même avoir accru l’endettement des foyers ruraux et des collectivités locales qui ont contribué au financement de ces investissements à hauteur de 25% du coût global.

Alors les participants se sont efforcé de formuler des recommandations pour améliorer la situation :

  • Tout d’abord, ils suggèrent de mener des études d’impact, des diagnostics afin de donner une visibilité claire à la situation. Les leçons tirées de ces réalisations permettraient sans aucun doute d’améliorer la qualité des services, la maintenance et de revoir les coûts de branchement ;
  • La priorité de l’électrification devrait être donnée aux infrastructures de services comme les écoles, les dispensaires mais également aux activités génératrices de revenus ;
  • Enfin, la sensibilisation et l’éducation de la population leur apparaît comme une tâche primordiale, en particulier en direction des enfants : inscrire la donne écologique au sein des foyers et de l’école.

Le bois de feu

L’atelier « Bois de feu » a soulevé l’épineux problème de l’exploitation excessive des forêts. La forêt comme régulateur du cycle de l’eau et protecteur des sols joue un rôle primordial contre la désertification à travers la conservation des eaux et des sols pour la régulation du cycle hydrologique, la sauvegarde de la productivité des terres et la protection des barrages et des infrastructures ainsi que par la protection de la biodiversité, source de richesse pour le pays. Le patrimoine forestier national est de 9 millions d’ha : les participants ont noté que le taux de boisement actuel de 8% est très inférieur aux normes internationales qui recommandent un taux de 15% à 20%.

Sur le terrain, la forêt marocaine subit une forte pression qui dégrade cette richesse à cause d’une surexploitation excessive et d’une augmentation de la consommation de cette source d’énergie. Les participants ont recommandé de promouvoir le reboisement sous forme de bosquets, le développement du biogaz lorsque cela est possible par la mise à niveau des technologies mais surtout l’amélioration des revenus dans les zones rurales pour permettre un meilleur accès au gaz.


Site de référence : Libération

René Massé

Maroc : Conférence internationale sur le thème "Electrification et Développement"

L’Office National de l’Electricité du Maroc co-organise avec la Fédération Nationale de l’Electricité et de l’Electronique, une Conférence internationale sur l’électrification rurale qui se tiendra du 22 au 24 octobre 2007 à Skhirat (Maroc), sous le thème : « Électrification et Développement ».

L’IEPF a été associé à cette manifestation, qui donnera l’occasion de présenter le Riaed, comme aussi d’autres réseaux proches comme le Ried et le Club-ER.

Energie et Développement est une problématique au cœur de toutes les réflexions internationales. En particulier l’énergie électrique, qui constitue un pilier incontournable pour le développement humain, surtout dans les zones rurales ou son absence empêche tout développement local.

L’expérience du Programme d’Electrification Rurale Globale (PERG) que conduit l’Office National de l’Electricité (ONE) au Maroc est à cet égard, d’un grand intérêt et permet de nombreux enseignements. Le PERG a permis, en l’espace d’une dizaine d’années, l’électrification de 1,5 millions de foyers ruraux au Maroc, portant ainsi le taux d’électrification rurale de 18% en 1995 à 88% en 2006, avec la perspective de généralisation de l’électrification rurale au Maroc à la fin de l’année 2007.

2007 est donc consacrée « L’année de l’électrification rurale au Maroc »

C’est dans ce contexte que l’ONE et la FENELEC, Fédération Nationale de l’Electricité et de l’Electronique, organisent conjointement cette Conférence Internationale.

La FENELEC compte aujourd’hui plus de 165 sociétés adhérentes qui ont réalisé la quasi-totalité du PERG en fabriquant 90% des produits utilisés dans sa réalisation, mobilisant un effectif de 35.000 employés.

La conférence réunira durant deux jours des experts, des opérateurs, des décideurs, des bailleurs de fonds, des académiciens,… A vocation scientifique et technique, elle a pour objectif de permettre :

  • La valorisation des dynamiques conceptuelles en électrification rurale,
  • La valorisation des projets et innovations en développement durable,
  • La diffusion des techniques, savoir- faire et développement de compétences,
  • La constitution de plateformes d’échanges d’expériences,
  • La création d’une dynamique partenariale et Label d’Excellence.

Les membres des réseaux RIAED, RIED et CLUB-ER désireux de présenter une communication sont invités à faire parvenir l’intitulé et un bref résumé de la communiction avant le 15 mai 2007 à M. Mohamed Berrada avec copie à M. Jean-Pierre Ndoutoum. Un comité de lecture sera chargé de la sélection des communications.

Pour plus d’information, visitez le site de la Conférence internationale sur l’électrification rurale (CIER), et voir ci-dessous le programme prévisionnel de la Conférence, proposé par l’ONE.

Jean-Pierre Ndoutoum

Électrification rurale du nord du Sénégal : le marché confié à une entreprise marocaine

L’Office national de l’électricité (ONE) du Maroc a remporté le marché portant sur l’électrification rurale dans le nord du Sénégal.

En vertu du contrat de concession, l’ONE assurera l’électrification, la distribution et la gestion pendant une durée de 25 ans des zones rurales des départements de Saint-Louis, Dagana et Podor, indique Ouestaf.com, citant un texte officiel publié sur le site de l’entreprise marocaine le 27 décembre 2006.

Cette opération d’électrification va concerner environ 550 villages regroupant 360.000 habitants, précise-t-on de même source.

L’ONE était en « concurrence avec un groupement conduit par Electricité de France (EDF) », selon le groupe marocain qui affirme avoir développé une expertise « reconnue mondialement » dans le domaine de l’électrification rurale. Le groupe compte « valoriser à l’international, et notamment en Afrique » cette expérience.

Selon Ouestaf.com, l’ONE a décidé de mettre en place « une société de droit sénégalais pour gérer cette concession » dont l’investissement initial est de l’ordre de 140 millions de dirhams marocains (soit plus de 8,3 milliards de francs CFA).

> Source : Le Soleil, d’après l’Agence de presse sénégalaise

Imedia

Formations au génie énergétique au Maroc

Réalisation de modules de formation dans le secteur du froid et du génie thermique.

Financé par le programme européen MEDA et dans le cadre de la réforme de la formation professionnelle au Royaume du Maroc, un consortium belgo-français a mené ces deux dernières années, un projet de coopération visant à renforcer les compétences techniques et les supports pédagogiques des filières de formation dans le secteur du froid et du génie thermique des instituts de formation professionnelle du Maroc.

L’Office de la Formation Professionnelle et de la Promotion du Travail (OFPPT) forme au génie thermique et au froid. Cela concerne une centaine de formateurs des Instituts supérieurs techniques (IST) répartis sur tout le territoire du Maroc. Ceux-ci enseignent le génie énergétique dans le cadre de la formation professionnelle marocaine. D’autre part, l’OFPPT organise aussi des formations pour ses formateurs du froid et du génie thermique dans les locaux du CDC-FGT de l’ISI de Casablanca.

Après une longue phase de démarrage visant à l’élaboration d’un programme de formation de 22 modules adapté au contexte marocain, les experts belges et français ont réalisé plus de 80 modules de formation d’une semaine. C’est dans ce cadre que Daniel Jaupart (IEPS de Colfontaine) et Pépin Tchouate ont animé à Casablanca des modules sur la collaboration entre les entreprises et les centres de formation, ainsi que sur les audits énergétiques et les énergies renouvelables.

En adaptant au contexte marocain la méthodologie développée par l’ICEDD dans le cadre du programme de la Région wallonne « Responsable énergie », les formateurs ont mis l’accent sur l’audit énergétique, la caractérisation des sources énergétiques (diagramme de flux énergétiques) et les applications solaires thermiques, solaires photovoltaïques et éoliennes, qui sont les principales sources d’énergie renouvelables du Maroc (actuelles ou potentielles). Le cédérom « Energie + » présenté à cette occasion, a été fortement apprécié, bien qu’il ait été conçu pour le contexte wallon.

Les participants, conscients de l’intérêt des énergies renouvelables et de la grande dépendance énergétique du pays, manquent cependant de connaissances pratiques et de retour d’expériences sur ces technologies pourtant déjà présentes sur le territoire marocain. Des échanges à ce sujet entre les acteurs de terrain au Maroc (acteurs économiques, mais aussi centres de formation tels que le Centre de Développement des Energies Renouvelables – CDER – à Marrakech) et les établissements de formation seraient utiles pour rendre concrets les sujets abordés. L’élaboration de projets de terrain tels que la réalisation d’un audit énergétique de l’OFFPT ou la mise en place d’un équipement solaire fonctionnel pour cet organisme seraient l’occasion d’appliquer les connaissances et les méthodes acquises lors de la formation. Associer les experts comme les formateurs à ces projets pourrait répondre à leurs souhaits de mener des enseignements pratiques et opérationnels en relation avec la réalité marocaine. D’autre part, cela permettrait d’initier, entre acteurs locaux, une culture d’échanges d’expériences axée sur les bonnes pratiques à l’installation et surtout à l’entretien.

Energies renouvelables au Maroc

Dépendant des importations à plus de 95 % pour satisfaire la demande énergétique, qui de plus ne cesse de croître, le Maroc regarde sérieusement vers les énergies renouvelables dont les principales sources qu’il exploite aujourd’hui sont l’hydroélectricité et le bois de chauffe. Mais deux sources d’énergie supplémentaires émergent : le vent et le soleil.

Le territoire marocain dispose en effet d’excellents sites éoliens qui bénéficient de vents rapides et réguliers. Le CDER estime le potentiel d’installation à 6 000 MW, principalement dans le nord du Maroc (Région de Tétouan) et la zone côtière du sud du Maroc ainsi qu’entre Agadir et El Jadida. Près de Tétouan, deux parcs éoliens d’une puissance totale installée de 54 MW sont en activité depuis l’an 2000. Ils produisent annuellement près de 226 GWh1, soient 2 % de la consommation finale d’électricité du Maroc. Très prochainement, de nouveaux sites seront équipés à Taza (60 MW), Essaouira (60 MW), Tarfaya (60 MW) et Tanger (140 MW).

Avec une irradiation solaire annuelle moyenne de 1 700 à 2 100 kWh/m2, le gisement solaire du Maroc est attrayant mais sous exploité :

  • Seulement 50 000 m2 de chauffe-eau solaires sont installés, alors que le programme solaire « Promasol » en prévoit 400 000 m2 pour 2007 ;
  • Le programme d’électrification rurale global (PERG), initié en 1996, a permis d’apporter un minimum d’électricité solaire photovoltaïque à
    environ 300 villages parmi les plus reculés du pays, soient 13 000 foyers, mais d’ici 2007, ce sont 150 000 foyers supplémentaires qui seront équipés et une centrale solaire thermoélectrique de 200 MWélec est prévue pour cette date.

Partenaires de la mission d’accompagnement technique et pédagogique

Au Maroc

L’OFPPT de Casablanca (Office de la Formation Professionnelle et de la Promotion du Travail). L’OFPPT est un organisme équivalent au FOREM en Région wallonne ou à l’ORBEM en Région de Bruxelles-Capitale.

En France

> Le CIEP (Centre International d’Etudes Pédagogique)

Le CIEP est un établissement public français sous tutelle du ministère
de l’Education nationale dont les grands domaines d’activités sont
la coopération internationale en éducation, le soutien de la langue
française et l’ouverture internationale du système éducatif français.

www.ciep.fr

> Le GEFEn (Groupement d’Etablissements de Formations à l’Energie)

Le GEFEn, créé en 1980, est un centre de l’Education nationale
française, spécialisé dans les métiers de l’énergie, de l’environnement
et du génie climatique, de l’ouvrier au technicien supérieur et à
l’ingénieur. En alternance, il propose aux entreprises, aux salariés,
aux demandeurs d’emploi et aux jeunes, des formations intra-entreprise, des stages inter-entreprises ou des formations diplômantes. Celles-ci peuvent être élaborées sur mesure en fonction des demandes et des besoins.

www.gefen.org

En Belgique

L’IEPS de Colfontaine (Institut d’Enseignement et de Promotion Sociale de Colfontaine). L’IEPS de Colfontaine est situé en Communauté française de Belgique. Il regroupe d’anciennes écoles industrielles fondées à la fin du siècle dernier pour la formation et la promotion des travailleurs. Spécialisé dans la formation des adultes (formation continue, perfectionnement, compléments de formation initiale), il propose des formations dans de nombreux domaines professionnels dont l’énergie (froid, chaud et conditionnement d’air), celles-ci étant fondées sur une approche par capacité, la modularité et un système de valorisation des acquis.

www.iepscol.be

Pépin Tchouate

Les énergies renouvelables et l’éco-construction au service de l’environnement

Rencontres internationales à Marrakech, du 10 au 12 mai 2007

Une équipe du secteur privé organise cet événement pour promouvoir les énergies renouvelables dans l’urbanisation et l’habitat au Maroc.

Le Maroc possède un réel potentiel économique, social, culturel et environnemental à valoriser. Il est signataire des conventions concernant le développement durable. Il dispose aussi d’un gisement d’énergies renouvelables important et encore sous-valorisé. Ce sont pourtant des énergies propres et d’avenir.

Le Maroc s’urbanise à une cadence rapide en utilisant des matériaux principalement à base de ciment et de béton au détriment des matériaux locaux, sains et écologiques qui permettent l’intégration des constructions dans le paysage et l’environnement culturel.

Face à ce constat, une équipe d’architectes du secteur privé organise un événement pour le mois de mai 2007 sur le thème : « Les Énergies renouvelables & l’Eco construction au service de l’Environnement. »

Concepteurs

Mr Benmansour Amal (architecte)

Mr El Anbassi Mohamed (architecte)

Téléphone : +212 – 22 98 62 57 – Télécopie : +212 – 22 98 56 70

Courriel : kenesconcept@hotmail.comarchiben1988@yahoo.fr

Gret

L’énergie rurale pour le développement

Extrait du rapport d’activités de l’Ademe, 2004

Dans cet article, l’Ademe dresse le bilan 2004 de ses travaux en faveur de l’amélioration de l’accès à l’énergie dans les pays en voie de développement.

L’article aborde :

  • ses partenariats ;
  • les pays dans lesquels elle est intervenue ;
  • les modes de gestion de services énergétiques dont elle assure la promotion ;
  • les réseaux d’échanges pour l’accès à l’énergie auxquels elle a participé.

Jacques Monvois, Gret, Jérome Levet