Présentation du Burkina Faso – Systèmes décentralisés

FORMATION SUR LES SYSTEMES D’ELECTRIFICATION RURALE DECENTRALISEE (ERD) Marrakech, du 24 Nov. au 03 Déc. 2008

Objectif des principaux programmes réalisés et en cours

Mesures d’accompagnements : formation/sensibilisation et qualité des équipements

BADOLO B.Blaise

Jacques Monvois, Gret, Xavier Dufail

Présentation de la Côte d’Ivoire – Systèmes décentralisés

FORMATION SUR LES SYSTEMES D’ELECTRIFICATION RURALE DECENTRALISEE (ERD) Marrakech, du 24 Nov. au 03 Déc. 2008

Le secteur de l’électricité en Côte d’Ivoire

Place des énergies renouvelables

KOFFI Komenan & KOMAN Yapo Serge

Jacques Monvois, Gret, Xavier Dufail

Application des systèmes hydrogène pour les besoins du développement à l’horizon 2020-2025

L’accès à l’énergie constitue, aujourd’hui comme dans un futur proche, une problématique clé dans les pays en développement. Parallèlement, les systèmes hydrogène, matures pour certaines applications industrielles, font l’objet actuellement de nombreux développements scientifiques. La question se pose donc d’une éventuelle adéquation entre les besoins des populations défavorisées et les potentialités offertes par les systèmes hydrogène présents et futurs.

La présente étude, réalisée par Enea consulting avec la participation du Gret et d’Air liquide, vise à identifier les applications potentielles des technologies ayant recours à l’hydrogène pour répondre aux besoins des pays en développement à horizon 2020-2025. Pour cette raison, les besoins du développement ont été segmentés, au même titre que les technologies de production, de stockage et d’utilisation de l’hydrogène, ainsi que les sources d’alimentation énergétique utilisées pour la production d’hydrogène (partie 2).

A partir de quelques éléments de maturité des systèmes hydrogène (partie 3) et de notions de coût (annexe), il a ensuite été possible d’identifier des solutions (c’est-à-dire un ensemble matière première, technologie de production, source énergétique, technologie de stockage / distribution, et technologie d’utilisation) répondant à un besoin identifié.

Il ressort de cette étude que des systèmes hydrogène peuvent effectivement répondre à certains besoins du
développement : Ce travail a ainsi permis la mise en place de fiches solutions, au nombre de douze (partie 4). Ces fiches ne sont pas exhaustives, et peuvent avantageusement être combinées entre elles pour répondre au mieux à chaque besoin particulier, en cas d’application à des projets concrets. Le contexte géographique ainsi que la disponibilité des matières premières et des sources d’énergie conditionnent notamment les solutions applicables.

Les solutions présentées dans le cadre de cette étude couvrent les besoins suivants :
• Alimentation électrique multi-usages (base ou secours, avec production centralisée ou décentralisée, et selon différentes gammes de puissance)
• Alimentation thermique (coproduction de chaleur ou froid)
• Alimentation énergétique dans des cas particuliers (réseau télécom, électronique portable)
• Transport, avec le cas particulier des flottes captives
Deux paramètres contextuels clés ont également guidé cette étude :
• L’hydrogène, a fortiori s’il est produit de manière « propre » (et donc autrement que par l’actuel
vaporeformage de méthane), peut bénéficier d’un avantage significatif en regard des groupes électrogènes notamment.
• L’utilisation de l’hydrogène, comme partie intégrante du nouveau mix énergétique, permet de s’affranchir du prix du pétrole, qui risque fort, à horizon 2020-2025 d’avoir encore augmenté dans des proportions rendant son accès excessivement coûteux aux populations défavorisées.

Jacques Monvois

EnerExpo Maroc

Salon international de l’électricité, de l’éclairage, de
l’électronique et des énergies renouvelables

11 au 15 octobre 2011, Casablanca.


enerexpo
Le marché des énergies renouvelables au Maroc a besoin d’une plate-forme exceptionnelle pour son entreprise en croissance rapide. ENEREXPO Maroc offre à l’industrie internationale de l’énergie une plate-forme de marché intéressant, contact avec la clientèle garantis et la possibilité d’établir des relations d’affaires durables dans un marché en croissance rapide.

ENEREXPO Maroc sera lancé d’abord dans le cadre du « Salon International de l’Electricité et des Energies 2011 » qui aura lieu à Casablanca. A partir de 2012, ENEREXPO Maroc aura lieu comme un événement autonome et, en tant que telle, la première foire commerciale du Maroc consacré exclusivement au secteur des énergies renouvelables. Par la suite, il aura lieu tous les 2 ans.

www.enerexpo.com/

Imedia

La production d’électricité de petite échelle à partir de biomasse

Ces rapports de la GTZ, en anglais, traitent de l’utilisation à petite échelle de la biomasse pour l’électrification rurale hors réseau. Le premier rapport concerne la gazéification, le second le biogaz. Ces documents s’appuient sur des expériences de terrain en Asie et en Afrique.

« Small-scale Electricity Generation from Biomass »

GTZ

août 2010

22 pages (partie 1)

23 pages (partie 2)

Partie I : La gazéification de biomasse

Partie II : Le biogaz

Une troisième partie, sur l’utilisation d’huile végétale, sera publiée fin 2010.


Source : Publications de la GTZ (en anglais).

Xavier Dufail

Centrafrique : présentations d’un atelier d’échanges sur le thème « Outils, Méthodes et Techniques pour la cartographie des villages à électrifier »

Ces documents ont été présentés lors de l’atelier « Outils, Méthodes et Techniques pour la cartographie des villages à électrifier et la mobilisation additionnelles pour la mise en œuvre du PTA-Energie avec l’appui du PNUD–RCA » qui s’est tenu les 8 et 9 juillet 2010 à Bangui (République Centrafricaine).

« Gestion de projet »

Aline Malibangar (PNUD)

68 pages

« Gestion axée sur les résultats »
Maxime Mbringa Takama (PNUD)

29 pages

« Outils de planification »

Privat Patrick Ngaye-Yankoisset (Ministère de l’Énergie)

19 pages

« Synthèse du rapport d’étude d’électrification par énergie solaire de sept villages de la RCA »
Rigobert Gbazi (Expert en énergie solaire)

34 pages

« la Plateforme Multifonctionnelle de Paoua »

Davide Stefanini (DRC-Paoua)

30 pages

Cet atelier a réuni environ une quarantaine d’experts venus des différents Départements Ministériels, Associations et les ONG. Il visait à renforcer les capacités des principaux acteurs et bénéficiaires en vue de consolider les acquis et établir une cartographie des villages à électrifier avec des critères et priorités pouvant guider les choix définitifs en vue de rechercher les ressources nécessaires pour atteindre les objectifs escomptés.

Le premier exposé, présenté par Mme Aline Malibangar, était axé sur la gestion de projet. Dans son exposé l’oratrice a expliqué aux participants que la gestion de projet est une réflexion à la base. Elle a poursuivi en disant qu’il existe au sein des Départements ministériels des projets. De façon générale, il n’y a que 20% seulement des projets qui atteignent les objectifs initiaux. Les raisons de cette contreperformance s’expliquent par plusieurs facteurs parmi lesquels on peut retenir :

- Le manque de business solide ;
- Le manque de compréhension des produits finaux ou des produits livrables attendus ;
- Le manque d’une bonne structure de gestion avec les rôles et des responsabilités clairement définis
- L’incapacité de planifier, faire le suivi et de contrôler les activités qui composent le projet
- L’incapacité de communiquer les plans et les progrès par rapport à ces projets à toutes les parties prenantes du projet ;
- Le manque de systèmes inadéquats pour la gestion des risques, des changements et de la qualité.

La méthode, les procédures, les techniques ainsi que les outils ont été présentés et discutés. Un exercice sur les services énergétiques pro-pauvres a clos cette présentation.

Le deuxième exposé, fait par M. Maxime Mbringa Takama, a mis en exergue une application d’outils de gestion de projet dénommé le « Prince 2 » qui est un véritable outil moderne de gestion. Ce dernier a convié les participants à s’approprier ce précieux outil pour la réussite de leur projet. Aussi, un projet comporte un certain nombre de principes clés qu’il faut maitriser, à savoir les processus, les composantes et les techniques. C’est donc la gestion d’un projet dans un environnement contrôlé. Quelques questions relatives à la non-réussite des projets ont été posées, lesquelles ont fait l’objet des réponses suivies des débats très enrichissants. Il ressort des réponses des intervenants que la non-réussite des projets résulte du fait que l’ensemble des projets sont hors normes et ne respectent pas les processus.

Dans la journée du 9 juillet, la poursuite des exposés a débuté par celui de M. Privat Patrick Ngaye Yankoisset, Directeur Général de l’Énergie sur les outils de planification. Ce dernier a présenté l’outil de planification à savoir le logiciel Géosim ,développé par la société Innovation Énergie Développement (IED) en France.

Le second exposé a été fait par M. Rigobert Gbazi, Chef de service des Hydrocarbures et de l’Exploration Pétrolière, Expert en Énergie Solaire, sur la synthèse du rapport d’étude d’électrification par énergie solaire de sept villages de la RCA. Un rappel des activités menées dans le cadre du Plan de Travail Annuel (PTA) Énergie de 2008 à 2009, ainsi que le rapport d’études, ont été présentés.

Le troisième exposé est celui de Mademoiselle Natacha Liliane Bogon, Responsable de la Plateforme multifonctionnelle à la DRC-Paoua, sur la Présentation de l’expérience pilote du Conseil Danois pour les Réfugiés dans l’Ouham Pendé : la Plateforme Multifonctionnelle de Paoua. La pauvreté énergétique, le système énergétique des femmes en milieu rural, énergie et le genre, les services énergétiques et les plates formes multifonctionnelles en Afrique subsaharienne ont constitué la substance de sa présentation.

Rigobert Gbazi

Éthiopie : financement additionnel de la Banque mondiale pour un projet d’accès à l’énergie

La Banque mondiale a approuvé le 29 juin 2010 un financement additionnel de 180 millions de dollars EU pour un projet d’accès à l’énergie en Éthiopie, qui porte notamment sur le photovoltaïque et la micro-hydraulique en milieu rural.

Ce projet a pour objectif de mettre en place un programme durable pour accroître l’accès à l’électricité et améliorer l’approvisionnement en électricité en termes d’adéquation et de qualité. Il se donne également de réduire la dégradation de l’environnement, d’améliorer l’efficacité énergétique au niveau de l’utilisation finale, et d’éliminer les facteurs faisant obstacle à l’adoption de technologies renouvelables, notamment pour ce qui concerne la production d’électricité en milieu rural au moyen de techniques photovoltaïques et de micro-centrales hydrauliques. Il prévoit en outre un appui technique pour le développement institutionnel et le renforcement des capacités des principaux organismes sectoriels.

Contact :

Herbert Boh : hboh@worldbank.org


Source : Banque mondiale.

Xavier Dufail

Espagne : séminaire de l’Alliance pour l’Électrification Rurale

L’Alliance pour l’Électrification Rurale organise son séminaire PVSEC sur les nouveaux débouchés pour les entrepreneurs dans le domaine du photovoltaïque.

Date : le 8 septembre 2010

Lieu : Valence (Espagne)

Le photovoltaïque dans les pays en développement est l’objet de multiples projets, et de plus en plus les gouvernements et les opérateurs privés prennent conscience du potentiel de cette technologie dans les pays émergents et les pays en développement, en particulier dans le domaine du hors-réseau.

Les initiatives ambitieuses qui ont été lancées récemment peuvent considérablement développer le secteur PV hors-réseau dans un avenir proche. PVSEC sera l’occasion de les présenter.


Source : Le site de l’Alliance pour l’Électrification Rurale (en anglais).

Xavier Dufail

RDC : « 200 sites peuvent accueillir des mini-centrales hydroélectriques »

La République Démocratique du Congo dispose de plus de 200 sites remplissant toutes les conditions techniques pour la construction de mini-centrales hydroélectriques capables de fournir l’énergie à moindre coût aux coins les plus reculés du pays, selon le ministre national de l’Énergie.

Le ministre a fait cette déclaration au cours d’une visite d’une ferme alimentée en courant électrique par une mini-centrale de 360 kVA mise sur pied par une équipe d’ingénieurs congolais sur une chute de la rivière Futuka, dans la périphérie de Lubumbashi.

Émerveillé par cette expérience de production d’énergie électrique par une mini-centrale, le ministre de l’Énergie a promis d’initier au niveau de son cabinet une étude de faisabilité de la construction progressive de mini- centrales hydroélectriques sur les sites réunissant toutes les conditions.

Il a parlé notamment des projets de construction de mini-centrales à Mweka, dans la province du Kasai Occidental et de Kabinda dans la province du Kasai Oriental en voie d’exécution.

Ce projet est au centre des préoccupations du président congolais dans le cadre de son programme de reconstruction et de construction des infrastructures de base, appelé « Cinq chantiers de la République ».


Source : APAnews

Xavier Dufail