Kenya : le programme de DEEP Afrique de l’Est porte ses fruits

GVEP International a lancé le programme DEEP (projet de développement des entreprises du secteur Energie) en mars 2008 pour une période de 5 ans. Ses principaux objectifs sont la création de 1800 micro- et petites entreprises du secteur Énergie et la formation de 300 coachs d’entreprises formés et qualifiés prêts à être employés dans les zones rurales et péri-urbaines d’Afrique de l’Est.

Les programmes de formation DEEP aident les micro entreprises rurales qui fabriquent et vendent des produits énergétiques à se développer dans l’ouest du Kenya.

Mary Waanshiro est une grand mère et une ancienne de la région de Gitogua à la pointe de Ruiru au Kenya. Mary est également membre d’une coopérative d’épargne et de crédit, appelé plus communément par la plupart des femmes au Kenya « le manège ». Ce groupe très impliqué de femmes mettent en commun leur argent puis ensuite accorde des prêts jusqu’à 2000 shillings kenyan (l’équivalent de 17£) aux membres, permettant aux femmes d’investir dans de petites entreprises. L’activité de Mary est d’assembler des cuisinières et de les vendre depuis chez elle.

Avec cette entreprise, Mary propose à ses voisins un moyen plus écologique et plus abordable pour cuisiner leurs repas quotidiens. Son financement provenant du « manège » l’a aidée à acheter son matériel initial. Le petit profit réalisé lui permet de nourrir sa famille.

Maintenant, Mary, tout comme des milliers de femmes du Kenya qui font partie de ce type de programmes, continue à avoir des difficultés car elle manque de formation basique et de compétence à faire tourner un business au-delà de chez elle. En moyenne, elle fait 6 cuisinières sans feu par mois, et durant les bons mois, les ventes atteignent un maximum de 12 cuisinières.

En août 2009, Mary a participé à un programme de formation entrepreneuriale organisé par DEEP (Projet de Développement des Entreprises Energétiques). Un mois plus tard, Mary disait que le programme de formation DEEP l’a aidée à trouver des idées pour développer son entreprise, comme la création d’un nouvel atelier sur ses terres pour assembler et vendre les cuisinières sans feu. Elle a également reconnu qu’elle a appris énormément en matière de tenue des comptes et de la manière d’attirer plus de clients.

Cependant, même avec une motivation et connaissance supplémentaire, Mary n’est toujours pas capable de faire passer son activité à la vitesse supérieure – son rêve est de passer du travail à la maison au marché. Elle aurait besoin de plus d’assistance avec l’assemblage des cuisinières sans feu, ce qui demanderait plus de financement pour payer du personnel. Mary veut également plus de soutien dans la réalisation d’un plan marketing pour promouvoir ses cuisinières au-delà de son quartier.

Ce sont des problèmes qui seront étudiés avec les coachs d’entreprise formés par DEEP qui aideront les participants à continuer à développer leurs compétences et consolider leur entreprise bien après que le programme ne se termine.

Pour plus de renseignements sur le programme DEEP, visitez la page projet sur le site de GVEP International (http://www.gvepinternational.org/project/53/)

Laure Ego, GVEP

Salon de l’énergie renouvelable d’Afrique de l’Est 2010

Ce salon se tiendra les 6 et 7 avril 2010 à Nairobi (Kenya), sur le thème : « créer des marchés de l’énergie renouvelable en Afrique de l’Est »

« The Eastern Africa Renewable Energy Summit & Exhibition 2010 »

Lieu : Laico Regency Hotel, Nairobi, Kenya

Les thèmes de ce salon seront :

  • Cadre législatif et politiques sectorielles
  • Finance et investissement
  • Énergies renouvelables pour le développement urbain et rural
  • Développement et transfert de technologie
    • La biomasse et les biocarburants en Afrique de l’Est
    • L’énergie solaire et l’énergie éolienne
    • Hydraulique et géothermie
    • La cogénération

Participants attendus :

- Des services publics

- Des banques et des sociétés de financement

- Des sociétés de télécommunications

- Les sociétés d’énergie renouvelable

- Des ministères et départements du Gouvernement

- Des sociétés pétrolières et de l’énergie,

- Des fabricants de matériel pour l’énergie

- Des institutions financières internationales – Banque mondiale / SFI / BAD

- Des organisations multilatérales et bilatérales : l’ONUDI, l’USAID, DFID, JICA

- Des entreprises et organisations internationales

Plus d’informations sont disponibles sur le site de l’organisateur (en anglais).

Xavier Dufail

Kenya : Africa Carbon Forum 2010

L’African Carbon Forum, 2ème édition, aura lieu du 3 au 5 mars 2010, à Gigiri (Kenya).

Objectifs

L’African Carbon Forum est une plateforme d’échanges commerciaux et de partage des connaissances pour les investissements carbone dans la région, en réunissant des représentants des autorités nationales, des correspondants nationaux, des représentants de plusieurs agences onusiennes, des gouvernements et du secteur privé.
Se tiendront des séances de jumelage qui permettront aux participants et promoteurs de projets potentiellement éligible à un MDP de présenter leurs projets aux parties intéressées, y compris aux investisseurs et aux acheteurs de carbone.

Plus précisément, le deuxième Forum africain du carbone vise :

- une mise à jour sur les différents points de vue sur les défis liés au changement climatique mondial, et les récents développements sur le marché international du carbone ;

- des discussions avec les développeurs de projets et des spécialistes techniques sur de nombreux domaines et technologies issues des bonnes pratiques et des leçons apprises pour la mise en œuvre de projets MDP en Afrique ;
- des leçons, données par les experts des secteurs publics et privés, sur les stratégies et mesures à adopter afin de promouvoir les avantages du MDP dans la région, en mettant l’accent sur la nouvelle approche du MDP programmatique
- des présentations par les participants de leurs projets MDP aux parties intéressées, et ainsi développer des jumelages, partenariats, etc.

- des opportunités pour établir des contacts tout au long du Forum.


Source : Site de l’African Carbon Forum (en anglais).

Xavier Dufail

Kenya : conférence « les Stratégies pour l’Électrification Rurale en Afrique : leçons et perspectives »

Le Club des Agences et Structures nationales africaines en charge de l’électrification rurale (CLUB-ER), organise en partenariat avec le Ministère de l’Énergie du Kenya, une conférence qui se déroulera du 23 au 26 mars 2010 au Mombassa Continental Resort (Mombasa – Kenya), sur le thème : « les Stratégies pour l’Electrification Rurale en Afrique : leçons et perspectives ».

Les représentants de plus de 25 pays d’Afrique devront participer à l’Assemblé Générale Annuelle du CLUB-ER. Les résultats de travaux menés par les groupes thématiques dudit Club au cours des deux dernières années seront présentés et discutés, offrant une unique opportunité d’échange d’expériences entre responsables et décideurs du Continent africain.

Les perspectives pour un véritable partenariat Public – Privé seront débattues à travers les résultats du projet PACEAA soutenu par la Commission Européenne et le PNUE-FEM, qui vise à promouvoir l’implication des industriels du thé d’Afrique de l’Est dans l’électrification rurale à partir du développement de petites centrales hydroélectriques.

Pendant le forum, l’Agence Française de Développement (AFD) présentera les résultats d’une étude récemment menée (Etude de capitalisation et de propositions opérationnelles sur l’Accès aux services électriques en Afrique Sub-saharienne). Les débats et réactions de participants alimenteront la formulation de la nouvelle politique de l’AFD.

Le Kenya s’est engagé dans un important programme pour développer l’accès au service électrique dans ses zones rurales et périurbaines. Le pays doit encore faire face à des défis majeurs d’ordre technique, financier, et institutionnel pour réaliser les infrastructures requises afin d’assurer ce service au plus grand nombre. Cette rencontre est une opportunité pour partager son expérience avec le CLUB-ER, échanger avec les autres pays du Continent et pour ces institutions nationales, de devenir membre du CLUB-ER.

L’objectif de la Conférence sur les “Stratégies pour l’Electrification Rurale en Afrique : leçons et perspective” est de permettre un échange entre les acteurs majeurs du secteur de l’électrification rurale en Afrique, échanges sur les défis rencontrés et identifier les axes prioritaires pour permettre un développement accéléré de l’accès à l’électricité pour le développement en Afrique sub-saharienne.

La Conférence qui sera ouverte par les plus hautes autorités kenyanes, verra la participation des responsables des principales institutions du pays, les membres actuels du CLUB-ER, de quelques représentants d’organismes de coopération internationale actifs dans le secteur et qui soutiennent l’évènement (PNUE, Commission Européenne, AFD, ADEME, IEPF,…) et des représentants de nouveaux pays invités à rejoindre le CLUB-ER.


Source : Club-ER.

Xavier Dufail

Afrique de l’Est : Les briquettes, un combustible au prix abordable et une affaire rentable pour les petits entrepreneurs.

Christopher Cleaver, ingénieur mécanicien, fait un compte rendu à GVEP International depuis le marché de la ville de Ranen, au Kenya, où il conduit une étude sur les briquettes.

DANIEL AYIEKO ODONGO est bien assis avec à son côté un seau plein de briquettes. Ce combustible énergétique qui a contribué à l’émergence sociale de cet ancien vendeur de CDs, permet également à d’autres d’accéder à un carburant moins cher, et à long terme cela pourra conduire à la réduction de la déforestation du Kenya.

Nous avons passé une semaine ensemble dans la ville de Ranen, pour étudier comment Daniel et d’autres artisans produisent ce carburant. Nous avons visité ses clients et ses fournisseurs et nous avons essayé de comprendre comment les populations locales utilisent l’énergie dans leur vie quotidienne.

Le marché de Ranen est au coeur d’une ceinture verte de terre fertile (appelée poumon agricole du Kenya), proche du Lac Victoria. Les populations locales utilisent plusieurs sources d’énergie pour la cuisine et le chauffage ; celles habitant les milieux ruraux utilisent pour la plupart du bois collectés dans la forêt ; celles travaillant dans les marchés ont tendance à utiliser du charbon (dérivé du bois collecté), et du pétrole.

Mais Daniel sait que tout ceci a un coût écologique. « tu vois, l’environnement au Kenya n’est pas terrible ; or il est très important pour les Kenyans ; c’est pourquoi nous recherchons cette nouvelle méthode de cuisson.

Les briquettes sont fabriquées à partir de déchets agricoles et forestiers compactés en stock de matériau combustible. Daniel a commencé par la collecte de débris de charbons, trop fins pour être utilisés par les consommateurs (mais faisant partie de 10-20% du charbon total vendu). Il transforme ces débris en combustible moins cher.

« Nous avons appris à faire cela à la main. Nous avons commencé avec assez peu d’argent car nous ne pouvions pas attendre avant de pouvoir acheter les presses. »

Le débris de charbon est tout simplement mélangé à de l’argile locale, moulé en boules et séché au soleil pendant 3 jours.

Le produit final fait la joie des consommateurs qui n’en peuvent plus de supporter les prix galopants du charbon. David Odindi, qui gère un petit hôtel en ville constate que « cela ne produit pas de fumée, n’est pas cher et ne dégage aucune odeur ».

Les ventes n’ont pas tardé à augmenter. « La première fois que j’étais au marché au mois de juin, avec un sac à moitié rempli, j’en suis revenu avec le quart. Les clients les jaugeaient et se demandaient ce que c’était. Je ne fus pas découragé, puis lorsque les clients ont commencé à comprendre leur utilité, les ventes ont augmenté. Maintenant lorsque je vais au marché avec deux sacs, je vends tout le contenu.

Pour Daniel, l’effet déclencheur a eu lieu à l’issue d’une session d’initiation en gestion d’entreprise : « auparavant, mon affaire était gérée de manière empirique : nous vendions et consommions les revenus au jour le jour. Mais par la suite j’ai compris que l’entreprise et moi étions deux choses différentes ; ce qui veut dire que je peux respecter mon entreprise autant sinon plus que moi-même. »

La production de Daniel est aujourd’hui au-delà d’une tonne de briquettes par semaine. Et il gagne autant d’argent qu’un enseignant (jusqu’à 300 dollars par mois), sans travailler désormais au jour le jour.

Aujourd’hui il y a trois autres fabricants de briquettes en ville, tous formés dans le cadre du Programme DEEP de GVEP International en Afrique de l’Est. Leur seul souci à présent est de trouver assez de débris de charbon : maintenant qu’il y a une concurrence, nous sommes obligés d’aller jusqu’à Awendo pour chercher des débris de charbon. »

Daniel reconnaît que sur le long terme, ils ne peuvent plus compter uniquement sur la production de charbon, une activité qui a causé tant de déforestation au Kenya. Mais cela est maintenant réglementé par le gouvernement. « Le charbon va finir par manquer ; nous envisageons à terme d’utiliser de la bagasse (déchets de canne à sucre). Nous pourrons fabriquer manuellement cela localement après l’avoir carbonisé ».

« Nous avons eu l’occasion de visiter une usine proche qui fabrique du sucre South Nyanza et nous avons constaté que la quantité de bagasse qui s’empile chaque jour est considérable. Cela pourrait être utile à au mois 500 000 personnes. » Daniel et d’autres partenaires ont l’intention d’investir en équipements afin d’augmenter leur production. Mais maintenant la course est de savoir qui va être le premier à transformer cela en produit utile.

Daniel qui gagnait sa vie en vendant des CDs a déjà vu ses revenus augmenter considérablement et constate un vrai changement dans sa vie : « les gens viennent vers nous parce qu’ils ont vu ce que nous avons fait. Maintenant ils ont remarqué les changements survenus dans nos vies à l’issue de notre formation dans le cadre du programme DEEP Afrique de l’Est ; et nous le savons intérieurement aussi. »

Pour plus de renseignements sur le programme DEEP, visitez la page- projet sur le site du GVEP International : http://www.gvepinternational.org/project/53/

Laure Ego, GVEP

Policies and Regulations Affecting Biofuel Development in Kenya

Cet article analyse les initiatives du Gouvernement kenyan pour promouvoir les biocarburants et montre comment le développement d’une industrie est contrarié par l’absence d’un cadre politique approprié.

« Policies and Regulations Affecting Biofuel Development in Kenya »

Auteurs : Bernard O. Muok, Shadrack Kirui, Daniel Theuri et Judi W.Wakhungu

Publication :  » PISCES Policy Brief No. 1 December 2008″

4 pages en anglais

Cet article décrit les initiatives gouvernementales pour faire évoluer le cadre institutionnel et réglementaire afin de favoriser l’industrie des biocarburants au Kenya.


Source : un article publié sur le site de PISCES où ce document peut également être téléchargé.

René Massé

"Feasibility Study of Jatropha Curcas as a Biofuel Feedstock in Kenya"

Cette étude avait pour objectif d’évaluer la faisabilité d’un développement industriel de la filière Jatropha à des fins énergétiques. Elle conclue à l’existence d’un potentiel de production de biocarburant à partir de la culture de Jatropha au Kenya. Mais les projets actuels sont trop petits et dispersés, et leur développement est handicapé par le manque d’information, l’absence d’un cadre légal et réglementaire adéquat, et l’absence d’institution pour promouvoir l’industrialisation de ce secteur.

L’étude analyse les conditions climatiques, environnementale, et la disponibilité des terres (non agricoles) pour la production de Jatropha. Elle s’intéresse aussi au contexte économique local, et à l’environnement légal, institutionnel et réglementaire en vigueur au Kenya.

Elle a été conduite à partir d’une analyse documentaire, d’interviews de tous les acteurs publics et privés de la filière, et de visites de terrain.

« Feasibility Study of Jatropha Curcas as a Biofuel Feedstock in Kenya »

Bernanrd Muok de ACTS et Lisa Källbäck de Exporträdet, ACTS, PISCES et Exportradet, Octobre 2008, 67 pages

Small-Scale Bioenergy Initiatives:Brief description and preliminary lessons on livelihood impacts from case studies in Asia, Latin America and Africa

Ce rapport est basé sur une série de 15 études de cas, menés de septembre à novembre 2008 à l’initiative de la FAO et de PISCES Energy Research Programme Consortium financé par DFID.

Les études de cas se sont attaché à comprendre l’impact des petits projets bioénergie sur le niveau et la qualité de vie locale dans différents contextes de zones rurales de pays en développement. Elles ont analysé les impacts durables du point de vue humain, financier, social, et environnemental.

Ces études ont été conduites par Practical Action Consulting pour le compte de PISCES et de la FAO. Elles ont impliqué de nombreux experts internationaux des secteurs de l’énergie et du développement, membres de l’IEA, de l’UNEP, de ENERGIA, du DFID et de la FAO, comme aussi des responsables de politique sectorielle et des instituts de recherche. Elles ont été menées dans douze pays répartis dans six régions d’Amérique latine, d’Afrique et d’Asie, à savoir : le Mali, le Sénégal, la Tanzanie, le Kenya, l’Éthiopie, l’Inde, le Sri Lanka, le Brésil, le Guatemala, le Pérou, la Thaïlande, le Vietnam.

Les projets bioénergies étudiés concernent : i) les usages directs des ressources de la biomasse, ii) la valorisation des résidus de l’agriculture, de la foret et de l’industrie, et iii) les biocarburants. Les usages énergétiques vont de la cuisson des aliments à l’électricité en passant par la force motrice, le transport, etc.

Un chapitre est consacré à la comparaison des différents projets à partir d’une grille étendue de critères caractéristiques des marchés, des acteurs, des risques et revenus, des impacts…

En conclusion, le rapport expose les onze leçons retirées de l’étude.

Overview of Slum Electrification (Global vs. African Experience)

L’objectif de cette présentation est d’analyser la problématique de l’accès à l’électricité dans les bidonvilles des pays en développement, en comparant différentes approches et enjeux en Afrique et dans d’autres régions.

L’auteur analyse successivement les raisons qui militent en faveur d’une intervention pour les plus pauvres, les technologies expérimentées au Maroc, Philippines, Inde, Brésil, Colombie, Afrique du Sud… qu’il s’agisse de types de compteurs, de prépaiment, de câbles coaxial… ou encore de pratique pour améliorer la sécurité.

Elle étudie ensuite les grandes différences entre les approches constatées en Afrique et dans d’autres pays en développement. Elle s’attarde sur les avantages du prépaiement, davantage développé en Afrique qu’ailleurs, en prenant le cas du Mozambique comme illustration.

En conclusion, elle propose les éléments clés pour réussir un projet d’électrification d’un bidonville.

« Overview of Slum Electrification (Global vs. African Experience) »

Connie Smyser, from UN Habitat, Presented at « Promoting Energy Access for the Urban Poor in Africa : Approaches and Challenges in Slum Electrification », Nairobi, Kenya, October 26-27, 2009

Évaluer et anticiper les impacts du changement climatique sur les systèmes énergétiques

Ce document d’HELIO International présente une méthode d’évaluation des impacts du changement climatique sur les systèmes énergétiques, catalogue les impacts prévisibles sur les principaux systèmes et détaille les mesures d’adaptation possibles.

Il présente également les analyses faites dans dix pays de l’Afrique subsaharienne en utilisant cette méthodologie.

Pays étudiés : Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Kenya, Mali, Nigeria, Ouganda, République Démocratique du Congo, Sénégal et Tanzanie.

« Climatiser les systèmes énergétiques »

Laura E.WILLIAMSON/Hélène CONNOR/Mithra MOEZZI – HELIO International, 80 pages, décembre 2009