jeudi 29 novembre 2007

Valorisation de l’électricité : les PREMs et le CIMES au Sénégal. M. Amadou Sow (ASER)

Un large consensus se fait pour considérer que amener le réseau électrique dans un village ne suffit pas à générer rapidement du développement local. Qu’il convient désormais de se préoccuper aussi de la valorisation de l’électricité, à la fois pour générer de l’activité et des revenus, mais aussi pour donner à l’exploitant électrique un volume d’affaire suffisant pour équilibrer son économie et continuer durablement à assurer cette activité de service publique. L’expérience du Sénégal a permis d’analyser à la (…)

Un large consensus se fait pour considérer que amener le réseau électrique dans un village ne suffit pas à générer rapidement du développement local.

Qu’il convient désormais de se préoccuper aussi de la valorisation de l’électricité, à la fois pour générer de l’activité et des revenus, mais aussi pour donner à l’exploitant électrique un volume d’affaire suffisant pour équilibrer son économie et continuer durablement à assurer cette activité de service publique.

L’expérience du Sénégal a permis d’analyser à la fois la logique d’une démarche multisectorielle dans le cadre des documents de Réduction stratégique de la pauvreté (DRSP), et de voir comment un programme d’électrification comme celui conduit par l’ASER pouvait s’organiser pour initier ces dynamiques multisectorielles et y contribuer financièrement.

L’exposé rappelle le rôle joué par la CEDEAO pour promouvoir une approche multisectorielle dans tous les pays de cette sous-région.

René Massé


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